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  • Les Saint-Laurentais d’Apakani remportent la dix-septième édition des Jeux Kali’na

    Les Saint-Laurentais d’Apakani remportent la dix-septième édition des Jeux Kali’na

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    La dix-septième édition des Jeux Kali’na, qui a vu s’affronter 400 athlètes répartis en 39 équipes a été remportée par Apakani, une équipe dont la plupart des membres viennent de Saint Laurent. Retour en images sur cette première victoire et sur la deuxième journée de compétition, à Awala Yalimapo.

    Ils sont aux anges et peinaient, il y a encore quelques secondes, à y croire. Ce sont les Saint-Laurentais de l’équipe Apakani qui sont montés sur la première marche du podium, à l’issue des dix-septièmes Jeux Kali’na, achevés ce dimanche, à Awala Yalimapo.


    L’équipe Apakani a remporté la dix-septième édition des Jeux Kali’na à Awala Yalimapo


    La jeune équipe – seuls quelques membres avaient déjà joué lors de la dernière édition – remporte sa première victoire, détrônant l’équipe Alawata, tenante des deux derniers titres. Les « singes hurleurs de Matoury », finissent deuxième devant Ayawandé, la seule équipe originaire d’Awala Yalimapo qui signe au passage un retour très réussi, après son absence lors de la dernière édition.


    L’équipe Ayawandé, troisième au classement général n’avait pas concouru l’année dernière. Leur retour a été particulièrement acclamé par les supporters


    Le classement général a été dévoilé tardivement dans la soirée, après une journée sportive particulièrement chargée. La logistique a en effet été un peu dépassée par le nombre inédit d’équipes – 39 contre 28 l’année précédente. Les organisateurs ont dû se démener pour tenir les délais, et même adapter certaines règles afin de gagner du temps.


    Le tir à la corde, dernière épreuve de la journée, était encore disputée tard dans la soirée


    Cette deuxième journée des Jeux Kali’na avait commencé dès 7 heures du matin, avec la reprise de l’épreuve de tir à la corde, suspendue la veille, faute de temps.

    La finale a opposé l’équipe Alawata, déjà médaillée de tir à l’arc aux Aseka 973, une autre équipe de Saint Laurent du Maroni – 5 ème au classement général – spécialiste de la discipline et participant à des compétitions hors Jeux Kali’na. Les Aseka 973 ont d’ailleurs réalisé un sans-faute lors de leurs 15 matchs. 


    Les Jeux Kali’na ont vu s’opposer 39 équipes dans diverses épreuves comme le tir au harpon


    La matinée s’est poursuivie avec le tir au harpon, une épreuve qui n’a pas été incluse à toutes les éditions des Jeux Kali’na, les organisateurs lui ayant souvent préféré le « glisser de vase ». Ce jeu, qui consiste littéralement à glisser sur la vase, n’est plus réalisable en raison de la disparition du banc de vase au large de Yalimapo.


    Le tir au harpon, une des huit épreuves des Jeux Kali’nas s’inspire d’une pratique de pêche traditionnelle


    L’épreuve du harpon, qui fait référence aux pratiques traditionnelles de pêche consiste pour chaque équipe à toucher une cible à environ 15 mètres de distance grâce avec des javelots en bois. 

    Peu d’équipes ont finalement réussies à toucher la cible en forme de mâchoiron mais les Yakalawa, venus de l’île de Cayenne, se sont toutefois surpassés en devançant de dix points l’équipe d’Ayawandé.


    Le tir au harpon, une des huit épreuves des Jeux Kali’nas s’inspire d’une pratique de pêche traditionnelle


    Cette épreuve d’adresse a ensuite laissé la place à la remontée de pirogue, un temps fort des Jeux, particulièrement apprécié des supporters, venus en masse assister à l’événement.


    L’épreuve de la remontée de pirogue est une des plus dures des Jeux Kali’nas


    Le principe est simple sur le papier : hisser un kanawa, une pirogue traditionnelle en bois, dont le poids oscille entre 600 et 700 kilos, hors de l’eau puis la traîner sur une dizaine de mètres avant de faire le chemin inverse. Le tout dans le temps imparti, de huit minutes maximum. 


    L’équipe des organisateurs en train d’organiser l’épreuve de la pirogue, aux Jeux Kali’na


    Cette épreuve qui demande toutes les forces vives de l’équipe et une importante coordination a été remportée sur le fil par les Owin Na’na man – sixième au classement général. Avec un temps de trois minutes, ils ont devancé de quelques secondes les Aseka 973 de Saint Laurent du Maroni. 


    Pour les premières équipes, hisser la pirogue sur du sable non damé était particulièrement physique.


    Pendant que certaines équipes tentaient encore de remonter leur pirogue, d’autres essayaient de résoudre un casse-tête bien connu des autochtones : le jeu du diable, où le « diable » fait en réalité écho à un esprit de la forêt baptisé kulupi, en kali’na.


