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  • [France-Guyane] Conférence et exposition sur les géographies politiques des peuples autochtones

    [France-Guyane] Conférence et exposition sur les géographies politiques des peuples autochtones

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    2024-09-18 20:03:42

    Conférence et exposition sur les géographies politiques des peuples autochtones

    Gérôme GUITTEAU, g.guitteau@agmedias.fr
    mercredi 18 septembre 2024

    Une page de l’Atlas de Guyane dont le dernier chapitre parle des blancs des cartes, de ce qui est invisibilisé. • ATLAS DE GUYANE

    L’Inspection d’Histoire-Géographie convie le public à une conférence de Béatrice Collignon sur les revendications territoriales des peuples autochtones, dans le cadre de l’exposition Sphérographia à Mana. Vernissage le 28 septembre à Mana, conférence le 30 septembre à Saint-Laurent-du-Maroni.

    À l’occasion de la venue des chercheurs du projet
    Sphérographia, l’Inspection d’Histoire-Géographie organise une
    conférence intitulée  » Revendications territoriales,
    revendications citoyennes : géographies politiques des peuples
    autochtones. Réflexions à partir du cas canadien
    « , animée par
    Béatrice Collignon, géographe et chercheuse…

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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Un dispositif anti-submersion déployé à Yalimapo pour protéger la commune des marées

    [Guyane la 1ʳᵉ] Un dispositif anti-submersion déployé à Yalimapo pour protéger la commune des marées

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    2024-09-18 17:46:19

    La commune d’Awala-Yalimapo, en Guyane, a déployé un dispositif anti-submersion pour protéger ses habitants des inondations maritimes. Ce projet, financé à 80 % par l’État et 20 % par la CCOG, représente une première en Guyane. Une démonstration du dispositif a eu lieu mercredi 17 septembre en présence des autorités locales et des partenaires.


    Explication en salle sur les problèmes de submersion par le consultant Johan Chevalier


    Mercredi dernier, sur la plage de Yalimapo, la barrière Water-Gate a été déployée pour la première fois. Ce dispositif souple de 260 mètres, installé en moins de 30 minutes, a pour mission de protéger les habitations de la commune face aux marées hautes et aux submersions marines. « C’est un outil d’urgence que nous pouvons mettre en place rapidement dès que les conditions météo le nécessitent », explique Pascal Klein, cofondateur de Mégasecur Europe, fournisseur du dispositif.


    Les sapeurs-pompiers assistent à la démonstration de la barrière de protection sur la zone à risque


    La démonstration s’est déroulée sous l’œil attentif des autorités locales et des techniciens formés pour manipuler ce système innovant. Une initiative rendue urgente par les événements récents : en 2019 et 2024, des submersions ont gravement endommagé les infrastructures de la commune. Ces catastrophes ont accéléré la recherche de solutions adaptées, aboutissant au déploiement de ce dispositif unique en Guyane.

    Le projet de déploiement de cette barrière a été financé à 80 % par l’État via le Fonds Vert, tandis que la CCOG a assuré les 20 % restants.


    Sophie Charles, présidente de la CCOG, souligne l’importance de ce projet pour les communes côtières de Guyane.


    Ce dispositif est le fruit d’une coopération avec l’État et représente une première en Guyane

    a souligné Sophie Charles, présidente de la CCOG. Ce système pourrait à terme servir de modèle pour d’autres communes côtières du territoire, notamment dans la région du Haut-Maroni.

    Selon Véronique Beuve, Sous-Préfète de Saint-Laurent-du-Maroni,


    Véronique Beuve, sous-préfète, a rappelé l’engagement de l’État, qui finance 80 % du projet, lors de la démonstration du dispositif.


    il s’agit d’une réponse concrète et expérimentale face aux effets du changement climatique. Le BRGM est déjà engagé dans des études approfondies pour mieux comprendre les phénomènes d’érosion et de submersion, et nous continuerons de soutenir financièrement les solutions efficaces comme celle-ci.

