Catégorie : France-Guyane

  • [France-Guyane] Halloween sous haute surveillance à Saint-Laurent-du-Maroni

    [France-Guyane] Halloween sous haute surveillance à Saint-Laurent-du-Maroni

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    Halloween sous haute surveillance à Saint-Laurent-du-Maroni

    La Rédaction
    dimanche 3 novembre 2024

    Contrôles à SLM pendant la fête de Halloween. • GENDARMERIE

    Le 31 octobre, une opération de sécurisation renforcée s’est déroulée dans les quartiers de Petit Paris, Charbonnière et Vietnam à Saint-Laurent-du-Maroni lors de la soirée d’Halloween.

    Le soir du 31 octobre, la Gendarmerie de Guyane a déployé un important dispositif pour sécuriser les rues de Saint-Laurent-du-Maroni à l’occasion d’Halloween.

    Une équipe de 22 gendarmes mobiles de l’escadron d’Argentan, 8 gardes républicains, 4 réservistes, ainsi que 2 pilotes de la Section Aérienne de Gendarmerie et un hélicoptère équipé d’un puissant phare de recherche étaient mobilisés. Deux militaires de la brigade fluviale ont également renforcé la présence sur le terrain.

    207 contrôles

    Au total, 207 personnes ont été contrôlées, dont 6 recherchées et 1 en situation irrégulière. Les opérations ont permis la saisie et la destruction de 41 grammes de cannabis, deux amendes pour usage de stupéfiants et une interpellation. Au terme de la soirée, 55 véhicules ont été vérifiés, donnant lieu à un procès-verbal électronique.

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  • [France-Guyane] Un calvaire familial : la quête de vérité après le décès inexpliqué de Jeanine Phanis au Chog

    [France-Guyane] Un calvaire familial : la quête de vérité après le décès inexpliqué de Jeanine Phanis au Chog

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    SANTE

    Un calvaire familial : la quête de vérité après le décès inexpliqué de Jeanine Phanis au Chog

    Gaëtan TRINGHAM, g.tringham @agmedias.fr
    mercredi 30 octobre 2024

    Lors de la conférence organisée ce 30 octobre pour révéler l’affaire. Les parents de victime sont assis à droite, devant leur avocat et le président de l’association des usagers du Chog. Un portrait de leur fille défunte est exposé au milieu. • G.T

    Cela fait quatre mois que Jeanine Phanis, 22 ans, a perdu la vie dans des conditions extrêmement troubles au Centre hospitalier de l’Ouest guyanais (Chog). La famille n’a toujours pas d’explications sur les causes de ce décès que rien ne laissait supposer. Avec leur avocat et l’Association des usagers du Chog, ils demandent des réponses et soupçonnent une erreur médicale grave. Une enquête a été ouverte.

    C’est une bien triste affaire qui remonte à la surface. Elle illustre ce qui pourrait être une erreur médicale gravissime commise au Centre hospitalier de l’Ouest-guyanais (Chog). 

    Nous sommes le 24 juin 2024, à Saint-Laurent du Maroni. Jeanine Phanis, 22 ans, en 3e année de licence, a récemment eu une contrariété sentimentale. La jeune femme ne dort plus beaucoup et ne se nourrit quasiment plus. Ses parents, inquiets, l’amènent voir leur médecin traitant. Celui-ci ne décèle rien de grave, mais recommande tout de même un séjour à l’hôpital.

    Jeanine est amenée aux urgences. L’état physique de la Saint-Laurentaise est vérifié. Toujours aucun signe particulièrement alarmant n’est relevé par les médecins qui multiplient les prélèvements. Diana Phanis, sa mère, reste à son chevet. Faute de place dans d’autres services, Jeanine reste six jours aux urgences. Le 2 juillet, un transfert dans le service psychiatrique est finalement décidé. « On est immédiatement mal reçu, la communication est lamentable« , se rappelle le père, Jean Phanis. Il s’exprime ici dans le cadre d’une conférence de presse organisée ce 30 octobre pour mettre en lumière cette affaire. 

    « Je vous ai amené mon enfant vivant, comment est-ce que je le retrouve mort ? « 

    Les parents ne sont plus autorisés à rester auprès de leur fille. « Ma fille m’a dit ce soir-là, ‘Papa, je ne veux pas rester ici’… c’est la dernière image que j’ai d’elle« , raconte Jean Phanis. Le 3 juillet, pendant la journée, les parents n’ont aucune nouvelle. C’est finalement le soir, vers 19 h, après un second appel à l’hôpital, qu’une personne déclare à la mère : « Votre fille a fait un malaise. Elle est en train de mourir. Elle ne va pas s’en remettre« , selon les propos que l’on nous rapporte. Cela faisait à peine 24 heures qu’elle était entrée au service psychiatrie. L’incompréhension et le choc. 

