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  • [Mairie de SLM] #Communiqué | Remerciement et soutien au personnel communal 

La maire de Saint-…

    [Mairie de SLM] #Communiqué | Remerciement et soutien au personnel communal La maire de Saint-…

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    #Communiqué | Remerciement et soutien au personnel communal 🙏

    La maire de Saint-Laurent-du-Maroni, Sophie Charles, exprime sa gratitude envers les agents municipaux qui assurent les services essentiels malgré les pressions et entraves rencontrées. Elle condamne fermement les actes d’intimidation et rappelle l’importance du respect des droits et du dialogue pour trouver des solutions dans l’intérêt de tous.


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    Source : Page FB de la Mairie de Saint-Laurent du Maroni

  • [Mairie Awala-Yalimapo] #AwalaYalimapo #PAHEMM : Rendez-vous du patrimoine

Awala-Yalimapo, Pays d’Art e…

    [Mairie Awala-Yalimapo] #AwalaYalimapo #PAHEMM : Rendez-vous du patrimoine Awala-Yalimapo, Pays d’Art e…

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    #AwalaYalimapo #PAHEMM : Rendez-vous du patrimoine

    Awala-Yalimapo, Pays d’Art et d’Histoire des Estuaires Maroni-Mana (PAHEMM) vous invite à venir échanger autour de deux films sur les Jeux Kali’na, un événement qui fait désormais partie de l’identité du territoire.

    Après 17 ans, quel est le bilan et que reste-t-il de cette initiative ?


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    Source : Page FB de la mairie d’Awala-Yalimapo

  • [OTOG] #AwalaYalimapo #PAHEMM : Rendez-vous du patrimoine

Awala-Yalimapo, Pays d’Art e…

    [OTOG] #AwalaYalimapo #PAHEMM : Rendez-vous du patrimoine Awala-Yalimapo, Pays d’Art e…

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    #AwalaYalimapo #PAHEMM : Rendez-vous du patrimoine

    Awala-Yalimapo, Pays d’Art et d’Histoire des Estuaires Maroni-Mana (PAHEMM) vous invite à venir échanger autour de deux films sur les Jeux Kali’na, un événement qui fait désormais partie de l’identité du territoire.

    Après 17 ans, quel est le bilan et que reste-t-il de cette initiative ?


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    Source : Page FB de l’Office du Tourisme de l’Ouest Guyanais

  • [Guyane la 1ʳᵉ] Rencontres en pays Aluku pour l’écrivain Jean-Paul Delfino invité au premier festival du livre de Papaïchton

    [Guyane la 1ʳᵉ] Rencontres en pays Aluku pour l’écrivain Jean-Paul Delfino invité au premier festival du livre de Papaïchton

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    2024-11-26 07:01:22

    Ce fut une immersion complète au pays Aluku pour l’écrivain Jean-Paul Delfino invité spécialement au Lobi Leysi Festi, le festival du livre de Papaïchton qui s’est déroulé du 22 au 23 novembre. L’écrivain vient régulièrement en Guyane depuis 15 ans, cette incursion en pays boni lui a permis de se connecter quelques jours avec des collégiens qui ont participé activement à son atelier d’écriture.

    Le premier festival du livre de Papaïchton s’est tenu durant deux jours à la bibliothèque Saïfa.


    La bibliothèque municipale de Papaïchton


    Selon l’initiatrice du festival Courthney Pinson, responsable de la bibliothèque municipale, cette première tentative pour mettre le livre en valeur a permis de toucher le public scolaire et cela de la maternelle au secondaire. Entre l’atelier d’écriture et le concours de diction, les collégiens ont particulièrement apprécié leur rencontre avec l’écrivain aixois Delfino. Ils ne demandent qu’à recommencer l’année prochaine.
    Jean-Paul Delfino l’affirme avec force : plus que jamais la jeunesse a besoin de la littérature pour se développer.

    « La Guyane est une terre avec un mélange absolument incroyable de cultures venues des quatre coins du monde et après avoir eu la chance de rencontrer les gens du littoral, j’ai voulu aller vers les communes du fleuve… »

    Un vœu de voyager à travers la Guyane qui s’est réalisé avec d’abord deux participations au Mapa Buku festi, le festival du livre de Maripasoula qui en est à sa 8e édition, puis cette année, une contribution à la première édition du Lobi leysi festi de Papaïchton.

