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  • [France-Guyane] Un calvaire familial : la quête de vérité après le décès inexpliqué de Jeanine Phanis au Chog

    [France-Guyane] Un calvaire familial : la quête de vérité après le décès inexpliqué de Jeanine Phanis au Chog

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    SANTE

    Un calvaire familial : la quête de vérité après le décès inexpliqué de Jeanine Phanis au Chog

    Gaëtan TRINGHAM, g.tringham @agmedias.fr
    mercredi 30 octobre 2024

    Lors de la conférence organisée ce 30 octobre pour révéler l’affaire. Les parents de victime sont assis à droite, devant leur avocat et le président de l’association des usagers du Chog. Un portrait de leur fille défunte est exposé au milieu. • G.T

    Cela fait quatre mois que Jeanine Phanis, 22 ans, a perdu la vie dans des conditions extrêmement troubles au Centre hospitalier de l’Ouest guyanais (Chog). La famille n’a toujours pas d’explications sur les causes de ce décès que rien ne laissait supposer. Avec leur avocat et l’Association des usagers du Chog, ils demandent des réponses et soupçonnent une erreur médicale grave. Une enquête a été ouverte.

    C’est une bien triste affaire qui remonte à la surface. Elle illustre ce qui pourrait être une erreur médicale gravissime commise au Centre hospitalier de l’Ouest-guyanais (Chog). 

    Nous sommes le 24 juin 2024, à Saint-Laurent du Maroni. Jeanine Phanis, 22 ans, en 3e année de licence, a récemment eu une contrariété sentimentale. La jeune femme ne dort plus beaucoup et ne se nourrit quasiment plus. Ses parents, inquiets, l’amènent voir leur médecin traitant. Celui-ci ne décèle rien de grave, mais recommande tout de même un séjour à l’hôpital.

    Jeanine est amenée aux urgences. L’état physique de la Saint-Laurentaise est vérifié. Toujours aucun signe particulièrement alarmant n’est relevé par les médecins qui multiplient les prélèvements. Diana Phanis, sa mère, reste à son chevet. Faute de place dans d’autres services, Jeanine reste six jours aux urgences. Le 2 juillet, un transfert dans le service psychiatrique est finalement décidé. « On est immédiatement mal reçu, la communication est lamentable« , se rappelle le père, Jean Phanis. Il s’exprime ici dans le cadre d’une conférence de presse organisée ce 30 octobre pour mettre en lumière cette affaire. 

    « Je vous ai amené mon enfant vivant, comment est-ce que je le retrouve mort ? « 

    Les parents ne sont plus autorisés à rester auprès de leur fille. « Ma fille m’a dit ce soir-là, ‘Papa, je ne veux pas rester ici’… c’est la dernière image que j’ai d’elle« , raconte Jean Phanis. Le 3 juillet, pendant la journée, les parents n’ont aucune nouvelle. C’est finalement le soir, vers 19 h, après un second appel à l’hôpital, qu’une personne déclare à la mère : « Votre fille a fait un malaise. Elle est en train de mourir. Elle ne va pas s’en remettre« , selon les propos que l’on nous rapporte. Cela faisait à peine 24 heures qu’elle était entrée au service psychiatrie. L’incompréhension et le choc. 

    Le père débarque en premier au Chog. Alors que sa fille se trouve encore sur un lit de réanimation, l’homme est accueilli par ces mots glaçants : « Si vous voulez savoir ce qu’il s’est passé, il faut aller au service psychiatrie. Ce n’est pas moi qui ai tué votre enfant. » Ce même médecin aurait déclaré la même chose à la mère quelques instants plus tard. « Là, je suis complètement perdu… À ce moment, on se croit dans un film d’horreur« , se remémore Jean Phanis. « Pourquoi vous avez tué mon enfant ?« , demande la mère. Les parents attendent ce soir-là jusqu’à minuit pour avoir des nouvelles et apprennent alors que leur fille se dirige vers une chambre froide. Jeanine Phanis ne s’est pas réveillée. Le lendemain, les parents se rendent finalement au service psychiatrie. Diana Phanis a de quoi s’interroger : « Je vous ai amené mon enfant vivant, comment est-ce que je le retrouve mort. » On lui répond par l’incompréhension. On lui explique qu’elle s’est urinée dessus et qu’elle est tombée.  Aucune précision sur l’endroit ou le moment n’est donnée. Comment comprendre un décès par un supposé malaise cardiaque, sur une jeune femme qui n’avait aucun antécédent de la sorte ? Quatre mois plus tard, les parents n’en savent toujours pas plus. 

