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  • [France-Guyane] Un Guyanais soupçonné de dizaines de viols entre la France, le Suriname et Saint-Laurent

    [France-Guyane] Un Guyanais soupçonné de dizaines de viols entre la France, le Suriname et Saint-Laurent

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    Faits-Divers

    Un Guyanais soupçonné de dizaines de viols entre la France, le Suriname et Saint-Laurent

    S.Z.
    jeudi 24 octobre 2024

    Les témoignages accusent un même homme d’être un violeur multi-récidiviste (photo d’illustration). • SHUTTERSTOCK

    Une adolescente a dénoncé sur Tiktok un viol qu’elle aurait subi de la part d’un Guyanais installé en Hexagone. Ses vidéos ont suscité de nombreux témoignages d’autres victimes supposées.

    Dans une série de vidéos publiée sur Tiktok, la
    jeune femme, visiblement émue, raconte l’horreur. Dans une
    alternance de sranan tongo et de hollandais, cette adolescente de
    17 ans explique avoir été droguée puis violée par un Guyanais,
    Jules S., dont elle donne le compte Tiktok et qu’elle qualifie de
    « pédophile » et de « violeur« .

    Visionné plus de 160 000…

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  • [Gendarmerie] #Papaïchton I Plongée au cœur de l’isolement à la brigade de Papaïchton

Découvr…

    [Gendarmerie] #Papaïchton I Plongée au cœur de l’isolement à la brigade de Papaïchton Découvr…

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    🌿#Papaïchton I Plongée au cœur de l’isolement à la brigade de Papaïchton

    Découvrez la vie extraordinaire des gendarmes de l’une des brigades les plus isolées de France, à Papaïchton, en pleine forêt amazonienne. Suivez leur quotidien unique et leur engagement sans faille dans cette région reculée de Guyane.

    🔗 Lisez l’article complet réalisé par le Service d’Information et de Relations Publiques de la Gendarmerie (SIRPAG) de la gendarmerie : https://tinyurl.com/3rwn3zmp
    #GendarmerieDeGuyane #Papaïchton #ForêtAmazonienne #MissionImprobable #VieIsolée #AventureAmazonienne #SécuritéGuyane #Dévouement


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    Source : Page FB de la Gendarmerie de Guyane

  • [CTG]  La Guyane précurseur en matière de coopération sanitaire et de recherche scient…

    [CTG] La Guyane précurseur en matière de coopération sanitaire et de recherche scient…

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    🔬🇬🇫🇮🇩 La Guyane précurseur en matière de coopération sanitaire et de recherche scientifique avec l’Indonésie.

    Le IMEDIC, congrès de Médecine Militaire co-organisé par l’AFIMU (Association Française de Médecine d’Urgence) basée en Guyane et présidée par le Professeur Jean Pujo, et l’Université de la Défense à Santul en Indonésie, se déroule en ce moment à Jakarta.

    Créé sous l’impulsion du nouveau président de l’Indonésie, Monsieur Prabowo Subianto, ce symposium réunit plus d’un millier de congressistes en présence des plus hautes autorités du pays et autres représentants de l’ASEAN.

    À cette occasion, Gabriel Serville, président de la Collectivité Territoriale de Guyane, a fait le déplacement afin de rencontrer les autorités de la Défense et de la Santé, les représentant des Universités partenaires, FKUI de Jakarta, RIDU à Santul et Airlangga à Surabaya, ou encore le directeur national de la Food & Drugs Agency.

    Ces échanges visent à renforcer un partenariat déjà très concret dans le domaine de la recherche médicale, en s’appuyant notamment sur la création d’un Centre International de Toxicologie dédié à l’étude des serpents et la fabrication d’anti-venins dont la principale partie des activités sera basée en Guyane, mais également dans la domaine des nanotechnologies pour le traitement des maladies neuro-dégénératives ou encore le traitement bionanotechnique des eaux grises.

    Cette démarche s’inscrit dans la continuité des relations établies depuis plusieurs années entre la Guyane et l’Indonésie.






