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#AwalaYalimapo : Yalimapo s’apprête à connaître une nouvelle période de submersion.
Les études réalisées par les différents organismes scientifiques prédisent une période de 4 submersions par année sur le site de Yalimapo.
La prochaine est attendue entre les 16 et 19 octobre avec des hauteurs des marées conséquentes.
La barrière anti-submersion testée au mois de septembre dernier, sera de nouveau déployée par les équipes de la CCOG et de la commune pour la seconde fois sur une distance de 263 m.
La vigilance s’impose durant cette période exceptionnelle.
La sixième édition du FIFAC se déroule jusqu’à samedi au Camp de la Transportation à Saint-Laurent-du-Maroni.
La sixième édition du Festival International du Film Documentaire Amazonie-Caraïbes (FIFAC) a officiellement débuté hier au cœur du camp de la Transportation.
Gratuit et ouvert à tous, il se déroule jusqu’au 12 octobre et propose aux cinéphiles et curieux de découvrir une riche programmation à travers trois espaces de projection.
37 films présentés
Cette année, 10 longs-métrages et 9 courts-métrages sont en compétition officielle. En parallèle, 16 films, dont 12 longs-métrages, seront présentés dans la section “Écrans parallèles”. Deux films marqueront également les 10 ans du Doc Amazonie-Caraïbe.
Outre les projections, 14 séances-rencontres avec les réalisateurs, producteurs ou protagonistes des films seront proposées au public.
Côté récompenses, cinq prix seront décernés à l’issue de cette édition 2024. Trois seront attribués par le jury officiel : le Grand Prix FIFAC, le Prix du Jury et celui du Meilleur court-métrage. Un jury de lycéens et le public décerneront les deux autres prix.
À la tête du jury de cette édition, on retrouve l’actrice, chanteuse et réalisatrice haïtienne Gessica Généus, qui avait remporté en 2019 le Grand Prix du FIFAC avec son film Douvan jou ka lévé. À ses côtés, les réalisateurs Marc Barrat, originaire de Guyane, et Wally Fall, venu de la Guadeloupe, apporteront leur expertise. Le jury sera complété par Amandine Picault, directrice déléguée des documentaires Découvertes et Sciences à France Télévisions, ainsi que Luc de Saint-Sernin, auteur et réalisateur.
Au lendemain du début du sit-in des élus de Saint-Laurent-du-Maroni, ceux-ci restent mobilisés pour une deuxième journée sans avoir reçu de réponse de l’État. Aux entrées de la ville, des banderoles dénonçant une « zone de non-droit » illustrent le climat de tension et d’insécurité qui alarme habitants et élus.
Le mouvement de protestation des élus de Saint-Laurent-du-Maroni entre dans son deuxième jour. Hier, mardi 8 octobre, la maire Sophie Charles et ses élus municipaux avaient pris place devant la sous-préfecture de 8h à 18h, espérant une réponse concrète de l’État aux mesures réclamées pour endiguer l’insécurité dans la ville. Cependant, à la fin de la journée, aucun représentant de l’État n’avait pris contact avec eux, une situation que les élus ont qualifiée de « mépris » pour les problématiques de la population locale.
Ici, on nous ignore, alors que dans l’Hexagone, une telle situation aurait immédiatement suscité une réaction des autorités
s’indigne-t-elle, soulignant l’impression de relégation ressentie en Guyane.
Aujourd’hui, mercredi 9 octobre, les élus sont de retour devant la sous-préfecture pour une nouvelle journée de mobilisation. La maire Sophie Charles, dénonçant l’absence de dialogue, a réitéré la volonté des élus de maintenir ce sit-in jusqu’à l’obtention de mesures tangibles.
Nous ne bougerons pas tant que nos demandes ne seront pas entendues
affirme-t-elle, insistant sur la gravité de la situation sécuritaire dans cette commune frontalière.