    « Je voulais voir la vie des gens du fleuve, c’est cela qui m’intéresse avant tout. Les rencontrer et parler pour mieux comprendre la Guyane »

    La rencontre avec les jeunes s’est faite au cours d’un atelier d’écriture. L’écrivain qui possède 25 ans d’expérience dans ce domaine se demandait quel accueil lui serait réservé. Il n’a pas été déçu :

    « Je me déplace pour cela. J’ai donc pu rencontrer 13 élèves de 4ème du collège et j’ai eu une très grande surprise. Ces élèves en majorité des jeunes filles d’abord craintives ont finalement joué le jeu. Au bout de 5 jours, j’avais recueilli une centaine de feuilles. J’ai étudié avec la responsable de la bibliothèque la possibilité de mettre en place l’impression d’un petit fascicule de leurs textes. Mon rôle est de faire que ces jeunes filles qui, jusqu’à présent, n’avaient jamais écrit plus d’une demi-page produisent quelque chose dont elles puissent être fières par la suite. »

    Un bémol cependant pour l’écrivain très désabusé qui n’a pas manqué de noter qu’à Papaïchton comme ailleurs sur le territoire hexagonal l’abaissement du niveau des élèves.

    « Mais c’était important d’être là pour leur montrer à ces collégiennes qu’elles sont capables d’écrire et aussi de lire autre chose que les mangas, certes utiles pour entrer en littérature mais il faut pouvoir aussi lire autre chose. Mon rôle était de désacraliser tout ce qui est lecture et écriture. Une société digne de ce nom ne peut pas se passer de ces deux piliers pour avancer. C’est impossible ! »

    Et de rappeler que le concours d’éloquence qui était aussi au programme du festival s’avère nécessaire :

    « C’est important. Les jeunes qui lisent aujourd’hui ne rencontrent pas trop de difficulté à s’exprimer et à lire mais pour les autres cela est beaucoup plus complexe. Sans vouloir affirmer des choses, j’ai vu la différence entre les jeunes de Maripasoula amérindiens, ils lisaient très lentement et à voix basse tandis que ceux de Papaïchton lisaient très vite et de façon saccadée. On parle beaucoup de lecture, d’écriture mais l’élocution c’est quelque chose de fondamental ».

    Ces échanges à l’ouest de la Guyane dans la vallée du Maroni où l’espace-temps prend une autre dimension inspirent à Jean-Paul Delfino de nombreuses réflexions : 


    Jean-Paul Delfino


    « Ce qui m’a plu dans cette première édition c’est qu’il y a un fourmillement d’idées et pas uniquement sur la lecture et l’écriture… Tout le travail de la littérature c’est d’ouvrir la porte de la réflexion, prendre des idées, des émotions et ensuite de les analyser et les transmettre à l’autre. La littérature n’est pas figée, c’est quelque chose tournée en direction des autres et dont la principale qualité est de transmettre de l’émotion. Prendre le temps d’écrire c’est prendre le temps de poser ses idées, un luxe que peu de gens se permettent aujourd’hui. »

    Les échanges avec Jean-Paul Delfino, auteur à succès de 30 romans, pour certains primés de multiples fois y compris « Guyanes » publié en 2023 vont continuer durant le Festival international du Livre de Guyane qui se tient du 27 au 30 novembre au Zéphir.

    L’écrivain sera mercredi 27 à 14h 30 au zoo de Monsinéry pour le lancement de Jaguars un livre album qui met en scène un récit initiatique au cœur de la forêt guyanaise. 
    Jean-Paul Delfino interviendra également durant la matinée professionnelle du jeudi 28 à 11h30 sur le thème : Littérature et Intelligence artificielle.

    Enfin dans l’après-midi à 16h30, il animera un café littéraire sur le thème : Quelles difficultés à « BDiser » sa biographie ?



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] 1 000 victimes accompagnées par le CCAS en un an

    [Guyane la 1ʳᵉ] 1 000 victimes accompagnées par le CCAS en un an

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    2024-11-25 18:44:52

    Saint-Laurent-du-Maroni, 25.11.24 – À l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) a organisé une marche pour sensibiliser la population. L’événement a mobilisé des participantes et professionnels, rappelant l’urgence d’agir face à l’augmentation des violences.


    Dans le village chinois, un quartier marqué par des défis sociaux, les marcheurs portent le message de lutte contre les violences.