    L’épreuve du jeu du diable fait partie de celles qui requièrent le plus d’entrainement et de précision


    Concrètement, il s’agit d’un jeu de logique où les participants doivent tour à tour faire passer 16 bâtonnets dans des cordages, en suivant un sens bien précis. Le tout sous le regard de l’arbitre, chronomètre en main.


    Alawata a remporté l’épreuve du jeu du diable, un casse tête amérindien


    Cette épreuve qui demande un entraînement rigoureux a été remportée par l’équipe Alawata qui a devancé d’une dizaine de secondes les joueurs d’Ayawandé.


    Le jeu du diable fait partie des épreuves qui demandent le plus de préparation, tant la solution du casse tête est spécifique.


    Enfin, le « transport de charge », dernière épreuve de la journée a sûrement épuisé les dernières forces des équipes les moins préparées.


    L’équipe Apakani a remporté deux épreuves dont le transport de charge ayant cloturé la journée


    Il s’agissait d’un relais, où les coureurs devaient porter une bûche massive sur leur épaule. Ce sont les gagnants de la compétition, les Apakani, qui ont performé à cette épreuve décisive. 


    L’équipe Ayawandé, seuls représentants d’Awala Yalimapo ont fini ème au classement général. Ici ils concourent à l’épreuve du transport de charge



    L’épreuve du transport de charges a cloturé les dix-septièmes Jeux kali’na d’Awala Yalimapo


    Enfin, tout au long de la journée, entre une épreuve de force et une autre d’agilité, les 39 équipes ont dû  répondre à un questionnaire de 30 questions sur la culture kali’na et l’histoire de la commune d’Awala Yalimapo.

    Une façon, encore une fois de faire connaître les cultures autochtones et de les promouvoir au-delà des rangs de la communauté. 


    La dernière soirée des Jeux Kali’na s’est conclue sur une « danse de la fraternité »


    À l’issue de la remise des récompenses, les joueurs et les supporters encore en forme se sont rejoints devant la plage de Yalimapo pour une danse de la fraternité au son des sampulas.

    Jean Paul Ferreira, maire d’Awala Yalimapo s’est réjoui du succès de l’événement et a confirmé que la dix-huitième édition aurait bien lieu en 2025.

    Les épreuves se dérouleront sûrement à nouveau autour du 9 décembre, date de la commémoration du discours de Félix Tiouka de 1984 énoncé à Awala Yalimapo, devant les autorités françaises. C’est un événement fondateur du mouvement politique autochtone guyanais dans le sillage duquel ces Jeux s’inscrivent, eux aussi. 



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  • A Saint-Laurent du Maroni, l’eau est à nouveau consommable sous conditions – Mo News

    A Saint-Laurent du Maroni, l’eau est à nouveau consommable sous conditions – Mo News

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    Si ce nouvel épisode de salinité de l’eau est terminé, les autorités rappellent plusieurs conditions à prendre en compte.

    La préfecture de la Guyane, en collaboration avec la mairie de Saint-Laurent du Maroni, la Société guyanaise des eaux et l’Agence régionale de santé, confirment  que l’eau du robinet est à nouveau consommable pour la boisson et la cuisson. Le taux de sel dans l’eau est revenu à un niveau légèrement supérieur au taux habituel.

    En conséquence, les points de distribution installés provisoirement dans la ville avec les bâches d’eau de  consommation ne seront plus alimentés à partir de ce samedi 7 décembre.

    Cependant, les autorités rappellent que le taux de sel dans l’eau reste trop élevé pour les personnes souffrant d’insuffisance rénale (stade 4 ou 5). Ces patients doivent continuer à éviter l’eau du robinet, aussi bien pour la boisson que pour la cuisson. La distribution d’eau en bouteilles reste assurée dans les centres de dialyse par la mairie de Saint-Laurent du Maroni.

    Un nouvel épisode de salinité est attendu à la mi-décembre. La situation fait l’objet d’une surveillance attentive et, si nécessaire, les points de distribution seront réapprovisionnés en eau dès le mercredi 11 décembre. La population sera informée des mesures mises en place.