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    Source : Page FB de la Collectivité Territoriale de Guyane

  • [CTG]  Coup d’envoi des Jeux Inter Guyanes 2024 !

Après les précédentes éditions au G…

    [CTG] Coup d’envoi des Jeux Inter Guyanes 2024 ! Après les précédentes éditions au G…

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    🇬🇫🇬🇾🇸🇷 Coup d’envoi des Jeux Inter Guyanes 2024 !

    Après les précédentes éditions au Guyana en 2022 et au Suriname en 2023, c’est la Guyane française qui accueille cet événement sportif👏

    La cérémonie d’ouverture s’est déroulée ce mercredi 23 octobre 2024, au PROGT de Matoury, marquant le début d’une compétition qui rassemblera plus de 450 participants, dont 120 à 130 athlètes guyanais.🇬🇫

    🏊‍♀️⚽🏀🏐🏓 Proposant des épreuves dans plusieurs disciplines, telles que la natation, le futsal, le basket-ball, le beach-volley, les échecs, l’athlétisme et le tennis de table, ces Jeux promettent d’être un moment fort de cohésion entre la Guyane, le Guyana et le Suriname. 🤝

    🗣️ « Soyez les ambassadeurs de vos pays à travers cet échange sportif mais aussi linguistique et culturel, sous l’égide du fair-play, du respect des règles, de l’amitié et de l’entraide. » – Gilles Le Gall, conseiller territorial délégué aux sports et loisirs

    En plus des délégations de sportifs, la cérémonie a vu la participation de Gordon Touw Ngie Tjouw, directeur des sports du Suriname, et de Steve Nivalle, directeur des sports du Guyana. Un plateau artistique varié était également proposé. Le public a en effet pu assister aux prestations de l’orchestre de la CTG, des sambistes de Be-Fit, et au final proposé par l’artiste Venssy 🎶.

    Ligue de Basket-ball de la Guyane Ligue de Tennis de Table de Guyane Ligue Régionale d’Athlétisme de Guyane LIGUE DE GUYANE DE VOLLEY-BALL La Ligue de Guyane Des Echecs Ligue De Natation Guyane

    #JeuxInterguyanes2024 #Sport #Cohésion #Guyane #Suriname #Guyana






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    Source : Page FB de la Collectivité Territoriale de Guyane

  • [Guyane la 1ʳᵉ] Le visage d’Albina 2 après le terrible incendie de la nuit

    [Guyane la 1ʳᵉ] Le visage d’Albina 2 après le terrible incendie de la nuit

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    2024-10-23 17:53:23

    Fernand Bakaman, habitant de Maripasoula et président de la radio associative La Voix du fleuve, s’est rendu à Albina 2 ce mercredi, pour constater les dégâts. Ses clichés donnent un aperçu de l’ampleur du sinistre.

    Dès le début de l’incendie, Fernand Bakaman était sur le qui-vive. Le président de la radio associative La Voix du fleuve a filmé depuis la rive de Maripasoula les flammes qui ont ravagé plusieurs magasins d’Albina 2, de l’autre côté du Maroni.


    Fernand Bakaman, habitant de Maripasoula, s’est rendu sur place pour constater les dégâts



    Le feu a fait 4 blessés légers


    Ce mercredi matin, il s’est rendu sur place. Ses clichés donnent un aperçu de l’ampleur du sinistre. «  Ce matin, ça fumait encore. Il y avait des poteaux calcinés, on voyait l’impact du brasier, mais il ne faisait plus chaud comme hier. » Au plus fort de l’incendie, le Maripasoulien estime « que les colonnes de feu et de gaz montaient à près de 5 mètres » à vue d’œil.


    Les vestiges du sinistre laissent imaginer l’intensité de l’incendie


    Hier, tandis que les flammes ravageaient les commerces, des pillages avaient commencé dans les échoppes alentour. Aujourd’hui, la zone est sécurisée et bouclée. Si le poste de police a échappé aux flammes, au moins trois magasins ont été réduits en cendres. « La propriétaire d’un des magasins était là. Elle disait ne pas comprendre, que le feu s’est propagé en cinq minutes ». Il faut dire que dans ce secteur, les échoppes sont accolées les unes aux autres.


