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  • [Gendarmerie]  #Judiciaire I Interpellation et saisie d’arme dans le secteur de “Petit Paris”,…

    [Gendarmerie] #Judiciaire I Interpellation et saisie d’arme dans le secteur de “Petit Paris”,…

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    🔵 #Judiciaire I Interpellation et saisie d’arme dans le secteur de “Petit Paris”, commune de Saint-Laurent du Maroni

    📅 Dans la soirée du mardi 5 novembre 2024, le Peloton d’Intervention de la Garde Républicaine (PIGR) a interpellé un individu qui était passager à bord d’un véhicule, dans le secteur de “Petit Paris”. Lors du contrôle, les agents ont découvert sur lui un pistolet d’alarme Stalker modifié en calibre 9 mm, avec deux munitions. Il a été placé en garde à vue à la Brigade Territoriale Autonome de Saint-Laurent du Maroni. 🔫

    Simultanément, le conducteur du véhicule, mineur et récidiviste de conduite sans permis, a été entendu à la Brigade Motorisée (BMO), en présence de son représentant légal, pour répondre de cette nouvelle infraction. ❌

    #Gendarmerie #Sécurité #Intervention #UneForceHumaine #Arme #GardeRépublicaine


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    Source : Page FB de la Gendarmerie de Guyane

  • [OTOG]  MISS SUMMER – 16 Novembre 2024 

Rejoignez-nous pour une journée exceptionnelle…

    [OTOG] MISS SUMMER – 16 Novembre 2024 Rejoignez-nous pour une journée exceptionnelle…

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    🌞 MISS SUMMER – 16 Novembre 2024 🌞

    Rejoignez-nous pour une journée exceptionnelle à la Place des fêtes de Maripasoula, où ambiance estivale, culture et festivités seront au rendez-vous ! Dès 9h, venez savourer un petit déjeuner, assister aux animations et soutenir les candidates du concours MISS SUMMER 2024. Au programme : défilés, danses traditionnelles, remises de récompenses, et des performances artistiques pour une soirée inoubliable. 💃🏽🎶

    Ne manquez pas cette occasion unique de célébrer la beauté, la culture et l’esprit festif de Maripasoula !

    #Maripasoula #Ouestguyane #summer2024


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    Source : Page FB de l’Office du Tourisme de l’Ouest Guyanais

  • [Guyane la 1ʳᵉ] le Maroni au plus bas, les pirogues et les marchandises paralysées

    [Guyane la 1ʳᵉ] le Maroni au plus bas, les pirogues et les marchandises paralysées

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    2024-11-08 12:47:57

    La Guyane fait face à une sécheresse sans précédent. Le niveau du Maroni est au plus bas, les pirogues et les marchandises ne circulent plus sur le fleuve de Saint-Laurent à Maripasoula, jusqu’aux villages du Haut-Maroni. Reportage.


    « La pirogue est à seulement 30 cm du fond », indique Ronaldo Mekou, les yeux rivés sur l’eau. Autour de nous, des amas rocheux et des bancs de sable, entravant la navigation. « Avant, tout était recouvert d’eau, aujourd’hui on voit des rochers qu’on avait jamais vus jusqu’à présent », s’inquiète le piroguier.


    A gauche du fleuve Maroni Maripasoula et en face Albina 2 sur la rive surinamaise


    La Guyane fait face à une sécheresse sans précédent avec des températures avoisinant les 40 degrés et la pluie qui se fait attendre. Après 18 mois de déficit pluviométrique, l’étiage du Maroni a atteint un niveau historiquement bas.
    À quelques dizaines de minutes de navigation de Papaichton, le piroguier nous débarque sur un îlot de roches au milieu de fleuve, un lieu habituellement recouvert d’eau. Au sol, la terre est craquelée, desséchée, à l’image d’un désert et pas d’un fleuve. Au ciel, le soleil brûle, la chaleur est étouffante. De mémoire d’anciens, voilà plus de 20 ans que le niveau de l’eau n’a pas été aussi bas. 


