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🔍 #Judiciaire I Bilan du week-end au Kourou Beach Festival
📅Les 24 et 25 août derniers, nos gendarmes étaient présents au Kourou Beach Festival pour assurer la sécurité de tous les participants.
Saisies effectuées :
🔪 Plusieurs armes blanches
🔫 Un pistolet automatique 22LR
💊 Plusieurs pochons de cocaïne
Grâce à leur présence, les gendarmes ont contribué à maintenir un environnement plus sûr pour tous. Ensemble, continuons à faire de nos événements des moments de fête, en toute sécurité ! 🙌
Le 1er septembre, c’est la journée internationale du syndrome des ovaires polykystiques « SOPK ». Une date symbolique que la nouvelle association « ASOPK Guyane », a choisi pour organiser sa première marche solidaire, à Matoury, à 7h du matin. Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est la maladie hormonale la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer, dans le monde entier.
Il est 7 heures, le parking du stade municipal de Matoury, est le lieu de rassemblement de l’association SOPK Guyane.Plus d’une centaine de participants ont répondu présent à l’appel de cette marche solidaire, consacrée au syndrome des ovaires polykystiques, une maladie souvent méconnue, du grand public et parfois du corps médical.
Avant le départ, l’échauffement se fait en musique. 7h40, le cortège s’élance pour une marche solidaire d’une heure, dans le bourg de Matoury. Une activité conviviale, pour sensibiliser, et informer la population, sur cette pathologie. La marche, cette pratique sportive a été choisie par l’association, car le SOPK peut engendrer une prise de poids, avec un risque d’obésité.
Pour la secrétaire générale de l’ASOPK Guyane, Euridyce Hippolyte, cette première manifestation a pour objectif de mieux communiquer sur cette maladie, et de briser la solitude des femmes atteintes par cette pathologie.
C’est le début d’une solidarité sur tout le territoire pour accompagner ces femmes. Elles sont souvent emprisonnées avec leurs symptômes et des difficultés d’enfanter, aujourd’hui c’est l’occasion de leur montrer qu’il y a des femmes atteintes de cette pathologie et qui ont réussi à avoir un enfant avec un bon accompagnement
Euridyce Hippolyte
secrétaire générale de l’ASOPK Guyane
Cette marche solidaire a mobilisé des femmes, des enfants et des hommes également. Si cette pathologie touche principalement les femmes, des hommes font partie, du bureau, de l’association «ASOPK-Guyane».
À l’image, de Louby Joseph trésorier de cette association.
Ma femme est impactée, par cette pathologie, donc cela me paraissait évident de m’investir dans cette association. De plus je trouve que cette association vient combler un réel manque, des associations « SOPK », existent en Martinique, en Guadeloupe et en France, cela va aider beaucoup de femmes en Guyane, sa création est vraiment légitime
Louby Joseph trésorier de l’association « ASOPK-Guyane »
Une marche solidaire, de 2,5 km dans le bourg de Matoury. 134 participants ont soutenu l’association «ASOPK-Guyane», ce dimanche 1er septembre, journée internationale du syndrome des ovaires polykystiques «SOPK».
Pour joindre l’ASOPK, vous pouvez appeler au 06 94 26 64 34
Le Collège Léo OTHILY de Mana recrute en contrat Service Civique: vous avez entre 16 et 25 ans et vous êtes intéressés par ce poste, contactez le secrétariat du Collège au 0594 34 80 60.
A pourvoir:
2 postes pour la gestion, 1 poste pour le CDI et 7 postes de surveillance.
Vous pouvez vous présenter dès lundi à partir de 10h00 au Collège.
Je viens en Guyane avec les enfants (5 et 9 ans) fin octobre prochain pour découvrir les beaux paysages, patrimoine, faune et flore.
Voici le programme que j’ai envisagé, toutes vos remarques sont bonnes.
Jour 1 : arrivée
nuitee a définir secteur Remire Montjoly
Jour 2 : secteur sentier du rorota / plage de montjoly
Nuitée auberge du mahury
Jour 3 : chutes diamants/marais de kaw
Nuitée marais de kaw
Jour 4 : marais de kaw/ sentier savane roche Virginie
Nuitée gîte l’îlot (secteur cacao)
Jour 5 : cacao / saut bief
Nuitée hôtel des roches
Jour 6 : îles du salut (tropic alizees)
Nuitée hôtel des roches
Jour 7 : visite CSG / Awala yalimapo
Nuitée hôtel des roches
Jour 8 : camp cariacou
Nuitée camp cariacou
Jour 9 : camp cariacou
Nuitée à définir secteur maripa / Cayenne
Jour 10 : zoo de Guyane / départ
Je prévois une voiture pour l’ensemble du séjour , un peu compliqué de se déplacer autrement
Merci à tous pour votre bienveillance et aide dans l’organisation de ce séjour
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INFORMATION
JOURNÉE DES ASSOCIATION DE LA VILLE DE MANA
Retour en images sur la réunion d’information avec les associations de la Ville de Mana ce samedi 31 août 2024 à 09h00 au Centre Social Makandra.