    Le feu s’est déclenché autour de 19h30. Au petit matin, l’étendue des dégâts matériels est considérable


    Autre facteur expliquant l’intensité du sinistre : les combustibles stockés là. « Un des magasins vendait de la ferronnerie et du matériel de construction, indique Fernand Bakaman. Il avait des bombonnes d’argon pour faire de la soudure. »


    Les vestiges de l’incendie d’Albina 2 entre le 22 et le 23 octobre


    Ce mercredi matin, aux abords des magasins brûlés, des personnes rassemblaient les décombres, d’autres réparaient des tuyaux. Plus loin, les autres habitants d’Albina 2 se rapprochaient de la zone calcinée. Si cette fois aucune victime n’est à déplorer, personne n’a oublié l’incendie de 2019. Cette année-là, la nuit de Noël, deux commerçants avaient péri dans les flammes d’un incendie d’une rare violence.


    Fernand Bakaman




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  • [Guyane la 1ʳᵉ] « Maman a eu un cancer »
Olivier:« C’est comme une bombe qui explose très lentement »

    [Guyane la 1ʳᵉ] « Maman a eu un cancer » Olivier:« C’est comme une bombe qui explose très lentement »

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    2024-10-23 16:01:18

    A l’occasion d’Octobre rose, nous vous présentons une série en trois volets. Intitulée « Maman a eu un cancer », elle donne la parole aux enfants qui ont vécu, ou vivent encore, aux premières loges les difficultés liées à la maladie. Dans ce second épisode, Olivier 50 ans, raconte le combat de sa mère Gisèle, décédée alors qu’il n’avait que 16 ans.

    « J’ai toujours connu ma mère malade  » indique d’entrée de jeu Olivier Rosnel. Je suis né en septembre en France et mes parents, Gisèle et Rodolphe, sont venus me présenter à la famille en Guyane en décembre. À leur retour, comme elle ne se sentait pas bien, ma mère a dû faire des analyses et c’est là qu’on a découvert qu’elle avait un cancer du sein. »

    D’emblée, Gisèle subit une mastectomie. « Peut-être que j’ai dû poser des questions étant enfant : je voyais bien qu’elle n’avait qu’un sein. Mais en même temps, je ne l’ai toujours vue que comme cela et je n’avais pas la notion de ce qui était « normal » ou pas. Je ne me souviens pas de grande discussion là-dessus. Je pense que j’ai compris petit à petit. »

    De cette période, Olivier se souvient de la ténacité de sa mère. « Elle était secrétaire et n’a jamais voulu cesser de travailler. Elle voulait vivre sa vie normalement. Mon père faisait tout avec elle : les courses, le ménage, les devoirs avec moi. » Il se rappelle sa douleur aussi. « Elle faisait ses séances de chimiothérapie le vendredi. Ce qui lui laissait le week-end pour s’en remettre avant de retourner au travail. Elle hurlait de douleur… Elle demandait à mon père de fermer la porte pour que je ne l’entende pas mais j’entendais tout… »

    La famille vit à Villejuif, en région parisienne, non loin de l’hôpital Gustave-Roussy où Gisèle est traitée. Olivier se souvient de la courte phase de rémission à partir de 1989 et des contrôles mensuels. Jusqu’à ce jour de mai 1990 où le trio revient de la Foire de Paris. « Elle s’est sentie mal et a tout de suite vu son oncologue. Alors que le mois précédent avant elle n’avait rien, il lui a dit qu’elle subissait une récidive agressive. Elle ne lui a laissé aucune chance. »

    Sa mère endurera l’ablation d’un de ses reins, puis une transfusion sanguine qui l’effraie. La France subit en effet de plein fouet le scandale du sang contaminé. Rien n’y fait. « Son état s’est très vite dégradé et elle a été admise au service de soins palliatifs de l’hôpital Paul-Brousse. » Olivier n’a alors que 16 ans et sa tante Flore, la sœur de son père, qui est également la meilleure amie de sa mère, vient vivre avec eux pour les accompagner dans ce moment difficile. « Je crois que ma famille a voulu me protéger de ce qui allait arriver. La veille de son décès, même si la psychologue m’a dit qu’elle allait mourir, j’étais sûr qu’elle serait encore avec nous à Noël. »