    « Un calvaire inadmissible« 

    Effectivement, c’est ici que commence le « calvaire inadmissible que les parents ont subi« , intervient l’avocat de la famille, Jean-Yves Marcault-Derouard. Dès le 16 juillet, les parents demandent une copie du dossier médical. Un document que l’avocat estime « très urgent à pouvoir consulter« , pour « aider la famille à faire son deuil » et pour « essayer de connaitre les conditions dans lesquelles le décès est arrivé« . Ce document ne vient pas malgré plusieurs relances, dont une appuyée le 26 juillet par un courrier envoyé par Me Marcault-Derouard à la direction du Chog. Un document que nous avons pu consulter. Sans ce dossier, il est impossible pour les parents de connaître les soins apportés à la victime dans le service. 

    Face à l’absence de réponse, une plainte est déposée le 6 août à l’encontre du centre hospitalier. C’est à peu près au même moment que l’Association des usagers du Chog (Aduchog) se saisit également du dossier. Le 6 septembre, les parents et l’association sont enfin reçus par un membre de la direction. Celui-ci admet qu’ « il y a eu des défaillances sur la communication avec la famille. » Des condoléances sont exprimées. Rien de plus n’est dit sur les circonstances de la mort. Seulement, que le dossier médical « est en cours de constitution. » Il arrive enfin le 9 septembre. Celui-ci « n’apporte absolument aucune information« , déplorent Laurent Priou, président de l’Aduchog, et l’avocat. « C’est un dossier médical manifestement transfiguré« , juge même ce dernier. Dans sa transmission, le Chog indique également que le décès est toujours inexpliqué et reconnait qu’il existe « des zones d’ombre en ce qui concerne les conditions de son décès. » 

    On apprend par ailleurs, selon le certificat de décès que nous avons pu consulter, qu’aucune demande d’autopsie ou de recherche de cause du décès n’a été réalisée par le médecin. Une décision prise sans en informer les parents. 

    La possibilité d’une erreur médicale grave

    Rien ne laissait supposer un tel décès. L’avocat de la famille mentionne la possibilité d’une « erreur médicale grave » dans un courrier au procureur. Une théorie appuyée par un témoignage apporté par le conseil au dossier. Dans celui-ci, une personne présente dans les couloirs du service psychiatrique, ce jour-là, témoigne de la panique du personnel hospitalier peu de temps avant le décès. L’hypothèse de l’intoxication médicamenteuse est évoquée par l’Aduchog, association qui comporte des professionnels de la santé. Cette intoxication serait l’une des possibilités les plus probables « pour une personne qui décède d’un malaise cardiaque, alors qu’elle n’avait aucun antécédent cardiaque« . Pour autant, rien ne permet encore d’assurer avec certitude que Jeanine Phanis est bien décédée d’un malaise cardiaque.

    Le 22 octobre, finalement, le parquet a confirmé à Me Marcault-Derouard qu’une enquête avait été ouverte à la suite de la plainte déposée. Celle-ci devrait déterminer s’il y a eu, ou non, un homicide involontaire.