    Sur les bords du Maroni, un sol complètement désséché


    « À cette même période l’an dernier, les pirogues passaient entre Papaichton et Maripasoula, se souvient Ronaldo Mekou, piroguier, mais actuellement tout est au point mort. » Depuis début 2024, le débit du Maroni est toujours resté sous les normales saisonnières, selon la cellule de veille hydrologique de Guyane. 


    Un travail très dangerux pour les transporteurs, naviguer par les rochers à fleur d’eau


    « J’ai fait partir la dernière pirogue de Saint Laurent il y a trois semaines, retrace Raymond, un transporteur de Maripasoula. Elle a dû s’arrêter à Grand Santi, elle ne pouvait pas aller plus loin, C’était trop dangereux. Tout a été déchargé et réparti dans de plus petites pirogues ». 

    Il y a deux semaines, les dernières pirogues qui ont relié Saint-Laurent à Papaïchton ont mis huit jours au lieu d’un jour et demi en temps normal.
    « Ceux qui ont encore le courage de tenter d’arriver jusqu’à Papaichton organisent des rotations avec de petites pirogues et moins de chargement, explique Ronaldo Mekou, piroguier à Papaïchton. On est parti il y a quelques jours avec quatre barils de carburant, au lieu de 27 en temps normal. Malgré tout, on a eu du mal à les transporter jusqu’ici ». 


    Papaïchton au petit matin


    Les petites embarcations consomment aussi plus de carburants avec des trajets plus longs et plus techniques. Outre les coûts supplémentaires, il y a les risques encourus pour les piroguiers. «L’équipage devait suppléer aux difficultés du moteur, il fallait beaucoup d’efforts pour une trop grande prise de risques », ajoute Ronaldo Mekou. Triste démonstration : au départ de Maripasoula, une embarcation chargée de marchandises a chaviré, il y a deux semaines. La vidéo a fait le tour des réseaux sociaux.


    Un transport par pirogue rendu impossible par l’assèchement du Maroni


    Face au danger, des transporteurs ont jeté l’éponge. Plus aucune pirogue ne circule de Saint-Laurent à Maripasoula et jusqu’aux villages du Haut-Maroni. « Trop de risques et aucun bénéfice, heureusement que j’ai une autre activité à côté sinon c’était la mort assurée », souffle Jonathan Abienso, transporteur fluvial. 

    « J’ai plus de 300 tonnes de marchandises bloquées à Saint-Laurent, déplore-t-il. Généralement la fin d’année est une grosse période d’activité, les clients font du stock pour bien débuter l’année suivante». Ce transporteur fluvial estime perdre près de 30% de son chiffre d’affaire annuel, soit 100 000 euros. « La perte d’activité est énorme pour une petite entreprise comme la mienne ». 


    Le transporteur Jonathan Abienso a du arrêter ses activités, il n’y a plus assez d’eau pour naviguer


    Plus inquiétant encore : « Habituellement, on s’adapte à la saison sèche car elle ne dure pas. Cette fois-ci, on a bien compris que ça allait durer et c’est une catastrophe pour les habitants de Maripasoula et des communes du fleuve », ajoute Jonathan Abienso, transporteur fluvial. 

    L’année prochaine, il envisage de proposer à ces clients d’augmenter les stocks avant la saison sèche. « Mais c’est pas gagné d’avance car il leur faudra de la trésorerie », ajoute-t-il. 

    A Papaichton, une commerçante explique qu’elle a cessé toute commande. « Je ne vais pas acheter de marchandises sans être sûre de pouvoir les acheminer », commente Joyce Telon qui commande habituellement trois tonnes de marchandises tous les deux mois. Depuis le comptoir de sa supérette situé au bord du Maroni, elle confirme n’avoir jamais vu le niveau de l’eau aussi bas.


    Joyce Télon, commerçante à Maripasoula ne peut pas faire acheminer ses marchandises


    Partout ailleurs, les marchandises se raréfient dans  les rayons des supérettes de Maripasoula et Papaïchton. Le peu de produits encore disponibles se vend à prix d’or : 100 euros la bouteille de gaz, 18 euros le pack d’eau ou encore 30 euros le sac de 5 kilos de riz. Sur la rive opposée, au Suriname les prix aussi ont flambé.