    Gisèle s’éteint le 19 décembre 1990. Lorsqu’il pénètre dans la chambre où se trouve le corps de son épouse, le premier geste de Rodolphe est d’enlacer son fils. « Jusqu’à ce moment, je n’avais aucun souvenir de mon père me prenant dans ses bras. Souvent, les parents sont des mystères pour leurs enfants. Et mon père, c’était un taiseux… Il exprimait peu ses sentiments. Mais j’ai bien vu ce que le décès de ma mère lui a fait. Il était bouleversé et dans l’incapacité de gérer le quotidien. »

    J’ai compris que pour tout ce qui allait m’arriver, de bien ou de mal, elle ne serait pas là


    Gisèle a succombé à la maladie à l’âge de 50 ans


    Lors du décès de sa mère, l’adolescent est pris entre deux sentiments. « D’un côté, j’étais soulagé parce qu’elle ne souffrait plus. Mais j’ai aussi ressenti combien c’est difficile de perdre quelqu’un qui est tout pour toi ». Olivier se concentre alors sur les questions administratives avec sa tante : gérer les pompes funèbres, préparer l’enterrement en laissant le temps à la famille de venir de la Guadeloupe et de la Guyane. « Je me suis réfugié dans ces tâches. J’avais l’impression d’être face à une bombe qui explose très lentement. »

    La réalité de l’absence définitive de sa mère le rattrape plus tard. « Je crois que ce n’est que trois ans après que j’ai vraiment pris conscience de tout ce que cela impliquait d’avoir perdu ma mère. Quand j’ai eu mon bac, j’ai compris que pour tout ce qui allait m’arriver, de bien ou de mal, elle ne serait pas là. J’ai vraiment saisi que dans la vie, un jour tu as tout et que le lendemain tu peux tout perdre. »

    De cette période seul avec son père, Olivier retient surtout l’amour qu’il a reçu. « Mon père avait été élevé à la dure et il était très sévère avec moi. Avant, on n’avait pas de très bonnes relations. Alors pour la tendresse et l’affection j’étais plutôt du côté maman… Après son décès, mon père a changé du tout au tout, par amour pour moi. Il s’est transformé en Maman en essayant toujours de faire de son mieux pour que je ne manque de rien aussi bien matériellement qu’affectivement. Il était aussi plus patient avec moi. Ensuite il a appris à cuisiner pour me refaire tous les plats que j’aimais. Au début, il ratait beaucoup de choses, mais il s’est amélioré et je mangeais comme un prince ensuite. Depuis le jour du décès de ma mère et jusqu’à son propre décès on est devenu très proches voire inséparables… Ça reste à ce jour la plus belle preuve d’amour que j’ai jamais reçue ».


    Des photos de famille comme autant de traces d’une famille unie


    Si les choses se passent mieux entre le père et le fils, côté cœur, Rodolphe ne remplacera jamais Gisèle. « Il avait 57 ans, il aurait pu refaire sa vie. Mais il ne l’a jamais fait. Parfois, je l’entendais, quand il se croyait seul, parler encore à ma mère… »

    Onze années après le décès de sa mère, Olivier perd son père, emporté lui aussi par un cancer. « Je crois que j’ai toujours senti chez ma mère, jusqu’au dernier moment, cette frustration de ne pas pouvoir être là alors que j’allais commencer ma vie d’adulte. Pour mon père, c’était différent. J’avais déjà eu mes premiers diplômes, il savait que ça irait pour moi. » Autre différence : le temps passé ensemble. « J’avais été frustré de ne pas avoir parlé à ma mère. Nous avons passé une semaine à discuter avec mon père avant son décès, notamment de choses dont il n’avait jamais parlé… Il m’a dit que sa seule frustration était de ne jamais pouvoir connaître ses petits-enfants…»

    Alors, lorsqu’il devient père, Olivier n’est pas avare de paroles pour raconter à sa fille Mathilde l’histoire familiale. Avoir perdu ses parents si tôt a, incontestablement, entraîné des conséquences sur sa paternité. « C’est quelque chose qui m’a torturé dans ma vie de père : l’idée que je pourrais mourir et laisser Mathilde seule. » Sa crainte est d’autant plus tenace qu’il élève sa fille seul.