    Pour Tiffany Ariwanari, première adjointe au maire d’Awala-Yalimapo, ce dispositif est avant tout un moyen de rassurer les habitants : 


    Tiffany Ariwanari, première adjointe, a exprimé sa satisfaction face à cette solution innovante pour protéger les habitants de Yalimapo.


    Vivre en bord de mer avec le risque constant de submersion est devenu très angoissant pour nos habitants. Avec cette barrière, ils savent que nous avons un outil concret pour protéger leurs maisons.

    La première adjointe a également insisté sur l’aspect environnemental du projet, soulignant que la barrière Water-Gate permet de protéger les zones sensibles sans recourir à des structures permanentes qui auraient pu détériorer ce site de nidification des tortues luths, mondialement reconnu.


    Déploiement du dispositif anti-submersion Water-Gate sur la route côtière de Yalimapo, en Guyane


    Le Water-Gate, conçu pour être déployé rapidement et sans ancrage, s’adapte parfaitement aux conditions locales. « C’est un dispositif qui utilise la pression de l’eau pour se stabiliser. Il est simple d’utilisation, léger et efficace, même en cas de fortes marées », assure Pascal Klein. Le dispositif est conçu pour durer plus de 30 ans, et son installation ne prend que 20 minutes, un atout majeur pour une réponse rapide aux crises maritimes.

    En plus de la barrière, des pompes ont été prévues pour évacuer l’eau qui pourrait s’infiltrer sous le dispositif.


    Pascal Klein, cofondateur de Megasecur Europe, a présenté le dispositif Water-Gate, utilisé pour la première fois à Yalimapo


    Même si ce n’est pas une solution définitive, c’est une première étape essentielle dans la protection des habitations contre les inondations

    a ajouté Johan Chevallier, consultant en gestion de l’érosion pour la mairie.

    Avec cette première démonstration, la commune d’Awala-Yalimapo espère avoir trouvé une solution durable pour faire face aux marées menaçantes. Les prochains mois seront cruciaux pour tester la capacité du dispositif à résister aux épisodes de submersion. Si les résultats sont positifs, le Water-Gate pourrait bien devenir un outil de référence pour les autres communes littorales de Guyane.


    Les partenaires immortalisent ce moment historique du dispositifs déployé pour la premère fois dans les DROM




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  • [Mairie de SLM] #npnru |  *Transformation du Centre-Ville de Saint-Laurent du Maroni ! 

La Vill…

    [Mairie de SLM] #npnru | *Transformation du Centre-Ville de Saint-Laurent du Maroni ! La Vill…

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    #npnru | ✨ *Transformation du Centre-Ville de Saint-Laurent du Maroni ! ✨

    La Ville de Saint-Laurent du Maroni engage une ambitieuse rénovation de son centre-ville dans le cadre du Nouveau Programme de Renouvellement Urbain (NPNRU), pour améliorer le cadre de vie de tous 🌿🏙️.

    À venir… :
    – 📚 Une médiathèque moderne avec un espace culturel pour tous les âges (café-coworking, ludothèque).
    – 🌳 Des espaces publics réaménagés et plus verts (végétalisation, gestion des eaux, éclairage solaire).
    – 🛍️ Réhabilitation du marché et de l’entrée de ville pour un espace plus convivial et accessible.
    – 🏠 L’Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat (OPAH-RU) pour accompagner la rénovation des logements et commerces dégradés.
    – 🌆 La création de logements diversifiés et de nouvelles surfaces commerciales.

    Objectifs :
    – Renforcer l’attractivité territoriale,
    – Dynamiser l’animation culturelle et touristique,
    – Améliorer la qualité de vie pour tous,
    – Développer des logements et commerces adaptés aux besoins de la commune.

    Informations pratiques : Les permanences du projet
    * 📍à la Direction des Grands Projets (DGP) de la mairie de Saint-Laurent du Maroni, située au 17 rue Félix Éboué,
    * 🗓️ du 20 septembre au 11 octobre 2024, chaque mercredi de 9h à 12h et jeudi de 14h à 17h .