    Une affaire révélatrice, inscrit dans un contexte plus large

    Contacté, le directeur par intérim de l’Agence régionale de santé ARS), Romain Brochard, a indiqué : « Conformément à l’évaluation de l’équipe médicale, cet incident n’a pas fait l’objet d’un signalement en tant qu’événement indésirable grave auprès de l’Agence régionale de santé de Guyane. Les équipes ont estimé que les conditions du décès ne répondaient pas aux critères d’un tel signalement. Cependant, en raison de l’importance que j’accorde à la qualité des soins, j’ai demandé à Madame Ninon Gautier (la directrice de l’établissement, NDLR) de me transmettre tous les éléments précis et exhaustifs concernant la prise en charge de Madame Phanis. La sécurité des soins et la communication claire avec les patients et leurs familles figurent parmi nos priorités majeures. » La directrice du Chog, en lien avec la direction de l’ARS s’est associée à cette réponse. 

    Laurent Priou, de l’Auduchog, signale par ailleurs que cette affaire s’inscrit dans un contexte plus large. « Plusieurs cas de dysfonctionnement sont en train d’être soulevés. Cette affaire est révélatrice. » L’association a prévenu qu’une conférence de presse serait menée, mais n’a pas reçu plus de précisions sur les conditions de la mort de Jeanine avant qu’elle se tienne. « On a été transparent, on attendait la même chose. » Une autre affaire médiatique a mis en avant des dysfonctionnements au sein du même établissement : celle de l’escroquerie présumée à plus de 4 millions d’euros par la société AZ DOM, dans laquelle la complicité de médecins urgentistes a été mise en lumière. L’association s’appuie également sur les derniers mauvais résultats du Chog dans ses Indicateurs Qualité et de Sécurité des Soins (IQSS), émis par la Haute autorité de santé (HAS). Le Chog reçoit par exemple une note de 2% dans l’anticipation de la prise en charge de la douleur.

    Laurent Priou enjoint ainsi la nouvelle directrice à « prendre ses responsabilités. Le temps de l’impunité est fini » et dit aux usagers « ne vous laissez plus faire. »

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  • [CTG] [COMMUNIQUÉ] Situation de crise sur le Maroni et l’Oyapock : la Collectivité Ter…

    [CTG] [COMMUNIQUÉ] Situation de crise sur le Maroni et l’Oyapock : la Collectivité Ter…

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    ❗️[COMMUNIQUÉ] Situation de crise sur le Maroni et l’Oyapock : la Collectivité Territoriale de Guyane pleinement mobilisée



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    Source : Page FB de la Collectivité Territoriale de Guyane

  • [Parc Amazonien] #Etoile #stars Saül Kontré : Sur les traces des étoiles 

Le week-end dernier, d…

    [Parc Amazonien] #Etoile #stars Saül Kontré : Sur les traces des étoiles Le week-end dernier, d…

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    #Etoile #stars Saül Kontré : Sur les traces des étoiles

    Le week-end dernier, du 25 au 27 octobre, la mairie de Saül et le Parc amazonien de Guyane ont organisé la 2ème édition de l’évènement « Saül Kontré ».

    La thématique cette année : de l’infiniment grand à l’infiniment petit. Observer le ciel, la lune, les planètes et les étoiles en plein cœur de la Guyane dans le cadre idyllique de Saül, c’était le programme de ces journées autour des étoiles avec des partenaires comme Guyane Astronomie et la Canopée des Sciences.

    Mais quand les étoiles sont aussi des stars locales : des musiciens chevronnés, de la grimpe vers les étoiles et des chefs étoilés ou pas cela donne aussi des activités multiples durant ces journées.

    Une toile géante avec Bradley Thakur et la réalisation d’une fresque en 4 x 3 sur l’école de Saül… le jaguar protecteur

    Un chef influenceur sur les réseaux sociaux avec Patrick Tien, bien connu pour ses vidéos sur Tik Tok et pour avoir remporté à 3 reprises le concours du meilleur Bouyon Wara.

    Des brillantes étoiles musicales avec ces pointures de la musique locale qui se sont produites pour la première fois à Saül comme les duos Erwan Escloupier, saxophoniste et Farid Slimani, guitariste ou Denis Lapassion, pianiste et Franck Cebret, percussionniste, ils ont terminé par une Jam session avec le jeune groupe local Papillos.