    En attendant, le fret aérien a augmenté ses capacités d’acheminement, mais son prix reste plus élevé que le transport fluvial. Il faut compter 0,65 centimes pour acheminer un kilo de marchandises en pirogue contre environ le double en avion. 


    Des commerçants désoeuvrés qui n’ont pas gran-chose à proposer à leurs clients à Maripasoula


    De son côté, l’Etat a déclenché le plan ORSEC eau le 31 octobre dernier. Et la préfecture a annoncé renforcer les moyens, ce jeudi. Trois avions Casa de l’armée vont désormais acheminer des denrées alimentaires jusqu’aux communes du fleuve, y compris sur les communes isolées de l’Est car l’Oyapock est aussi touché. 

    A Papaïchton, deux agents de la sécurité civile viennent d’arriver pour recenser les besoins de la population en eau, en gaz et en produits de première nécessité. D’autres équipes sont aussi déployées à Grand Santi et Maripasoula. Ils devront par la suite contrôler les prix pratiqués dans ces communes. Les marchandises seront ensuite acheminées en conséquence, promet l’Etat.

    Une solution d’urgence pour venir en aide aux habitants dans les jours qui viennent. Mais quelles seront les solutions à moyen terme ? Météo France Guyane annonce déjà une pluviométrie déficitaire pour tout le mois de novembre. Certains prévisionnistes estiment même que cela pourrait durer jusqu’en décembre. 


    Le fleuve Maroni asséché à son plus bas niveau




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  • Les  « Journées économiques des Outre-mer – Actes de la Recherche UltraMarine (ARUM)» 2024 se tiendront les 14 et 15 novembre au CESE

    Les  « Journées économiques des Outre-mer – Actes de la Recherche UltraMarine (ARUM)» 2024 se tiendront les 14 et 15 novembre au CESE

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    Organisée tous les deux ans au CESE, la précédente a eu lieu en 2022, la conférence ARUM est un lieu de rencontre ouvert à l’ensemble des acteurs publics et privés intéressés par les Outre-mer et aux chercheurs de toutes disciplines dont les travaux sont en lien avec des questions d’actualité sur les Outre-mer français. Pour cette deuxième édition, trois tables rondes réuniront des acteurs clés pour y débattre sur des thèmes en lien avec l’actualité économique et sociale des outre-mer : « Vie chère et fiscalité » ; « Environnement, transition énergétique et développement durable » ; « Evolution des statuts institutionnels ». Plus de 60 communications seront présentées par des chercheurs lors des 15 sessions parallèles et des sessions poster. Enfin, trois conférences plénières auront pour thème « Les îles face aux nouveaux enjeux économiques et géopolitiques », par Jean Crusol, économiste ; « Les évolutions institutionnelles à l’œuvre dans les Outre-mer français », par Ferdinand Mélin-Soucramanien, juriste ; « De la Nouvelle-Calédonie à la Polynésie française, du colonial au postcolonial, de l’Ecole à la prison : itinéraire d’une chercheuse dans le Pacifique français », par Marie Salaün, sociologue.

    D’un point de vue institutionnel, la conférence est organisée par 10 laboratoires de recherche dont les thématiques portent sur les Outre-mer, avec l’appui de deux groupements de recherche, l’Atelier des Outre-mer (ATOM) et la fédération de recherche du CNRS « Théorie et Evaluation des Politiques Publiques » (TEPP), et avec le soutien de la Maison de la Recherche en Sciences Humaines de l’Université Caen Normandie. 

    Les principaux partenaires institutionnels sont l’Agence Française pour le Développement, le CESE, la région Réunion et la région Guadeloupe. Le comité d’organisation est composé d’Amélie Chung (Université de Nouvelle-Calédonie), Frédéric Chantreuil (Université de La Réunion), Jean-François Hoarau (Université de La Réunion) Isabelle Lebon (Université de Caen Normandie), Yannick L’Horty (Université Gustave Eiffel) et Sébastien Mathouraparsad (Université des Antilles). L’organisation mobilise également un comité scientifique composé de 34 experts de toutes disciplines sur les zones Atlantique, Océan indien, Pacifique et en Europe.