Ordre du jour :
– Présentation de SG ASSIST
– Formation structuration d’une association
– Présentation des activités des associations de la Ville de Mana.
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#AwalaYalimapo : Réunion d’information générale sur l’érosion et la submersion à Awala-Yalimapo.
Ce samedi 31 août, se tenait la première réunion d’information générale sur l’érosion et la submersion dans la salle polyvalente de la mairie en présence du BRGM et la CCOG.
La commune est confrontée à deux phénomènes : l’érosion et la submersion.
Le contexte et la dynamique du littoral de Awala-Yalimapo était le premier point de l’ordre du jour présenté par le BRGM.
La seconde partie de la réunion portait sur les enjeux et stratégies envisagées par la commune de Awala-Yalimapo présentée par le Maire de Awala-Yalimapo.
Le troisième point traitait essentiellement des mesures d’urgence à court et moyen terme présenté pas la CCOG.
Puis, un temps d’échange avec les participants était ouvert.
Des moments d’explication et explicitation indispensable pour une bonne connaissance de la situation.
Mais, également pour faire connaître ses ressentis sur la situation actuelle.
En conclusion, des nouvelles rencontres sont programmées ainsi que des réunions de concertation avec les habitants de Awala-Yalimapo pour affiner les différentes réflexions et peaufiner les solutions et mesures préconisées.
Le camp de la Transportation à Saint-Laurent-du-Maroni s’est mué en un village d’information, grâce à l’association PEEP (Parents d’Élèves de l’Enseignement Public). Cette journée dédiée à l’emploi et à la formation a offert aux jeunes de la région de nouvelles perspectives d’avenir.
Autrefois symbole de l’histoire tumultueuse de la Guyane, le camp de la Transportation de Saint-Laurent-du-Maroni a été métamorphosé en un village d’information ce 30 août. Dans cet espace chargé de mémoire, la PEEP (Parents d’Élèves de l’Enseignement Public) a déployé ses forces pour répondre à un défi de taille : offrir des perspectives d’avenir aux jeunes de la région.
Sous la houlette de Nadine Colin, présidente de la PEEP, cette initiative a rassemblé une myriade de partenaires venus tendre la main à une jeunesse en quête d’opportunités. Dès dix heures, les visiteurs ont afflué, curieux et souvent inquiets, vers les nombreux stands érigés au cœur du camp. Des corps de l’armée aux agences d’intérim, en passant par les organismes de formation, tous étaient là pour guider, conseiller, et, surtout, inspirer.
À chaque coin du village, des histoires se racontent. Koudoi Rashelda, 27 ans, arpente les allées avec un objectif clair : trouver un emploi dans la petite enfance, sa passion.
J’adore les métiers de la petite enfance, mais je n’ai rien trouvé pour moi. Mais je m’informe tout de même. Il y beaucoup d’autres opportunités
dit-elle, son regard trahissant une pointe de déception. Malgré ses recherches, elle n’a pas encore trouvé de réponse satisfaisante. À quelques mètres de là, Alan, lui aussi 27 ans, espérait trouver des pistes dans le commerce international, sa spécialité. « Je suis ouvert à d’autres types de postes », avoue-t-il, conscient des défis propres à la région.
L’ambiance est studieuse, mais l’espoir reste fragile. Enrica, 26 ans, est repartie avec des informations précieuses sur des postes administratifs, mais sans offre concrète. « Je continue de chercher », confie-t-elle, déterminée mais réaliste. Pour certains, comme Jonas Océan, représentant de la chambre de métiers et de l’artisanat, la journée a été plus fructueuse.
Nous avons reçu une trentaine de jeunes intéressés par nos formations. Beaucoup ignoraient même que ces opportunités existaient ici
s’étonne-t-il.
Les défis sont nombreux, mais la détermination de la PEEP est palpable. Cette action, réalisée avec des moyens limités, a néanmoins permis d’ouvrir des portes, de susciter des vocations, et de semer des graines d’espoir.
Nous avons réussi à offrir de l’espoir à des jeunes qui se sentaient perdus