    En dépit de l’omniprésence de la maladie dans la cellule familiale, Olivier garde en mémoire une enfance heureuse. « J’ai de très bons souvenirs de mes parents ensemble. Quand j’étais petit, je croyais que ce que j’avais chez moi était la normalité : des parents ensemble qui s’aimaient vraiment, même s’ils n’étaient pas démonstratifs. Un jour, ma mère m’avait dit que les femmes qui ont un cancer sont souvent abandonnées par leur mari. Ce n’était pas son cas. Nous étions une famille très unie qui faisait tout ensemble.  Malgré le peu de temps que j’ai passé avec mes parents, j’ai été très aimé. L’éducation que j’ai reçue m’a ouvert l’esprit et je crois que si je suis un bon père, si je suis l’homme que je suis aujourd’hui, c’est grâce à cela. »


    En dépit de l’omniprésence de la maladie dans la cellule familiale, Olivier garde le souvenir d’une enfance heureuse




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  • [CTG]   [JEUX INTERGUYANES] Les délégations du Guyana et du Suriname sont arrivées en …

    [CTG] [JEUX INTERGUYANES] Les délégations du Guyana et du Suriname sont arrivées en …

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    🇬🇫🇸🇷 🇬🇾 [JEUX INTERGUYANES] Les délégations du Guyana et du Suriname sont arrivées en Guyane !

    Trois-cents jeunes sportifs des deux territoires voisins de la Guyane ont rejoint Saint-Laurent du Maroni via le Bac La Gabrielle le mardi 22 octobre avant d’être accueillis par Gilles Le Gall, conseiller territorial, délégué au sport.

    🏊🏽‍♀️🏀🥅🏓Le coup d’envoi des Jeux InterGuyanes sera officiellement donné ce mercredi 23 octobre 2024, à Cayenne.

    La ministre du Sport du Suriname, Grace Emanuela, a également fait le déplacement.

    Après une édition organisée au Guyana en 2022 puis au Suriname en 2023, la Guyane française sera cette fois l’hôte de ces Jeux, qui ne se limitent pas à des rencontres sportives, mais se positionnent également comme un vecteur de cohésion et d’amitié entre les territoires du plateau des Guyanes. Les infrastructures locales telles que le PROGT, le Stade Edmard Lama, se métamorphoseront en véritables arènes prêtes à accueillir ces compétitions.

    Cette année, la compétition rassemblera plus de 450 participants, dont environ 120 à 130 jeunes athlètes guyanais, impatients de se mesurer à leurs homologues du Suriname et du Guyana dans les disciplines suivantes : natation, futsal, basket-ball beach-volley, échecs, athlétisme, tennis de table.

    La cérémonie d’ouverture de l’édition 2024 aura lieu ce mercredi 23 octobre,à 16 h 30, au PROGT.

    Récupérez votre invitation via le lien suivant :

    https://jig.passgo.fr/tickets/






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    Source : Page FB de la Collectivité Territoriale de Guyane

  • [Gendarmerie]  #LutteContreOrpaillageIllégal I Bilan des opérations menées du 3 au 17 octobre …

    [Gendarmerie] #LutteContreOrpaillageIllégal I Bilan des opérations menées du 3 au 17 octobre …

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    🪙 #LutteContreOrpaillageIllégal I Bilan des opérations menées du 3 au 17 octobre 2024 💪🌿

    📅 Du 3 au 17 octobre, plusieurs Patrouilles d’Action Conjointe (PAC) ont été menées sur les communes de Saint-Laurent-du-Maroni, Papaïchton, et Mana par les gendarmes de l’Antenne du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (AGIGN), de l’escadron de gendarmerie mobile 11/6 de Marseille, appuyés par les Forces Armées en Guyane dont le Commando de Recherche et d’Action en Jungle (CRAJ). Ces opérations visaient à démanteler des sites d’orpaillage illégal et à porter un coup aux réseaux clandestins.