    Plus de 1 000 femmes victimes de violences sont accueillies chaque année par les structures du CCAS, selon sa vice-présidente Emilie Roussos. Ce chiffre illustre l’ampleur du problème et a motivé l’organisation d’une marche symbolique ce lundi, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.


    Le cortège traverse le marché central, un lieu stratégique pour faire entendre le message de lutte contre les violences


    Le parcours, traversant les rues principales et des lieux emblématiques de la ville, visait à sensibiliser les habitants sur un phénomène qui touche toutes les couches de la société.


    Émilie Roussos, vice-présidente du CCAS, rappelle l’urgence d’agir face à l’augmentation des violences faites aux femmes.


    Les violences intrafamiliales ne se limitent pas à des situations de précarité, elles concernent des femmes de tous milieux, qu’elles soient médecins, commerçantes ou sans emploi

    souligne Émilie Roussos.

    Outre l’accueil de jour, le CCAS gère également des hébergements d’urgence, mais ceux-ci sont largement insuffisants.


    Mobilisée pour la cause, Émilie Weidert souligne le rôle essentiel du CCAS dans l’accompagnement des victimes.


    Nous sommes confrontés à un manque criant de places pour mettre les victimes à l’abri

    déplore Emilie Weidert, éducatrice de jeunes enfants. Selon elle, les appels au 115 restent souvent sans réponse faute de solutions disponibles.

    Le CCAS, épaulé par la préfecture et la mairie, craint que les subventions nécessaires pour maintenir ces dispositifs ne soient pas pérennes.

    Nous devons nous battre chaque année pour garantir les financements

    alerte Emilie Roussos. Les professionnels présents ont également insisté sur la nécessité d’un renforcement des équipes, notamment d’assistants sociaux et de psychologues, pour accompagner les victimes et leurs enfants, souvent co-victimes.

    Parmi les participantes, Candida Hernandez, ancienne victime, a partagé son expérience.


    Candida Hernández, ancienne victime, participe pour encourager les autres femmes à sortir de leur situation.


    C’est très difficile, mais c’est important de montrer qu’on peut s’en sortir.

    Cette marche a aussi permis de rappeler que la violence n’est pas toujours reconnue comme anormale par les victimes elles-mêmes.

    Beaucoup de femmes pensent que la violence est normale dans leur mariage ou leur culture

    témoigne Emilie Weidert. Ce manque de sensibilisation complique la prise en charge et la prévention.

    Malgré tout, les actions menées portent leurs fruits. Plusieurs femmes parviennent à sortir de leur situation grâce à un accompagnement soutenu, même si le chemin reste long. « Chaque avancée est une victoire », conclut Emilie Roussos.

    En s’unissant ce lundi, Saint-Laurent-du-Maroni a envoyé un message fort : la lutte contre les violences faites aux femmes est un combat collectif et prioritaire, qui ne doit pas faiblir.



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  • la mairie s’organise face à la crise

    la mairie s’organise face à la crise

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    La grève des employés municipaux de Saint-Laurent-du-Maroni, entamée le 20 novembre, continue de perturber les services publics. Ce lundi, plusieurs écoles et infrastructures sportives sont touchées, tandis que la mairie s’efforce de mettre en place un service minimum pour limiter les impacts.


    Les grévistes, installés au rez-de-chaussée de la mairie, y ont établi leur QG depuis le début du mouvement.


    Depuis le 20 novembre, une partie des employés municipaux de Saint-Laurent-du-Maroni est en grève, perturbant les services publics de la ville. Ce lundi 25 novembre, les écoles et infrastructures sportives sont particulièrement affectées, forçant la mairie à mettre en place des solutions pour limiter les désagréments.


    La mairie de Saint-Laurent-du-Maroni, point névralgique des revendications des employés municipaux en grève.


    Plusieurs établissements scolaires de Saint-Laurent-du-Maroni ont rencontré des difficultés ce lundi matin. À l’école Henri-Sabayo, certains enseignants, évoquant un manque de personnel pour garantir un cadre sûr, ont alerté les parents dont ces derniers sont repartis avec leurs enfants.


    La grève des employés municipaux complique le fonctionnement normal de l’école Solange-Hulic, notamment pour le nettoyage des sanitaires.


    Dans un autre établissement, une enseignante a confié que les toilettes n’avaient pas été nettoyées depuis vendredi dernier, suscitant des inquiétudes quant à l’hygiène. D’autres enseignants ont conseillé aux parents de garder leurs enfants, craignant que le manque de propreté rende l’accueil des élèves de maternelle impossible.