En parallèle de cette mobilisation, deux banderoles significatives ont été installées à des points stratégiques aux entrées de Saint-Laurent-du-Maroni. À proximité du poste de contrôle routier (PCR), un premier panneau affiche : « Bienvenue en zone de non-droit ». Plus loin, près du giratoire menant au futur Hyper-U, une autre banderole indique : « Attention ! Vous pénétrez dans une zone de non-droit ». Ces messages, visibles pour tous les automobilistes entrant dans la ville, symbolisent le ras-le-bol des habitants face à l’insécurité qui gangrène leur quotidien.
Les élus continuent de marteler leurs trois principales revendications : un renforcement significatif des forces de sécurité, un contrôle renforcé des armes qui circulent illégalement depuis le fleuve Maroni, et une refonte du contrôle routier au poste de Margot. Pour la maire, ces mesures sont essentielles pour restaurer la sécurité et la paix dans la ville.
Hier soir, le Festival International du Film Documentaire Amazonie-Caraïbe a lancé sa sixième édition au Camp de la Transportation à Saint-Laurent-du-Maroni. Entre émotions, rencontres et engagements, les participants ont célébré un festival qui continue de tisser des liens entre les cultures amazoniennes et caribéennes.
Le FIFAC a célébré son lancement au Camp de la Transportation, offrant un espace de rencontres autour de la diversité culturelle de l’Amazonie et de la Caraïbe. Gessica Généus, présidente du jury, a exprimé son attachement au festival et l’importance de l’initiative :
Ce festival, c’est une famille. J’espère qu’il inspirera les jeunes à raconter leurs propres histoires, car notre mémoire et notre culture méritent d’être partagées.
Déjà plongée dans les œuvres en compétition, elle a souligné la qualité des films et le défi pour le jury de départager les lauréats.
Serge Abatucci, président de l’association du FIFAC, a placé cette édition sous le signe de la joie, avec un enthousiasme renouvelé envers le partenariat entre le festival et Saint-Laurent-du-Maroni.
C’est toujours un miracle chaque fois qu’une édition est close… le FIFAC vient comme la cerise sur le gâteau et donne une identité globale au Camp de la Transportation
a-t-il souligné, touché par l’impact culturel du festival pour la ville.
Renée-Lise Briquet, élue déléguée à la Culture, a rappelé que le FIFAC incarne les liens entre Saint-Laurent et les cultures environnantes : “Le FIFAC est né à Saint-Laurent, il grandit à Saint-Laurent, et il vivra encore à Saint-Laurent.” Avec des œuvres de toute la Caraïbe et de l’Amazonie, le festival propose au public local de découvrir le cinéma en plein air, favorisant un échange culturel unique.
Pour clôturer cette première soirée, le festival a proposé la projection du documentaire Break in Guyane, qui plonge au cœur du quartier et de la passion du breakdance en Guyane. Ce film a permis au public de découvrir un art de rue devenu source d’inspiration et de repères pour la jeunesse, illustrant les valeurs de dépassement et de partage chères au FIFAC.
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🚨🚒 Remise de cinq nouveaux véhicules de secours au SDIS Guyane
Le mardi 8 octobre 2024, cinq véhicules de secours neufs ont été remis au Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) de Guyane lors d’une cérémonie officielle.
❓L’objectif ? Renforcer la capacité d’intervention des sapeurs-pompiers de Guyane.
👉Les nouveaux équipements qui ont été livrés sont les suivants :
🔸Un Véhicule de Secours Routier (VSR);
🔸Un Camion-Citerne Grande Capacité (CCGC);
🔸Un Véhicule d’Interventions Diverses (VID);
🔸Un Véhicule Atelier Mécanique (VAM);
🔸Un Véhicule de Premiers Secours Médical Avancé (VPMA).