    🔗 Pour plus de détails, consultez l’article complet sur notre site web : https://www.saintlaurentdumaroni.fr/permanences-du-projet-de-renovation-urbaine-du-centre-ville/

    🌐 Construisons le Saint-Laurent de demain ! #RenouvellementUrbain #SLMRenouvelle #SaintLaurentDuMaroni #VilleEnAction


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    Source : Page FB de la Mairie de Saint-Laurent du Maroni

  • [CTG] Réunion avec des représentants du Centre National de la Recherche Scientifique (…

    [CTG] Réunion avec des représentants du Centre National de la Recherche Scientifique (…

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    🔬👩‍🔬Réunion avec des représentants du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)

    Une équipe de représentants du CNRS s’est entretenue avec Philippe Bouba, vice-président délégué à l’enseignement supérieur et à la recherche, ce mercredi 18 septembre 2024, à l’Hôtel Territorial.

    Parmi les sujets abordés :

    ➡️les dispositifs de recherche du CNRS;

    ➡️ les implantations du CNRS en Guyane, notamment à Cayenne;

    ➡️un projet de convention cadre CTG/CNRS.

    La délégation était composée :

    de Stéphane Blanc, directeur de CNRS Ecologie et Environnement, d’Agathe Euzen son adjointe, de Fabrice Cocheteux du Service de la politique immobilière du CNRS et d’Antoine Gardel, représentant du CNRS.






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    Source : Page FB de la Collectivité Territoriale de Guyane

  • [France-Guyane] Nouvelle directrice du Chog, Ninon Gautier : « J'ai choisi l'Ouest guyanais »

    [France-Guyane] Nouvelle directrice du Chog, Ninon Gautier : « J'ai choisi l'Ouest guyanais »

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    2024-09-18 16:29:21

    Santé

    Nouvelle directrice du Chog, Ninon Gautier : « J’ai choisi l’Ouest guyanais »

    Propos recueillis par Samuel ZRALOS
    mercredi 18 septembre 2024

    Ninon Gautier est arrivée au Chog pour 4 ans. • S.Z.

    Ninon Gautier, nouvelle directrice du Centre hospitalier de l’Ouest guyanais (Chog) a pris ses fonctions le 10 septembre, sept mois après le départ de son prédécesseur. Elle présente sa vision à France-Guyane.

    Bonjour et bienvenue en Guyane. Pourquoi avoir choisi de venir sur le territoire ?

    Mon parcours professionnel est atypique. Première partie carrière attachée au ministère d’ l’Agriculture, dans l’administratif. Puis j’ai fait le choix de la fonction hospitalière, passé le concours et fait l’école à Rennes [École des hautes études en santé publique, NDLR]. J’ai ensuite eu ma première affectation en Normandie, à Alençon, où je suis restée 10 ans. J’ai choisi l’Ouest guyanais, le projet de santé m’a attiré, c’est un moment important pour le territoire avec le CHU (Centre hospitalier universitaire). Avec une maternité où il y a plus de 3500 accouchements annuels, une offre de proximité et insérée dans le futur groupement de coopération des hôpitaux.  C’est ma première chefferie, je me sentais prête. 

     

    Le Chog souffre d’un manque chronique, tant au niveau du matériel que des effectifs, comment y faire face ?

    L’établissement est doté d’un plateau technique, du matériel fonctionnel, des soignants pour pouvoir assurer les prises en charge. Le problème, c’est que le turnover est important, on doit faire régulièrement appel à la réserve sanitaire. C’est le moment de dire aux lecteurs : on recrute. Il ne faut pas hésiter à pousser la porte du Chog (rires) ! Il y a effectivement des difficultés mais je dirai comme dans beaucoup d’hôpitaux. Il faut de l’énergie pour chercher des partenariats, les faire connaître. Dans ce contexte, le CHU est justement une chance, on peut travailler en réseau. Il y a des difficultés mais des solutions aussi. Bref, il n’y a pas une seule réponse, mais il faut pouvoir assurer la permanence des soins et assurer que les services soient ouverts. 

     

    Quels sont vos chantiers prioritaires pour l’hôpital ?