    Lire aussi : La première édition des Journées Economiques de l’Outre-Mer (JEOM) du 11 au 13 octobre à Paris

    Davantage de détails sur cet évènement figurent sur le site de la conférence : https://arum2024.sciencesconf.org/

     

     

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  • [France-Guyane] Saint-Laurent : Incendie de la décharge de la CCOG, les quartiers de la piste Paul Isnard incommodés

    [France-Guyane] Saint-Laurent : Incendie de la décharge de la CCOG, les quartiers de la piste Paul Isnard incommodés

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    Faits-Divers

    Saint-Laurent : Incendie de la décharge de la CCOG, les quartiers de la piste Paul Isnard incommodés

    La Rédaction
    vendredi 8 novembre 2024

    incendie à SLM de l’ISDND • DR

    En début de soirée, un incendie s’est déclaré dans l’ISDND (Installation de déchets non dangereux) situé sur l’écopole Colibri à Saint-Laurent du Maroni. Une installation gérée par la CCOG à Saint-Laurent du Maroni. 3000 m2 sont partis en fumée.

    Le feu est impressionnant d’autant plus qu’il est ravivé par le vent présent à Saint-Laurent-du-Maroni. Les matières exposées, issues des décharges sauvages ramassées par les services intercommunaux avant leur traitement au sein de l’ISDND (Installation de déchets non dangereux) situé sur l’écopole Colibri gérée par la Communauté de communes de l’Ouest guyanais (CCOG) sont parties en flamme. Tout brûle et cela semble inexorable.

    Un incendie circonscrit dans les 3000 m2

     

    Sophie Charles, la maire de Saint-Laurent et présidente de la CCOG s’est rendue sur place, quasiment immédiatement.  Le feu était circonscrit dans les 3 000 m2 à l’intérieur de la décharge, à l’entrée. Les consignes à la population ont été rapidement données. Les fumées ont incommodé tous les habitants de la piste Paul Isnard où les vents les envoyées. 

    Les causes de l’incendie n’étaient pas claires. Sophie Charles émettait l’hypothèse des fortes chaleurs. Le feu a été maîtrisé par la vingtaine de pompiers vers 1 h45 du matin selon notre confrère de Guyane la 1ère Eric Léon.

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  • [Mairie de Mana] INFORMATION 
COUPE DE LA CCOG 1/2 FINALE

Rencontre ASCS MARIPASOULA et VS ASCO …

    [Mairie de Mana] INFORMATION COUPE DE LA CCOG 1/2 FINALE Rencontre ASCS MARIPASOULA et VS ASCO …

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    INFORMATION
    COUPE DE LA CCOG 1/2 FINALE

    Rencontre ASCS MARIPASOULA et VS ASCO le samedi 16 novembre 2024 à 16h00 au stade Guy MARIETTE à Mana.
    Venez nombreux
    Entrée gratuite


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    Source : Page FB de la mairie de Mana

  • Incendie à Saint-Laurent du Maroni : le site de stockage de déchets touché – Mo News

    Incendie à Saint-Laurent du Maroni : le site de stockage de déchets touché – Mo News

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    Le feu a été maîtrisé plusieurs heures après son départ, aux environs de 1h30.

    Un incendie important s’est déclaré hier soir vers 18h30 à l’ISDND (Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux) de l’écopole Colibri à Saint-Laurent du Maroni, touchant « une zone circonscrite d’environ 3000 m² en début de décharge ». Ce secteur abritait des déchets non encore triés, alimentant un feu impressionnant.

    Émanations de fumées  potentiellement toxiques

    Présente rapidement sur place, la maire et présidente de la CCOG, Sophie Charles, a immédiatement mobilisé la police municipale pour avertir les riverains et les inviter à se calfeutrer afin de se protéger des fumées potentiellement nocives.

    Heureusement, l’incendie a été maîtrisé [aux environs de 1h30, ndlr] avant de se propager au reste du site.

    Selon les premières hypothèses avancées, les fortes chaleurs récentes pourraient avoir favorisé le déclenchement de cet incident.