    Le père débarque en premier au Chog. Alors que sa fille se trouve encore sur un lit de réanimation, l’homme est accueilli par ces mots glaçants : « Si vous voulez savoir ce qu’il s’est passé, il faut aller au service psychiatrie. Ce n’est pas moi qui ai tué votre enfant. » Ce même médecin aurait déclaré la même chose à la mère quelques instants plus tard. « Là, je suis complètement perdu… À ce moment, on se croit dans un film d’horreur« , se remémore Jean Phanis. « Pourquoi vous avez tué mon enfant ?« , demande la mère. Les parents attendent ce soir-là jusqu’à minuit pour avoir des nouvelles et apprennent alors que leur fille se dirige vers une chambre froide. Jeanine Phanis ne s’est pas réveillée. Le lendemain, les parents se rendent finalement au service psychiatrie. Diana Phanis a de quoi s’interroger : « Je vous ai amené mon enfant vivant, comment est-ce que je le retrouve mort. » On lui répond par l’incompréhension. On lui explique qu’elle s’est urinée dessus et qu’elle est tombée.  Aucune précision sur l’endroit ou le moment n’est donnée. Comment comprendre un décès par un supposé malaise cardiaque, sur une jeune femme qui n’avait aucun antécédent de la sorte ? Quatre mois plus tard, les parents n’en savent toujours pas plus. 

    « Un calvaire inadmissible« 

    Effectivement, c’est ici que commence le « calvaire inadmissible que les parents ont subi« , intervient l’avocat de la famille, Jean-Yves Marcault-Derouard. Dès le 16 juillet, les parents demandent une copie du dossier médical. Un document que l’avocat estime « très urgent à pouvoir consulter« , pour « aider la famille à faire son deuil » et pour « essayer de connaitre les conditions dans lesquelles le décès est arrivé« . Ce document ne vient pas malgré plusieurs relances, dont une appuyée le 26 juillet par un courrier envoyé par Me Marcault-Derouard à la direction du Chog. Un document que nous avons pu consulter. Sans ce dossier, il est impossible pour les parents de connaître les soins apportés à la victime dans le service. 

    Face à l’absence de réponse, une plainte est déposée le 6 août à l’encontre du centre hospitalier. C’est à peu près au même moment que l’Association des usagers du Chog (Aduchog) se saisit également du dossier. Le 6 septembre, les parents et l’association sont enfin reçus par un membre de la direction. Celui-ci admet qu’ « il y a eu des défaillances sur la communication avec la famille. » Des condoléances sont exprimées. Rien de plus n’est dit sur les circonstances de la mort. Seulement, que le dossier médical « est en cours de constitution. » Il arrive enfin le 9 septembre. Celui-ci « n’apporte absolument aucune information« , déplorent Laurent Priou, président de l’Aduchog, et l’avocat. « C’est un dossier médical manifestement transfiguré« , juge même ce dernier. Dans sa transmission, le Chog indique également que le décès est toujours inexpliqué et reconnait qu’il existe « des zones d’ombre en ce qui concerne les conditions de son décès. » 

    On apprend par ailleurs, selon le certificat de décès que nous avons pu consulter, qu’aucune demande d’autopsie ou de recherche de cause du décès n’a été réalisée par le médecin. Une décision prise sans en informer les parents. 

    La possibilité d’une erreur médicale grave

    Rien ne laissait supposer un tel décès. L’avocat de la famille mentionne la possibilité d’une « erreur médicale grave » dans un courrier au procureur. Une théorie appuyée par un témoignage apporté par le conseil au dossier. Dans celui-ci, une personne présente dans les couloirs du service psychiatrique, ce jour-là, témoigne de la panique du personnel hospitalier peu de temps avant le décès. L’hypothèse de l’intoxication médicamenteuse est évoquée par l’Aduchog, association qui comporte des professionnels de la santé. Cette intoxication serait l’une des possibilités les plus probables « pour une personne qui décède d’un malaise cardiaque, alors qu’elle n’avait aucun antécédent cardiaque« . Pour autant, rien ne permet encore d’assurer avec certitude que Jeanine Phanis est bien décédée d’un malaise cardiaque.

    Le 22 octobre, finalement, le parquet a confirmé à Me Marcault-Derouard qu’une enquête avait été ouverte à la suite de la plainte déposée. Celle-ci devrait déterminer s’il y a eu, ou non, un homicide involontaire.