    C’est difficile d’en parler, je prends mes fonctions aujourd’hui même ! Sur les quinze jours, trois semaines qui viennent je vais visiter les services physiquement, c’est important d’aller voir les soignants. C’est important de pas rester dans les bureaux.
    Ensuite, je me placerai dans la continuité. Notamment les liens avec le Suriname, avoir une offre de soins bien structurée. Avec les acteurs du territoire, nous devons offrir à la population l’offre de soins la plus adaptée. 

     

    Comment comptez-vous faire face à l’afflux de patients vers le Chog, qui est très fréquenté ?

    Les solutions sont toujours les mêmes, faire de la prévention, être au plus près de la population et aussi avoir des équipes sur place et mobiles. L’offre de soins ne peut se développer que dans cette logique-là. Le corps médical doit être actif, vivant. Il y a peut-être des modalités différentes à penser, l’hôpital est physiquement délimité mais il doit être dans l’aller-vers. 
    Le rôle du Chog est aussi d’assurer un travail de cohésion : on doit fluidifier les parcours, on n’a pas toutes les spécialités, donc on doit s’assurer que le patient trouve le bon parcours, la bonne filière pour sa prise en charge. Après, c’est aussi développer des disciplines que nous n’avons pas aujourd’hui, peut-être faire venir des compétences que nous n’avons pas d’ailleurs, pour offrir un peu plus de proximité. 

     

    Qu’en est-il de la formation locale ? Comment s’assurer que les diplômés guyanais viennent travailler au Chog ?

    S’assurer que les étudiants sont fidélisés, c’est bien les accueillir sur place lors de leur stage, bien les former, leur fournir de bonnes conditions de travail et des perspectives de carrière. 

     

    Le Chog est devenu ces dernières années le principal propriétaire terrien de Saint-Laurent du Maroni, y compris avec l’achat d’un hôtel. Comment abordez-vous cet aspect ?

    C’est une vraie chance, cet hôtel racheté et exploité par le centre hospitalier. Certes, ce n’est pas notre cœur de métier, mais cela permet d’avoir un outil de fidélisation et d’attractivité pour les professionnels. Que ça soit l’hôtel ou le parc de logements, c’est un argument pour attirer malgré tout les professionnels au Chog. Il faut être économiquement rigoureux, ne pas s’éparpiller.

     

    Aux côtés de Christophe Bouriat, DG de l’hôpital de Cayenne (droite), Ninon Gautier se présente à ses équipes du Chog,
    • S.Z.

    Les cadres et représentants syndicaux du Chog accueillent Ninon Gautier.
    • S.Z.

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  • [Mairie Awala-Yalimapo] #AwalaYalimapo : Réunion de travail avec Véronique BEUVE sous-préfete de l’arron…

    [Mairie Awala-Yalimapo] #AwalaYalimapo : Réunion de travail avec Véronique BEUVE sous-préfete de l’arron…

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    #AwalaYalimapo : Réunion de travail avec Véronique BEUVE sous-préfete de l’arrondissement de Saint-Laurent du Maroni.

    Ce mercredi 18 septembre, se tenait en salle de délibération une réunion de travail entre la municipalité et Véronique BEUVE sous-préfete et ses services.

    L’objectif de cette rencontre était de faire une revue des projets de la commune.

    Plusieurs dossiers étaient à l’ordre du jour :
    – La mise au norme de la lagune ;
    – La rénovation du groupe scolaire Yamanale ;
    – L’érosion côtière : projet de relocalisation ;
    – L’éclairage public solaire photovoltaique ;
    – La rénovation énergétique de la toiture de la mairie ;
    – La voirie communale : mairie vers kunawayale ;
    – La rénovation du terrain multisport de Awala ;
    – Le renouvellement du label Pays d’Art et d’Histoire.

    L’ État s’est engagé à accompagner et à soutenir la municipalité dans le financement des projets présentés.





