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Source : Page FB de la Gendarmerie de Guyane
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Source : Page FB de la Gendarmerie de Guyane
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#AwalaYalimapo : le Conseil municipal, convoqué en session ordinaire, ce samedi 19 octobre 2024 à 9h dans la salle de délibération.
Plusieurs points sont à l’ordre du jour notamment la mise en place du régiment indemnitaire, l’adhésion au comité national de l’action sociale et la taxe intérieure de consommation finale d’électricité.
Enfin, un point d’étape sera fait sur le plan communal de sauvegarde de Awala-Yalimapo par le chargé des risques majeurs de la CCOG.
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#AwalaYalimapo : projection du film « Guyane » Terre des Hommes, le samedi 19 octobre à 19h dans la salle polyvalente.
Remerciements aux différents partenaires qui permettent la diffusion du film à Awala-Yalimapo.
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Après avoir reçu un courrier et des engagements de la part du premier ministre, les élus de Saint-Laurent-du-Maroni, en Guyane, ont mis fin à leur mouvement de protestation contre l’insécurité, a affirmé, jeudi 17 octobre, la maire de la ville à l’Agence France-Presse. « Le mouvement est terminé dans sa forme actuelle », a fait valoir Sophie Charles.
Selon l’édile, Michel Barnier a notamment promis l’envoi d’un escadron de gendarmerie mobile « dans un délai de quinze jours », dans une lettre adressée aux élus locaux en réponse à leurs revendications. « Il ne s’agit pas de véritables renforts supplémentaires, mais d’un retour des effectifs précédemment en poste en Guyane », précise la mairie de la ville, située dans l’ouest de la Guyane et séparée du Suriname par le fleuve Maroni.
Depuis une semaine, les élus de Saint-Laurent-du-Maroni se relayaient sur un sit-in installé devant la sous-préfecture, en guise de protestation, pour réclamer des mesures drastiques contre la délinquance. La ville, qui compte officiellement 50 000 habitants – mais 80 000 selon les élus –, est marquée par une criminalité croissante. La dernière agression remonte au week-end dernier, quand des agents de la police aux frontières ont été visés par des tirs, sans faire de blessé.
La commune compte actuellement « 170 gendarmes et 50 policiers aux frontières », a précisé le préfet de Guyane, Antoine Poussier, à l’Agence France-Presse (AFP). Des mesures ont été prises, ajoute-t-il, insistant sur la collaboration des forces de l’ordre françaises et surinamaises dans la lutte contre la criminalité.
Le poste de contrôle routier à l’entrée de Saint-Laurent, jugé inefficace par les élus, est en revanche maintenu. « Il protège aussi bien Saint-Laurent que le reste de la Guyane », affirme M. Poussier à l’AFP. Selon lui, près de 700 personnes inscrites au fichier des personnes recherchées ont été interceptées grâce à ces contrôles.
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Source : Page FB de la CCOG
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🚨 #PorterPlainte I Nouveau : Dépôt de plainte en ligne disponible sur tout le territoire 🚔
📅 Depuis le 15 octobre, l’application Plainte En Ligne (PEL) est déployée sur tout le territoire national ! 🇫🇷 Cet outil commun à la Gendarmerie et à la Police nationales vous permet de déposer plainte à distance pour des atteintes aux biens dont l’auteur est inconnu, sans vous déplacer en gendarmerie ou au commissariat.
🔹 Une petite révolution :
Plus besoin de vous déplacer pour déposer plainte pour un vol, une dégradation, ou une escroquerie.
Vous pouvez le faire depuis chez vous, sur ordinateur, tablette ou mobile via le portail Ma Sécurité.
Pour valider votre dépôt de plainte, il suffit de vous authentifier avec FranceConnect et le tour est joué ! 🌐
🔹 Qui peut l’utiliser ?
Les particuliers, les entreprises, et même les touristes victimes de vol, avec une version disponible en anglais pour les déclarations.
Pour rappel : le dépôt en ligne est réservé aux plaintes contre X (auteur inconnu) pour atteintes aux biens, pas pour les cas de violence ou de vol de véhicule.
🔹 Une procédure simplifiée et sécurisée :
20 minutes suffisent pour remplir votre déclaration en ligne.
Un gain de temps pour vous et pour les forces de l’ordre, avec une prise en charge rapide de votre plainte. 🤝
🔜 Prochain rendez-vous sur « Ma Sécurité » pour déposer votre plainte en ligne.
#PlainteEnLigne #Sécurité #GendarmerieDeGuyane #MaSécurité #Dématérialisation
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INFORMATION
MARCHÉ NOCTURNE DE MANA
Retour en images sur le Marché Nocturne de Mana du jeudi 17 octobre 2024 sur la place Yves PATIENT.