    L’école Joseph Saint-Symphorien illustre les perturbations causées par la grève, retardant l’accès des élèves à leurs salles de classe ce matin.


    Dans une école située à l’écart de la ville, les enseignants se sont interrogés sur les consignes à suivre pour gérer la situation en l’absence de personnel communal, soulignant un climat d’incertitude.

    Outre les écoles, certaines infrastructures sportives sont également concernées par la grève. Si le stade Orianne-Jean-François et la piscine restent ouverts, le gymnase Maximin-Noël et le stade René-Long sont fermés au public, impactant notamment les activités des clubs sportifs.


    Le gymnase Maximin Noël, fermé en raison de la mobilisation, figure parmi les infrastructures sportives touchées par la grève.


    Ce lundi matin, une réunion de plus de trois heures a réuni les cadres municipaux, des élus pour évaluer l’impact de la grève et organiser une réponse.

    David Jury, Directeur Général des Services (DGS) de la ville, a expliqué : « L’objectif est de garantir un service minimum pour les écoles et les infrastructures sportives, afin que les élèves et les clubs puissent reprendre leurs activités dans les meilleurs délais. »


    La grève des employés municipaux complique le fonctionnement normal de l’école Solange-Hulic, notamment pour le nettoyage des sanitaires.


    Un dispositif temporaire, incluant des agents volontaires et d’autres recrutés pour l’occasion, est en cours de déploiement.

    Nous espérons que les écoles maternelles pourront accueillir les élèves dans des conditions normales d’ici demain ou après-demain. Nous ajustons au jour le jour en fonction du nombre de grévistes

    précise David Jury.


    Malgré le contexte de la grève, les élèves continuent leurs activités dans des conditions adaptées par les enseignants et le personnel présent.


    Le dispositif mis en place pour pallier les effets de la grève représente un surcoût pour la commune. Néanmoins, la mairie insiste sur l’importance de garantir la continuité des services publics.


    Le DGS, David Jury, souligne les efforts déployés par la mairie pour garantir une continuité des services publics.


    Avec 11 000 élèves à Saint-Laurent-du-Maroni, tout le monde est impacté d’une manière ou d’une autre. Il est essentiel de minimiser les contraintes pour les familles

    souligne David Jury.

    Alors que la grève se poursuit, les efforts de la municipalité se concentrent sur la gestion des services les plus essentiels. Les écoles et infrastructures sportives restent au cœur des priorités, mais l’issue du conflit reste incertaine. La situation pourrait évoluer dans les jours à venir, selon les discussions entre la mairie et les grévistes.



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  • Guyane : Fin du pic de salinité à Saint-Laurent-du-Maroni, la situation se stabilise

    Guyane : Fin du pic de salinité à Saint-Laurent-du-Maroni, la situation se stabilise

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    Une eau à nouveau consommable et une situation assainie. Les dispositifs temporaires de distribution d’eau potable, installés pour pallier la contamination, seront démontés à compter du mercredi 20 novembre 2024.
    Les autorités recommandent toutefois aux patients souffrant d’insuffisance rénale avancée (stades 4 et 5) de continuer à éviter l’eau du robinet, en raison de sa salinité résiduelle. Pour ces personnes, la mairie maintient la distribution d’eau en bouteille dans les centres de dialyse.

    La situation pourrait évoluer début décembre, compte tenu du faible niveau de précipitations prévu. Les autorités suivent l’évolution de près et s’engagent à informer la population si de nouvelles mesures s’avéraient nécessaires.
    Pour toute information supplémentaire, les citoyens sont invités à contacter le service régional de communication interministérielle ou à consulter le site officiel de la préfecture de Guyane. 

     

    Damien CHAILLOT

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  • [Mairie de Mana] INFORMATION                                                          TRAVAUX D’E…

    [Mairie de Mana] INFORMATION TRAVAUX D’E…

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    INFORMATION TRAVAUX D’ENTRETIEN ET DE RÉNOVATION DANS LES ÉCOLES DE LA VILLE DE MANA

    Retour en images sur les récents travaux d’entretien et de rénovation réalisés dans le cimetière et les écoles primaires du bourg de Mana et de Javouhey.

    Ces travaux ont été réalisés par les agents du service technique de la commune, sous la supervision de Madame Marizia Dorilas, Directrice des Services Techniques.
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    Source : Page FB de la mairie de Mana