    Un saut sur la planète Takoo avec le dessinateur manga Therry Dupré.

    Une ascension vers les étoiles avec Rebranchetoi ou grimper dans l’arbre remarquable, plus belle arbre de l’année en 2015, le Fromager de Saül à 55 mètres de haut.

    S’évader dans la nuits par les paroles des conteuses Marie-Claire Newton et Mauricienne Fortino.

    Sans oublier les sorties en forêt, caractéristiques de Saül, des sorties nocturnes autour du peuple de la nuit. Du sport, marche, tir à l’arc, volley, zumba (octobre rose) des jeux et le concours gastronomique incluant habitants et visiteurs.

    Saül Kontré compte s’ancrer pour longtemps au cœur de la Guyane.
    On vous y attend l’année prochaine pour la 3ème édition autour du dernier week-end du mois d’octobre et des vacances de la Toussaint.
    Le rendez-vous est pris…






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    Source : Page FB du Parc Amazonien de Guyane

  • [Mairie Awala-Yalimapo] #AwalaYalimapo : magnifique nature à voir à Awala-Yalimapo. 

Vous l’avez peut-ê…

    [Mairie Awala-Yalimapo] #AwalaYalimapo : magnifique nature à voir à Awala-Yalimapo. Vous l’avez peut-ê…

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    #AwalaYalimapo : magnifique nature à voir à Awala-Yalimapo.

    Vous l’avez peut-être remarqué quand vous arrivez à Awala-Yalimapo. La couleur jaune illumine la place des 4 esprits.. Une beauté de la nature !






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    Source : Page FB de la mairie d’Awala-Yalimapo

  • [Mairie de Mana] INFORMATION 
COURS DE BIGUINE ET DE MAZURKA À MANA

Les Associations Game United…

    [Mairie de Mana] INFORMATION COURS DE BIGUINE ET DE MAZURKA À MANA Les Associations Game United…

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    INFORMATION
    COURS DE BIGUINE ET DE MAZURKA À MANA

    Les Associations Game United, Mana Basket Association et Cantinho do Brasil 973 organisent des Cours de Biguine et de Mazurka à partir du 8 novembre 2024, tous les vendredis de 19h00 à 20h30 au Centre Social Makandra.

    Infoline : 0694 22 72 12 – 0694 95 15 67


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    Source : Page FB de la mairie de Mana

  • [Guyane la 1ʳᵉ] Un réseau de prostitution démantelé à Cayenne

    [Guyane la 1ʳᵉ] Un réseau de prostitution démantelé à Cayenne

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    2024-10-30 14:40:42

    Neuf prostituées ont été entendues et trois personnes ont été mises en cause dans le cadre de cette affaire. Ces trois suspects ont été déférés au tribunal judiciaire le 29 octobre.


    L’enquête a duré plusieurs semaines


    Plusieurs semaines d’enquête ont abouti, la semaine dernière, au démantèlement d’un réseau de prostitution à Cayenne.

    L’opération a été menée par les policiers de l’Office de lutte contre le trafic illicite de migrants qui a entendu neuf prostituées. Sur ses réseaux sociaux, la Police nationale de Guyane indique qu’un «couple percevant un pourcentage sur les passes, ainsi qu’un homme percevant les loyers ont été interpellés».


    Les enquêteurs ont aussi saisi une maison et un SUV de marque allemande


    Les enquêteurs ont, par ailleurs, saisi une maison, un SUV de marque allemande, 50 000 euros sur un compte bancaire ainsi que 3 000 euros en liquide.

    Les trois personnes mises en cause ont été déférés le 29 octobre au tribunal judiciaire de Cayenne.