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  • Education en Guyane : La ville de Saint-Laurent du Maroni à nouveau labellisée « Cité éducative »

    Education en Guyane : La ville de Saint-Laurent du Maroni à nouveau labellisée « Cité éducative »

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    Avec un financement de 630 000 euros, ce partenariat fixe des priorités telles que l’insertion professionnelle, l’engagement citoyen et le renforcement des liens avec les familles. Pour Ania Mahasingh, coordinatrice de la Cité Éducative de Saint-Laurent, cette signature marque une continuité du précédent label. « Les défis éducatifs sont nombreux sur le territoire, nous avons une démographie assez conséquente d’année en année, donc une prise en charge a intensifié d’année en année. La cité éducative permet de coordonner tous les acteurs du territoire, tous les acteurs éducatifs, y compris les associations, les institutions et aussi les parents, les familles. C’est ce qui permet de créer une synergie autour de l’éducation. Renouveler le label, c’est un renouvellement de la confiance accordée par l’Etat, par le rectorat et évidemment par la ville. Les pilotes de la cité éducative ont décidé de garder le même cap tout en soutenant la mobilité des élèves parce qu’il est important que les élèves puissent sortir un petit peu de Saint-Laurent-du-Maroni, puissent s’ouvrir aux autres, découvrir autre chose.Il y a un soutien à la mobilité mais il y a aussi un soutien à la parentalité également puisqu’il faut accompagner les familles qui ont des difficultés, nous sommes dans des quartiers prioritaires de la politique de la ville donc il est nécessaire de soutenir ces familles. Une famille soutenue c’est un enfant plus épanoui à l’école et mieux accompagné !»

    Pour Philippe Dulbéco, recteur de l’académie de Guyane, ce dispositif témoigne de l’importance de l’éducation à lutter contre les inégalités.  «L’éducation, ce sont les familles, les partenaires de l’école. L’éducation représente toute une chaîne et il faut que chacun des maillons de cette chaîne soit relié les uns avec les autres. La raison d’être de la cité éducative, c’est que tous ces acteurs politiques de la ville, éducation nationale, collectivité territoriale, ici la ville de Saint-Laurent, tous ces acteurs coordonnent leurs actions autour de ces trois axes, la citoyenneté, l’insertion professionnelle, l’accès aux familles, de manière à ce que les actions soient mises en place de manière très étroitement coordonnée.»

    Par Radio Peyi

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  • un concert pour fêter ses 60 ans de carrière

    un concert pour fêter ses 60 ans de carrière

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    L’ambassadrice de la musique guyanaise fête ses 60 ans de carrière ce mercredi 4 décembre au Zéphyr, à 20 heures. Juste avant d’enchanter le public Sylviane Cédia assistera à une cérémonie haute en émotion : la CTG a choisi de donner son nom à la salle de spectacle de Cayenne.

    Il y a soixante ans, une petite fille chantait ses premières notes lors d’un radio crochet à Saint-Laurent du Maroni. Sylviane Cédia avait alors 9 ans. « Je me souviens que j’avais tellement peur que j’ai arrêté de chanter et je me suis mise à danser. Après, j’avais honte de sortir dans la ville, mais mes copines me disaient « i té bon ». En tous cas, j’ai eu ma récompense : une part de bedegwèl. Je me souviens encore du bon goût de cannelle et de muscade du gâteau. »

    Depuis cette première prestation, Sylvia Cédia a cumulé les prix et récompenses. Tant et si bien qu’elle en perd un peu le compte. «  Il y en a peut-être 59, remis en Guyane, en Afrique, aux Antilles, à La Réunion, en Nouvelle-Calédonie, dans l’Hexagone… » Mais mercredi, celle qu’elle va recevoir avant son concert anniversaire, lui va doit au cœur. La Collectivité territoriale de Guyane a choisi de l’honorer en donnant son nom à la salle du Zéphyr. Le public pourra désormais se rendre au Zéphyr, salle de spectacle Sylviane Cédia. «  C’est une formidable reconnaissance, même en rêve je n’aurais pas pu imaginer cela. Ça me procure beaucoup de joie, mais je sens aussi un peu plus de pression. J’ai toujours le trac avant de retrouver mon public, mais dans cette salle, c’est encore plus fort. »

    De son enfance à Maripasoula, puis à Saint-Laurent, et enfin à Cayenne, Sylviane Cédia a conservé une certaine douceur et des sons qui l’ont inspirée durant sa carrière : « le son des canots qui passent, le bruit de la pluie, le clapotis de l’eau quand on pêche…  Quand tu as grandi dans tout ça, tu es rempli de musicalité, tu es créatif. »


    La CTG a choisi de donner le nom de Sylviane Cédia à la salle du Zéphyr, à Cayenne


    Ses inspirations, Sylviane Cédia en parlerait des heures. On serait tenté de les résumer en deux mots : « nature et amour ». Depuis quelques années, on pourrait y ajouter le mot « transmission ». En effet, si elle aime à rappeler que ses tubes font danser et rêver toutes les générations, Sylviane Cédia s’est appliquée, ces 20 dernières années particulièrement, à chanter avec et pour les plus jeunes. On se souvient ainsi de représentations pour des scolaires, au Zéphyr déjà. « Je me rappelle aussi du jour où DJ Pyromane m’a demandé de venir à une de ses soirées en région parisienne. Il y avait plein de jeunes. D’ailleurs je croise souvent les enfants de mes anciennes copines de classe. »