Au programme :
– Animation avec CITEO (recyclage des emballages)
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INFORMATION
ACTIVITÉS EXTRA-SCOLAIRES
Retour en images des activités extra scolaires, football au bourg de Mana et activités pétanques au Village de Javouhey avec les animateurs du Service Jeunesse et Sports de Mana ce jeudi 17 octobre 2024.
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Samuel Zralos
jeudi 17 octobre 2024
Le personnel enseignant de trois écoles a manifesté ce matin devant la sous-préfecture de Saint-Laurent du Maroni, suite à plusieurs tirs d’armes à feu en pleine journée. Leur droit de retrait est contesté par le rectorat.
» Bang ! » : au micro, une enseignante
retrace, bruitages à l’appui, sa panique, la nécessité de protéger
les élèves et sa colère, après des tirs de pistolet entendus juste
à l’extérieur de l’école Elise Giffard, vendredi 9 octobre. Deux
semaines plus tôt, des coups de feu avaient déjà retenti à
proximité de l’école Alain Mouty, juste à côté de Elise
Giffard.
C’est pourquoi le personnel enseignant de ces
écoles, ainsi que celui de l’école Octavien Hodebar, également
installée dans le quartier Saint-Maurice, ont collectivement décidé
d’un droit de retrait et d’une manifestation devant la
sous-préfecture de Saint-Laurent du Maroni, ce jeudi matin. Ils
sont une quarantaine, dont plusieurs parents à s’être déplacés pour
le rassemblement, principalement depuis Elise Giffard et Octavien
Hodebar. Reçus par la sous-préfecture en fin de matinée, ils ont
auparavant fait circuler un cahier de doléances parmi les
manifestants, afin que leurs demandes de patrouilles de gendarmerie
et de lutte contre l’insécurité soient relayées aux autorités.
De passage devant l’attroupement, Sophie Charles
s’arrête quelques minutes pour manifester son soutien aux
enseignants et aux parents d’élèves présents. L’occasion pour la
maire de rappeler que le premier ministre a accepté ces…
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Les personnels des écoles Alain Mouty, Octavien Hodebar et Elise Giffard à Saint-Laurent du Maroni se sont mobilisés ce 17 octobre en réponse aux actes de violence qui se multiplient dans la ville, et plus particulièrement aux abords des établissements scolaires. Plusieurs enseignants ont exercé un droit de retrait. Ils se sont réunis devant la sous-préfecture dans la matinée.
Ils veulent se faire entendre. Ce jeudi 17 octobre, plusieurs enseignants de Saint-Laurent du Maroni se sont donnés rendez-vous devant la sous-préfecture.
Ces professionnels craignent pour leur sécurité et pour cause, depuis des mois, les actes de violences aux abords des établissements scolaires sont nombreux.
Vendredi 11 octobre, trois coups de feu ont été tirés vers une école en pleine journée.
Les élèves ont levé la tête, nous nous sommes regardés… Ils se sont mis sous leur table et il y a eu une sonnerie tout de suite pour l’intrusion. Les élèves étaient en panique… Les enfants ont eu très peur.
Des parents d’élèves, quelques enseignants… au total, une quarantaine de personnes a fait le déplacement ce jeudi matin. Le syndicat SE UNSA est à l’origine de ce droit de retrait, les autres syndicats n’ont pas souhaité y participer.
Certains participants ont d’ailleurs déplorer l’absence de leurs collègues, considérant que tout le monde est concerné.
Le droit de retrait a été rapidement suivi d’un entretien avec la sous-préfète, Véronique Beuve. Le personnel éducatif espère dans un premier temps obtenir un renforcement de la présence des forces de l’ordre.
« Les instances doivent nous entendre pour comprendre que nos moyens à nous, enseignants, sont limités », estime Jean-François Joséphine, responsable délégué secteur Saint-Laurent du Maroni SE UNSA.
Demande en partie accordée par la préfecture, qui doit d’abord s’arranger avec la mairie pour être efficace. La municipalité reconnaît d’ailleurs le danger existant.
La sous-préféte reconnait qu’il y a aussi du danger dans cette zone et a déjà mis en place des opérations de gendarmerie… et d’un autre côté, on a un employeur qui voulait maintenir que notre droit de retrait n’était pas valable.
Jean-Marc Rechou, responsable du premier degré au syndicat SE UNSA
Les enseignants sont désormais dans l’attente de cette réunion de concertation. Le Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CLSPD) organise la sécurité extérieure des établissements scolaires, et doit se tenir le 24 octobre prochain.
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