    🔎 Détails des interventions et résultats :

    📍 Secteurs St-Jean et Kokoï (05-15 octobre) – Commune de Papaïchton
    ✅ Traitements : 2 chantiers alluvionnaires, 1 zone primaire, 1 curotel, 2 campements, et 4 caches.
    ✋ Saisies : 10,21 g d’or, 10 téléphones, 5 cartes SIM, 30 kg d’explosifs et 4 détonateurs électriques.
    🔥 Destructions : 85 carbets, 3 tables de levée, 3180 m² de bâche, 649 m de tuyaux, 4 katouris, 352 L de carburant, 730 kg de denrées alimentaires, 6 appareils électroménagers, 3 chèvres en bois, 1 groupe électrogène, 1 perforateur, 1 antenne Starlink, 2 appareils HIFI, 4 moteurs mono-cylindre, 2 moteurs bi-cylindre, 1 moteur tri-cylindre, 3 compresseurs et 1 848 kg de matériels divers.

    💶 Préjudice total : 622 698 euros

    📍 Opération Bœuf Mort (17 octobre) – Commune de Saint-Laurent-du-Maroni
    ✅ Traitements : un campement et un chantier alluvionnaire.
    ✋ Saisies : 1 arme de poing 9 mm, 440,2 g d’or, 20 téléphones, 247 g de mercure, 900 g de cannabis, 25 g de crack, et 20 g de résine de cannabis.
    🔥 Destructions : 5 quads, 8 carbets, 400 m² de bâche, 8 appareils électroménagers, 1 Starlink, 1 moteur mono-cylindre, 750 kg de denrées alimentaires, 100 L de carburant, 120 L d’alcool, 250 cartouches de cigarettes, et 1200 kg de matériels divers.
    🏃Personne interpellée : présentée devant le Procureur le 19 octobre, placée en détention provisoire en vue d’une comparution immédiate le 22 octobre.
    💶 Préjudice total : 552 380 euros
    📍 Secteurs Amadis et Deux Fromagers (03-08 octobre) – Commune de Mana
    ✅ Traitements : 5 caches.
    🔥 Destructions : 5 600 L de carburant, 499 kg de denrées alimentaires, 240 L d’alcool.

    💶 Préjudice total : 193 050 euros

    📍 Secteurs Eldorado et Paul Isnard (03-17 octobre) – Commune de Saint-Laurent-du-Maroni
    ✅ Traitements : 2 curotels, 3 campements, et 1 chantier alluvionnaire.
    ✋ Saisies : 29,38 g d’or (dont une bague de 3,2 g), 4 clés USB, 3 cartes SD.
    🔥 Destructions : 39 carbets, 100 kg de denrées alimentaires, 2 motopompes, 1 table de levée, 3 m de tapis de levée, 300 m de tuyaux, 200 m² de bâche, 140 L de carburant, 3 Starlink, 1 radio BLU, 3 appareils HIFI, et 201 kg de matériels divers, ainsi que le tronçonnage d’un pont de 100 m.

    💶 Préjudice total : 191 721 euros

    💰 Bilan global : plus de 1,5 million d’euros de préjudice infligé aux réseaux d’orpaillage illégal, soit l’équivalent de 20 797 g d’or. Des opérations qui témoignent de la détermination de la gendarmerie et de leurs partenaires pour préserver le territoire guyanais et mettre fin aux activités illégales. 🌿

    #Gendarmerie #Guyane #LutteContreOrpaillage #Sécurité #ProtectionDuTerritoire #UneForceHumaine #Environnement #Orpaillage #Forêt #Jungle #Amazonie #Pollution

    *image d’illustration par le Sergent Sylvain des FAG


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    Source : Page FB de la Gendarmerie de Guyane