    Une vingtaine de pompiers a été déployée pour combattre cet incendie.

     

     


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  • [Mairie de SLM] Planning des Regroupements et Compétitions

Du 09/11/2024 et 10/11/2024

Découvr…

    [Mairie de SLM] Planning des Regroupements et Compétitions Du 09/11/2024 et 10/11/2024 Découvr…

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    ⚽️🏀Planning des Regroupements et Compétitions🏈🏐

    ➡️Du 09/11/2024 et 10/11/2024

    Découvrez le programme des regroupements et compétitions prévues pour la fin de semaine du 09 et 10 Novembre 2024. Que vous soyez participant ou spectateur, ne manquez pas ces événements sportifs qui rythmeront ces journées.

    📞 0594 34 86 05

    #RegroupementsSportifs #ÉvénementSportif #RendezVousSportif #saintlaurentdumaroni



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    Source : Page FB de la Mairie de Saint-Laurent du Maroni

  • Vidéo. Un incendie impressionnant a détruit 3 000 m² de déchets non triés à l’Écopôle Colibri, provoquant des risques de fumées toxiques.

    Vidéo. Un incendie impressionnant a détruit 3 000 m² de déchets non triés à l’Écopôle Colibri, provoquant des risques de fumées toxiques.

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    Jeudi 7 novembre, un incendie a ravagé des déchets non triés à l’Écopôle Colibri, ancienne décharge de la CCOG à Saint-Laurent-du-Maroni. L’intervention, mobilisant 23 pompiers avec renforts de Mana, s’est poursuivie jusqu’à 1h30 du matin. Les fumées toxiques ont poussé les autorités à recommander le confinement aux habitants proches.

    Des flammes dévorant une vaste zone de déchets non triés. C’est la scène à laquelle les secours ont dû faire face ce jeudi soir à l’Écopôle Colibri, site de gestion des déchets situé sur l’ancienne décharge de la Communauté des Communes de l’Ouest Guyanais (CCOG). Ce site, qui regroupe la déchèterie Colibri, l’ISDND (Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux) et le centre de tri Citéo, a exigé une intervention rapide et de grande ampleur.


    Sophie Charles et les gendarmes échangent sur les actions à mener pour garantir la sécurité des riverains, alors que le feu continue de brûler à l’Écopôle Colibri.


    Au total, 23 pompiers, dont des renforts du centre de secours de Mana, ont été mobilisés pour circonscrire le feu, complexe en raison de la nature hétérogène des matériaux, souvent issus de dépôts sauvages, et propices à l’embrasement. Les flammes ont touché une superficie de 3 000 m² et dégagé des fumées potentiellement toxiques, incitant les autorités à recommander le confinement aux habitants proches, notamment ceux résidant en direction de la route de Paul Isnard.


    Sophie Charles, présidente de la CCOG, coordonne les opérations avec les forces de sécurité sur les lieux du sinistre pour suivre de près l’évolution de l’incendie.


    Sophie Charles, présidente de la CCOG, s’est rendue sur place pour coordonner les efforts de ses équipes avec les secours. Ce n’est que très tard dans la nuit, vers 1h30 du matin, que les sapeurs-pompiers sont parvenus à stopper la propagation des flammes et à écarter tout danger pour le reste du site. Le dispositif mis en place a permis de diminuer les fumées et de stabiliser la situation pour protéger les riverains.


    Les pompiers, en tenue de protection, se préparent pour attaquer les flammes de l’Écopôle Colibri, où des déchets variés brûlent depuis la tombée de la nuit.


    La chaleur intense de ces derniers jours a probablement contribué au déclenchement de ce feu dans une zone sensible

    a expliqué Sophie Charles, qui s’inquiétait des conséquences sanitaires pour les riverains. Elle a souligné l’importance des efforts combinés des pompiers, des forces de sécurité et du personnel de la décharge pour parvenir à sécuriser le site et protéger la population locale.


    Une montagne de déchets en flammes dégage d’épaisses fumées noires, mobilisant une vingtaine de pompiers et menaçant la qualité de l’air environnant.




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