    Une affaire révélatrice, inscrit dans un contexte plus large

    Contacté, le directeur par intérim de l’Agence régionale de santé ARS), Romain Brochard, a indiqué : « Conformément à l’évaluation de l’équipe médicale, cet incident n’a pas fait l’objet d’un signalement en tant qu’événement indésirable grave auprès de l’Agence régionale de santé de Guyane. Les équipes ont estimé que les conditions du décès ne répondaient pas aux critères d’un tel signalement. Cependant, en raison de l’importance que j’accorde à la qualité des soins, j’ai demandé à Madame Ninon Gautier (la directrice de l’établissement, NDLR) de me transmettre tous les éléments précis et exhaustifs concernant la prise en charge de Madame Phanis. La sécurité des soins et la communication claire avec les patients et leurs familles figurent parmi nos priorités majeures. » La directrice du Chog, en lien avec la direction de l’ARS s’est associée à cette réponse. 

    Laurent Priou, de l’Auduchog, signale par ailleurs que cette affaire s’inscrit dans un contexte plus large. « Plusieurs cas de dysfonctionnement sont en train d’être soulevés. Cette affaire est révélatrice. » L’association a prévenu qu’une conférence de presse serait menée, mais n’a pas reçu plus de précisions sur les conditions de la mort de Jeanine avant qu’elle se tienne. « On a été transparent, on attendait la même chose. » Une autre affaire médiatique a mis en avant des dysfonctionnements au sein du même établissement : celle de l’escroquerie présumée à plus de 4 millions d’euros par la société AZ DOM, dans laquelle la complicité de médecins urgentistes a été mise en lumière. L’association s’appuie également sur les derniers mauvais résultats du Chog dans ses Indicateurs Qualité et de Sécurité des Soins (IQSS), émis par la Haute autorité de santé (HAS). Le Chog reçoit par exemple une note de 2% dans l’anticipation de la prise en charge de la douleur.

    Laurent Priou enjoint ainsi la nouvelle directrice à « prendre ses responsabilités. Le temps de l’impunité est fini » et dit aux usagers « ne vous laissez plus faire. »

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  • [France-Guyane] Saint-Laurent : Une fusillade dans un domicile fait un blessé

    [France-Guyane] Saint-Laurent : Une fusillade dans un domicile fait un blessé

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    Saint-Laurent : Une fusillade dans un domicile fait un blessé

    La Rédaction
    samedi 26 octobre 2024

    Une énième fusillade est à déplorer vendredi soir à Saint-Laurent-du-Maroni. Elle fait un blessé.

    Les images de notre confrère Eric Léon, de Guyane la 1ère sont impressionnantes.  Les gendarmes ramassent un amas de douilles hallucinant autour d’une maison. Vendredi, un peu après 22 heures, des tirs sont entendus dans un quartier résidentiel de Saint-Laurent-du-Maroni, rue des Antilles. 

    Ces tirs seraient dus à trois malfrats qui ont tenté de détrousser une famille à leur domicile… Cela rappelle le drame vécu par la famille Clet à Rémire-Montjoly en 2016. 

    Une dizaine de coups de feu

    « Une dizaine de coups de feu ont retenti lors de l’attaque, certains tirés sur la terrasse et d’autres à l’intérieur même de la maison. Un occupant, touché par trois balles à la jambe gauche, est le seul blessé« , indique notre confrère. Nous n’avons réussi à joindre aucun membre de la gendarmerie. 

    Les assaillants ont pris la fuite vers des quartiers informels.

    L’article de Guyane la 1ère

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  • [France-Guyane] Saint-Laurent : la Pass mobile au service des sans-droits

    [France-Guyane] Saint-Laurent : la Pass mobile au service des sans-droits

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    Santé

    Saint-Laurent : la Pass mobile au service des sans-droits

    Samuel ZRALOS
    vendredi 25 octobre 2024

    L’équipe de la Pass mobile se prépare à accueillir sa patientèle à la PMI de Saint-Laurent • S.Z.

    Depuis 2020, le service d’aller-vers de l’hôpital de Saint-Laurent du Maroni parcourt les quartiers et village de la commune, à la rencontre des habitants dépourvus de sécurité sociale.