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    Source : Page FB de la mairie d’Awala-Yalimapo

  • [Mairie de SLM] Conseil Municipal du 18 septembre 2024

    [Mairie de SLM] Conseil Municipal du 18 septembre 2024

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    Conseil Municipal du 18 septembre 2024

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    Source : Page FB de la Mairie de Saint-Laurent du Maroni

  • [Mairie de SLM] Conseil Municipal du 18 septembre 2024

    [Mairie de SLM] Conseil Municipal du 18 septembre 2024

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    Conseil Municipal du 18 septembre 2024

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    Source : Page FB de la Mairie de Saint-Laurent du Maroni

  • [Mairie de Mana] INFORMATION
ÉDÈSE DUJON FÊTE SES 98 ANS CE MERCREDI 18 SEPTEMBRE À MANA 

Mme Jo…

    [Mairie de Mana] INFORMATION ÉDÈSE DUJON FÊTE SES 98 ANS CE MERCREDI 18 SEPTEMBRE À MANA Mme Jo…

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    INFORMATION
    ÉDÈSE DUJON FÊTE SES 98 ANS CE MERCREDI 18 SEPTEMBRE À MANA

    Mme Joseline BACOUL 9 ème Adjointe a représenté le Maire de la Ville de Mana M. Albéric BENTH ce mercredi 18 septembre 2024, à l’occasion des 98 ans de l’anniversaire de Mme Édèse DUJON.
    En ce jour si spécial nous te souhaitons un merveilleux anniversaire.
    Retour en images






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    Source : Page FB de la mairie de Mana

  • [Guyane la 1ʳᵉ] Une bande organisée cagoulée attaque des adhérentes en pleine séance de fitness à Saint-Laurent-du-Maroni

    [Guyane la 1ʳᵉ] Une bande organisée cagoulée attaque des adhérentes en pleine séance de fitness à Saint-Laurent-du-Maroni

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    2024-09-18 13:59:05

    Hier soir, des adhérentes de l’association Happy Fit ont été victimes d’une agression violente et d’un vol en plein cours de fitness à l’école Georges Habran-Mery. Six jeunes cagoulés ont dérobé des téléphones, des clés, et un ordinateur avant de prendre la fuite.


    Le préau de l’école Habran-Mery, où s’est produite l’agression durant une séance de fitness.


    Ce mercredi soir, vers 19h30, alors qu’une séance de fitness se déroulait sous le préau de l’école Georges Habran-Mery à Saint-Laurent-du-Maroni, une dizaine de participantes de l’association “Happy Fit” ont été prises pour cible par un groupe de six jeunes, cagoulés et agressifs. Selon la présidente de l’association, Anne-Lise Junian, les jeunes sont entrés par la grille de l’école, qu’ils ont endommagée. Ils ont rapidement dérobé les sacs des participants, y compris des téléphones, des clés de voiture et un ordinateur.

    Nous étions en pleine séance lorsque tout s’est passé très vite. Ils nous ont agressées et volées nos effets personnels. J’ai essayé de récupérer mon sac, mais j’ai failli être agressée

    raconte Anne-Lise, encore sous le choc. Le sac contenait également la caisse de l’association, mais heureusement, les agresseurs l’ont laissée derrière.

    Les gendarmes sont arrivés une dizaine de minutes après les faits et ont retrouvé un sac abandonné dans un champ à proximité de l’école. Des empreintes ont été relevées sur place, mais aucun autre objet volé n’a été récupéré. Plusieurs des participantes n’ont pas pu rentrer chez elles, faute de clés, et ont dû attendre l’aide de proches pour récupérer des doubles.

    La présidente de l’association précise qu’après cette agression, la peur s’est installée parmi les membres. 

    Nous nous sommes réfugiées dans la bibliothèque de l’école en attendant l’arrivée des gendarmes, car nous entendions encore les jeunes près de l’établissement. Certains adhérents sont traumatisés, et nous avons décidé de suspendre les cours pour l’instant, »

    L’association “Happy Fit”, qui existe depuis près de 10 ans, est un lieu de bien-être et de sport pour les habitants de Saint-Laurent-du-Maroni. Anne-Lise Junian envisage de demander un renforcement de la sécurité, notamment la présence d’un vigile lors des séances, afin de reprendre les activités en toute sécurité.

    Cet incident vient s’ajouter à une série de violences qui secouent la ville depuis plusieurs semaines, et renforce l’inquiétude de la population face à une recrudescence d’agressions et de braquages.



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