    Trois personnes ont été mises en cause



    L’opération a été menée par les policiers de l’Office de lutte contre le trafic illicite de migrants



    3 000 euros en liquide ont été saisis ainsi que 50 000 euros sur un compte



    Le réseau a été démantelé à Cayenne




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  • [CTG]  𝐀𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐱𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐠𝐮𝐲𝐚𝐧𝐚𝐢𝐬𝐞 *

La Guyane regorge de potentialités et de t…

    [CTG] 𝐀𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐱𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐠𝐮𝐲𝐚𝐧𝐚𝐢𝐬𝐞 * La Guyane regorge de potentialités et de t…

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    🎥 𝐀𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐱𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐠𝐮𝐲𝐚𝐧𝐚𝐢𝐬𝐞🇬🇫 ✨*

    La Guyane regorge de potentialités et de talents.

    Ces derniers s’illustrent chaque jour dans des domaines variés, contribuant ainsi à faire de la Guyane une terre d’excellence. Mais qui sont-ils ?

    La Collectivité Territoriale de Guyane souhaite les mettre en lumière.

    📆Pour cela, chaque mois, un savoir-faire, un talent, ou un parcours inspirant sera valorisé.

    Pour ce premier numéro , la CTG est allée à la rencontre de Kelly Joseph, fondatrice de la marque Kymea ⤵️
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    Source : Page FB de la Collectivité Territoriale de Guyane

  • [CTG] [Lutte contre la maladie du Manioc] Une technique de multiplication et d’assaini…

    [CTG] [Lutte contre la maladie du Manioc] Une technique de multiplication et d’assaini…

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    🚜🍠[Lutte contre la maladie du Manioc] Une technique de multiplication et d’assainissement des plants de maniocs enseignée aux agriculteurs d’Iracoubo et bientôt accessible sur tout le territoire

    Le jeudi 24 octobre 2024, une opération de démonstration de montage d’une chambre thermique pour la multiplication de boutures et l’assainissement des maniocs a eu lieu à Iracoubo. Conduite par le CIRAD et financée par la CTG, cette expérimentation s’inscrit dans la lutte contre la propagation de la maladie du manioc, un fléau qui affecte cette culture essentielle en Guyane.

    Ce projet représente une réponse concrète à cette problématique observée dans les abattis depuis 2022.

    L’opération de démonstration a permis aux participants de reconnaître les symptômes de la maladie du manioc et d’apprendre des techniques de multiplication de mini-boutures saines et des bonnes pratiques pour limiter les risques sanitaires.

    Le programme Sanimanioc prévoit des sessions de sensibilisation et de formations gratuites et ouvertes à tous, sous réserve d’inscription au préalable. Les personnes intéressées peuvent compléter le formulaire d’inscription disponible en ligne, via le lien ci-dessous ⤵

    ❗️Des formations supplémentaires seront prochainement organisées dans d’autres localités, notamment à Saint-Laurent, Maripasoula, et Camopi.

    ➡️🖥Pour tout renseignement, contacter :
    yi.zheng@cirad.fr
    margaux.llamas@cirad.fr






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    Source : Page FB de la Collectivité Territoriale de Guyane

  • [Gendarmerie]  #Judiciaire | Saisie d’arme de calibre 12 à Saint-Laurent du Maroni

 Mardi 29 …

    [Gendarmerie] #Judiciaire | Saisie d’arme de calibre 12 à Saint-Laurent du Maroni Mardi 29 …

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    🔍 #Judiciaire | Saisie d’arme de calibre 12 à Saint-Laurent du Maroni

    📅 Mardi 29 octobre 2024, les gendarmes de la Brigade Territoriale Autonome (BTA) de Saint-Laurent-du-Maroni ont effectué une perquisition au domicile d’un individu placé en garde à vue.

    📍 L’opération a permis de découvrir et de saisir un fusil monocoup de calibre 12 ainsi que des munitions. Une intervention qui s’inscrit dans notre engagement pour la sécurité de tous et la lutte contre la détention d’armes illégales.

    #Sécurité #Engagement #GendarmerieGuyane #UneForceHumaine #Gendarmerie #Guyane #Arme


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    Source : Page FB de la Gendarmerie de Guyane