    Ils n’étaient que 5 en 2020, ils sont aujourd’hui
    15 salariés et une cadre de santé. De Mana à Saut Sabbat, en
    passant par Saint-Jean, la Permanence d’accès aux soins de santé
    (Pass) mobile s’occupe de l’aller-vers pour le Centre hospitalier
    de l’ouest guyanais (Chog). Concrètement, ils organisent chaque
    vendredi une maraude, pour informer les habitants de leur venue la
    semaine suivante, puis du lundi au jeudi, la Pass multiplient les
    consultations médicales et l’aide administrative sur une vingtaine
    de sites de la commune.

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  • [France-Guyane] Un Guyanais soupçonné de dizaines de viols entre la France, le Suriname et Saint-Laurent

    [France-Guyane] Un Guyanais soupçonné de dizaines de viols entre la France, le Suriname et Saint-Laurent

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    Faits-Divers

    Un Guyanais soupçonné de dizaines de viols entre la France, le Suriname et Saint-Laurent

    S.Z.
    jeudi 24 octobre 2024

    Les témoignages accusent un même homme d’être un violeur multi-récidiviste (photo d’illustration). • SHUTTERSTOCK

    Une adolescente a dénoncé sur Tiktok un viol qu’elle aurait subi de la part d’un Guyanais installé en Hexagone. Ses vidéos ont suscité de nombreux témoignages d’autres victimes supposées.

    Dans une série de vidéos publiée sur Tiktok, la
    jeune femme, visiblement émue, raconte l’horreur. Dans une
    alternance de sranan tongo et de hollandais, cette adolescente de
    17 ans explique avoir été droguée puis violée par un Guyanais,
    Jules S., dont elle donne le compte Tiktok et qu’elle qualifie de
    « pédophile » et de « violeur« .

    Visionné plus de 160 000…

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  • [France-Guyane] Déploiement d’un peloton de la Garde républicaine à Saint-Laurent du Maroni

    [France-Guyane] Déploiement d’un peloton de la Garde républicaine à Saint-Laurent du Maroni

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    SECURITE

    Déploiement d’un peloton de la Garde républicaine à Saint-Laurent du Maroni

    G.T.
    mardi 22 octobre 2024

    Garde républicaine • SHUTTERSTOCK

    L’unité doit remplacer un des escadrons de gendarmerie mobile qui n’était pas revenu depuis les JO. Une arrivée bienvenue alors que la capitale de l’ouest a traversé plusieurs semaines marquées par de nombreux faits violents.

    Le ministère de l’Intérieur a décidé de l’envoi d’un peloton d’intervention de la Garde républicaine en Guyane, annonce la préfecture.

    Cette unité spécialisée sera déployée dès mercredi à Saint-Laurent du Maroni « pour contribuer au rétablissement de la tranquillité publique. » Ce déploiement fait notamment suite aux promesses du Premier ministre après une semaine de sit-in des élus saint-laurentais

    Un remplacement plutôt qu’un renfort

    « D’autres unités de forces mobiles viendront progressivement renforcer les effectifs de police et de gendarmerie en Guyane au cours des prochaines semaines« , assure encore la préfecture. 

    Après vérification, on apprend que cette unité arrive en remplacement plutôt qu’en renfort. En effet, la Guyane attendait encore le retour de deux escadrons de gendarmerie mobile envoyés pour participer à la sécurisation des Jeux olympiques. Ce peloton de Garde républicaine remplace l’un des deux, selon les précisions des services de l’État. L’autre escadron de gendarmerie devrait revenir courant novembre. 

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  • [France-Guyane] Maroni, une frontière au rabais ?

    [France-Guyane] Maroni, une frontière au rabais ?

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    Maroni, une frontière au rabais ?

    Eric GERNEZ, au Suriname
    mardi 22 octobre 2024

    La sécheresse qui touche le Maroni rend difficile la circulation sur le fleuve. • CRÉDIT : KILLIAN DADI

    Le Maroni et Saint-Laurent sont-ils une sorte de zone tampon, un sas au sous-développement ? La France commence-t-elle après le PCR Margot et l’Europe après Félix-Éboué ?

    Voyageant à destination de Paris au départ de
    Félix-Éboué, nous avons été témoin d’une étrange situation. Alors
    que la personne qui nous accompagnait, étrangère, avait déjà fait
    contrôler, avec succès, son passeport et les visas qui
    l’accompagnent (Guyane et Schengen) à son entrée sur le territoire
    à Saint-Laurent, le fonctionnaire de l’aéroport les remettait en
    question. Tandis que nous faisions valoir l’entrée enregistrée la
    veille au franchissement du Maroni, il réagit vivement en ces
    termes : « Là-bas (NDLR, Saint-Laurent), vous avez franchi un
    fleuve, ici vous allez franchir un océan
     », et, haussant
    le ton, « Vous comprenez ça ? » On comprend, oui.
    On comprend cette réaction d’un fonctionnaire qui traduit si bien
    un sentiment général : la différence acceptée qu’il y aurait deux
    France. L’interrogation qui s’impose est la suivante : le Maroni
    matérialise-t-il une frontière au rabais ? Tour des
    questions…

    Zone de non-droit ?