Plusieurs élus de la Collectivité Territoriale de Guyane étaient présents à cette occasion, notamment Roger Aron, 7e vice-président de la CTG et 1er vice-président du CA-SDIS, Tiarrah Steenwinkel, 14e vice-présidente déléguée à la Sécurité et à la Sûreté, ainsi que Chester Léonce, 9e vice-président de la CTG.
🔑 Les clés des véhicules ont été remises au Colonel Jean-Paul Le Vif, Directeur du SDIS de Guyane.
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🏃🏽♀️🏃🏾🎀 [OCTOBRE ROSE ET NOVEMBRE BLEU] La Collectivité Territoriale de Guyane mobilisée contre le cancer du sein et les cancers masculins
Dans le cadre du rendez-vous annuel « Octobre Rose », la Collectivité Territoriale de Guyane a organisé plusieurs actions de sensibilisation au cancer du sein, et aux cancers masculins à destination des agents.
🎈🧘🏾♀️Marche active, lâcher de ballons, ateliers de sophrologie, ateliers de palpation, témoignages, activités sportives ont été proposés au personnel de la CTG, ce mercredi 9 octobre 2024, à l’Hôtel Territorial.
➡️ À Saint-Georges de l’Oyapock, les agents ont également organisé la traditionnelle marche solidaire.
D’autres actions seront menées, afin de poursuivre la sensibilisation à ces pathologies durant le mois d’octobre.
INFORMATION MARCHÉ NOCTURNE DU JEUDI 10 OCTOBRE 2024
Le Maire de la Ville de Mana M. Albéric BENTH et son Conseil Municipal vous invitent au marché nocturne du jeudi 10 octobre 2024 de 16h00 à 21h00, place Yves PATIENT.
Les élus de Saint-Laurent continuent leur sit-in et veulent l’arrêt du PCR Margot
Gaëtan TRINGHAM, g.tringham@agmedias.fr
mercredi 9 octobre 2024
Vu à l’entrée de la ville de Saint-Laurent. Le terme « zone de non-droit » a été repris plusieurs fois par les élus de la commune dernièrement • RÉSEAUX SOCIAUX
Après une première journée de mobilisation mardi, les élus saint-laurentais sont retournés devant la sous-préfecture ce mercredi.
Sophie Charles et ses adjoints ont passé, mardi, une première journée assis devant la sous-préfecture de l’ouest.
Sit-in des élus devant la sous-préfecture de l’ouest • DR
« L’insécurité à Saint-Laurent-du-Maroni a atteint un point critique et les habitants, tout comme leurs élus, sont à bout de patience« , écrivait notamment le maire dans un communiqué lundi. Parmi les derniers faits marquants, l’attaque armée contre des gendarmes de la ville. Trois jours plus tard, la violente agression dans laquelle un élu a été braqué et ligoté à son domicile avec son épouse a été le fait de trop.
« Saint-Laurent-du-Maroni est une zone de non-droit dans laquelle règne un chaos et on demande à ce que cela cesse« , a déclaré Manuel Jean-Baptiste, 3e adjoint au maire, dans une vidéo diffusée sur les réseaux de la ville.
Un point bloquant
Comme mardi, les élus sont retournés ce mercredi devant la sous-préfecture pour poursuivre le sit-in. Ils attendent d’obtenir satisfaction sur les points de revendication envoyés au Premier ministre la semaine passée. Deux d’entre eux ont déjà été approuvés par le préfet, Antoine Poussier : l’augmentation des effectifs de la gendarmerie et « l’éradication de certains quartiers informels qui servent de base arrière aux délinquants. »
Un point bloque pour l’instant : la demande de l’arrêt du poste de contrôle routier de la crique Margot. Sophie Charles indique dans son courrier à Matignon : « La crique Margot ne constitue pas une frontière et mobilise malheureusement des effectifs de la gendarmerie qui pourraient être redéployés en ville, dans les quartiers sensibles […] l’État doit pouvoir se concentrer sur la véritable frontière, c’est-à-dire sur le contrôle du fleuve Maroni. »
Manque de considération
Les élus ont été agacés mardi de ne pas avoir pu s’entretenir avec un représentant de l’État. La sous-préfète, Véronique Beuve, étant pour sa part à Maripasoula. « Dans l’hexagone, lorsqu’un élu se fait agresser, vous avez tout de suite la venue d’un ministre ou d’un représentant de l’État« , remarque le maire. Manuel Jean-Baptiste estime, lui, « quand on ne considère pas les élus locaux, on ne considère pas la population » et répète « on ne bougera pas tant que l’on ne sera pas satisfait. »
On se demande tout de même comment il serait possible d’agir selon les suggestions de la mairie et de contrôler tout un fleuve pour mieux gérer la frontière.