    On ne saurait faire un lien direct entre les
    récents événements qui ont marqué Saint-Laurent et la situation de
    la frontière ; d’autres, pourtant, le feront, et le doute ne
    profite à personne. Selon des observations couramment
    acceptées,…

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  • [France-Guyane] Nouveau vol violent à Saint-Laurent du Maroni

    [France-Guyane] Nouveau vol violent à Saint-Laurent du Maroni

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    Nouveau vol violent à Saint-Laurent du Maroni

    Rédaction
    dimanche 20 octobre 2024

    Un homme s’est fait brutalement arracher son sac ce matin, en face de l’entrée de la Pépinière à Saint-Laurent du Maroni. L’agresseur a frappé sa victime au sol avec son propre sac avant de s’enfuir, comme on peut le voir sur cette vidéo filmée par un témoin.

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  • [France-Guyane] Saint-Laurent : trois écoles dénoncent des tirs à proximité des établissements

    [France-Guyane] Saint-Laurent : trois écoles dénoncent des tirs à proximité des établissements

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    Saint-Laurent : trois écoles dénoncent des tirs à proximité des établissements

    Samuel Zralos
    jeudi 17 octobre 2024

    Des enseignants sont rassemblées face à la sous-préfecture de Saint-Laurent du Maroni pour dénoncer l’insécurité, jeudi 17 octobre 2024. • S.Z.

    Le personnel enseignant de trois écoles a manifesté ce matin devant la sous-préfecture de Saint-Laurent du Maroni, suite à plusieurs tirs d’armes à feu en pleine journée. Leur droit de retrait est contesté par le rectorat.

     » Bang !  » : au micro, une enseignante
    retrace, bruitages à l’appui, sa panique, la nécessité de protéger
    les élèves et sa colère, après des tirs de pistolet entendus juste
    à l’extérieur de l’école Elise Giffard, vendredi 9 octobre. Deux
    semaines plus tôt, des coups de feu avaient déjà retenti à
    proximité de l’école Alain Mouty, juste à côté de Elise
    Giffard.

    C’est pourquoi le personnel enseignant de ces
    écoles, ainsi que celui de l’école Octavien Hodebar, également
    installée dans le quartier Saint-Maurice, ont collectivement décidé
    d’un droit de retrait et d’une manifestation devant la
    sous-préfecture de Saint-Laurent du Maroni, ce jeudi matin. Ils
    sont une quarantaine, dont plusieurs parents à s’être déplacés pour
    le rassemblement, principalement depuis Elise Giffard et Octavien
    Hodebar. Reçus par la sous-préfecture en fin de matinée, ils ont
    auparavant fait circuler un cahier de doléances parmi les
    manifestants, afin que leurs demandes de patrouilles de gendarmerie
    et de lutte contre l’insécurité soient relayées aux autorités.

    De passage devant l’attroupement, Sophie Charles
    s’arrête quelques minutes pour manifester son soutien aux
    enseignants et aux parents d’élèves présents. L’occasion pour la
    maire de rappeler que le premier ministre a accepté ces…

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  • [France-Guyane] Tirs à Saint-Laurent: trois écoles en droit de retrait jeudi

    [France-Guyane] Tirs à Saint-Laurent: trois écoles en droit de retrait jeudi

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    Tirs à Saint-Laurent: trois écoles en droit de retrait jeudi

    Rédaction
    mercredi 16 octobre 2024

    Le personnel des écoles de Saint-Laurent dénonce régulièrement la présence d’armes à feu à proximité des établissements. • DR

    Inquiets de la montée de l’insécurité et de la fréquence des coups de feu à proximité de leurs établissements, les personnels de trois écoles de Saint-Laurent du Maroni ont décidé d’un droit de retrait demain à 8h, devant la sous-préfecture, « pour exiger des mesures concrètes d’éradication des violences et la sécurisation des abords des écoles concernées« . A savoir, les écoles Alain Mouty, Elise Giffard et Octavien Hodebar.

    Autant d’écoles où les élèves et salariés sont « dans une situation de danger grave et imminent, et cela de façon permanente », d’après la SE-Unsa, à l’origine du mouvement. Le syndicat va également demander un rendez-vous avec le préfet pour aborder la question.

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