Un site minier a été braqué le 4 octobre dans le bassin de la Mana. Les voleurs sont partis avec la production d’or.
En début de semaine, une source du secteur minier nous a informés d’un braquage sur un site minier légal dans l’ouest de la Guyane. L’information a été confirmée par la gendarmerie, qui a donné des précisions. Vendredi 4 octobre, une bande armée de quatre personnes a fait irruption sur le site de la société « Compagnie de Travaux Aurifères » (CTA), dans le secteur de la crique Korossibo, un affluent du fleuve Mana.
Sous la menace des braqueurs, le personnel de la mine a dû faire la « levée » de l’or, autrement dit la récupération de l’or produit, pour la remettre aux voleurs. Ces derniers ont pris la fuite. Des enquêteurs de la Section de Recherches de la gendarmerie et des gendarmes mobiles ont été envoyés sur place.
Contacté ce mercredi, la société CTA n’a pas souhaité réagir. Il ne semble pas qu’il y ait eu des violences physiques commises sur les salariés de la mine, en dehors du traumatisme du braquage. La CTA a déjà fait l’objet d’un vol à main armée le 21 février sur un autre site, dans le secteur de la piste Paul Isnard, à Saint Laurent du Maroni. Deux employés avaient alors été violentés par les braqueurs, qui étaient repartis avec un kilo d’or.
Le métal précieux est côté actuellement à plus de 76.700 euros le kilo sur le marché mondial, en augmentation de 28 % depuis le début de l’année.
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#Cérémonie I Prise de Commandement de la communauté de brigades de Maripasoula – Papaïchton par le lieutenant Jérôme SANS
Le samedi 28 septembre 2024, un moment solennel et chargé d’émotion s’est déroulé à Maripasoula lors de la cérémonie officielle de prise de commandement du Lieutenant Jérôme SANS, investi dans ses nouvelles fonctions à la tête de la communauté de brigades de Maripasoula – Papaïchton. Cette cérémonie a été présidée par le Lieutenant Colonel Stéphane BABEL, commandant la compagnie de gendarmerie de Saint-Laurent du Maroni. 🎖️
Entouré de ses camarades de l’unité et de plusieurs personnalités locales, ce moment fort a notamment réuni :
✅ Les élus de Maripasoula
✅ Une délégation de militaires de la BOA (Base Opérationnelle Avancée)
✅ Le principal du collège de Papaïchton
✅ Des capitaines chefs de village
« Sous-officiers, Gendarmes Adjoints Volontaires de la Communauté de brigades de Maripasoula, vous reconnaîtrez désormais pour votre chef, le Lieutenant Jérôme SANS, ici présent et vous lui obéirez en tout ce qu’il vous commandera pour le bien du service, l’exécution des règlements militaires, l’observation des lois et le succès des armes de la France ».
Cette cérémonie témoigne de l’investiture du Lieutenant Jérôme SANS dans ses nouvelles fonctions, devant ses subordonnés ainsi que les autorités et les partenaires locaux. Le Lieutenant Jérôme SANS s’engage pour servir la population et assurer la sécurité sur le territoire. 👮♂️
Félicitations à lui pour ces nouvelles responsabilités et nous lui souhaitons un excellent temps de commandement ! 🚔