    Le plus important, ce sont les qualités humaines

    Lorsqu’on lui demande de jeter un œil dans le rétroviseur, c’est aussi à cette jeunesse que Sylvianne Cédia pense. « Si je devais refaire quelque chose, ce serait d’aller plus tôt vers cette transmission. C’est toujours difficile de donner un conseil… Mais si je devais en donner un à un jeune artiste, ce serait de se respecter, de respecter les autres, d’avoir de la rigueur et d’apprendre les bases musicales. Le plus important, ce sont les qualités humaines : il doit savoir faire le point avec lui-même pour être exactement ce qu’il annonce. »

     

    Concert: Sylviane Cédia au Zéphyr, mercredi 4 décembre à 20 heures au Zéphyr, à Cayenne



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  • la déchèterie Colibri, un pas vers une gestion durable des déchets dans l’Ouest guyanais

    la déchèterie Colibri, un pas vers une gestion durable des déchets dans l’Ouest guyanais

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    La déchèterie Colibri de Saint-Laurent-du-Maroni, a ouvert ses portes le 2 décembre sur l’écopôle Colibri, route de Paul Isnard. Première du genre dans l’Ouest guyanais, elle offre aux habitants une solution essentielle pour le tri, le recyclage et la valorisation des déchets.


    Zone de collecte des encombrants à la déchèterie Colibri, avec une vue dégagée sur le site de traitement des déchets.



    Depuis le 2 décembre, les habitants de Saint-Laurent-du-Maroni peuvent désormais déposer leurs déchets dans la première déchèterie intercommunale de l’Ouest guyanais. Située sur l’écopôle Colibri, route de Paul Isnard, cette infrastructure était très attendue dans la région pour répondre aux besoins croissants de gestion des déchets.


    Gros plan sur les déchets déposés dans une benne : exemple d’encombrants collectés pour tri et valorisation.


    « La déchèterie permet aux particuliers de déposer gratuitement des déchets volumineux, dangereux ou non collectés habituellement avec les ordures ménagères, » explique Cyrille Van Oost, directeur du service environnement et gestion des déchets à la CCOG. Elle permet aussi d’encourager le recyclage et la réutilisation grâce à une zone de réemploi, un concept encore peu répandu mais essentiel pour réduire le gaspillage et favoriser une économie circulaire.  


    Gros plan sur les déchets déposés dans une benne : exemple d’encombrants collectés pour tri et valorisation.


    Les déchets acceptés couvrent une large variété : déchets verts, ferraille, mobilier usagé, déchets électriques et électroniques (D3E), piles, batteries, textiles, et même des articles de sport et de loisir. Plus de dix conventions ont été signées avec des éco-organismes agréés pour assurer que ces déchets soient valorisés ou éliminés dans des filières spécialisées.


    Gros plan sur les déchets déposés dans une benne : exemple d’encombrants collectés pour tri et valorisation.


    Pour sensibiliser la population, une vaste campagne de communication a été lancée sur Guyane la 1ère, complétée par des actions locales, dont des visites de site pour les écoles.

    Nous souhaitons que cette déchèterie devienne un outil pédagogique pour les jeunes et une solution pratique pour tous les habitants

    ajoute Cyrille Van Oost.  

    L’ouverture de cette déchèterie s’inscrit dans un projet plus large. La CCOG prévoit de déployer plusieurs autres infrastructures similaires à Apatou et Maripasoula d’ici début 2025, marquant ainsi une montée en puissance des efforts régionaux pour une meilleure gestion des déchets.

    Enfin, Bhoris Rattier, chef de centre de l’écopôle Colibri, note que les premières réactions des habitants sont positives :

    Depuis l’ouverture, plusieurs particuliers ont déposé des encombrants, des jouets et des huiles usagées. Nos agents sont présents pour guider les usagers et assurer un tri efficace.


    Bhoris Rattier, chef de centre de l’écopôle Colibri, guide un usager lors de la dépose de déchets encombrants dans l’une des bennes dédiées.


    Avec cette première étape, l’Ouest guyanais amorce une révolution dans la gestion des déchets, en impliquant les citoyens dans une démarche collective et durable.

    Infos utiles :

    Adresse : Écopôle Colibri, route de Paul Isnard  
    Horaires : Du lundi au samedi, de 7h30 à 17h30 



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  • Saint-Laurent-du-Maroni : la déchèterie Colibri a ouvert ses portes – Mo News

    Saint-Laurent-du-Maroni : la déchèterie Colibri a ouvert ses portes – Mo News

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    La déchèterie est ouverte du lundi au samedi, de 7h30 à 17h30.

    La commune de Saint-Laurent-du-Maroni s’est dotée d’un nouvel outil pour améliorer la gestion des déchets : la déchèterie intercommunale Colibri.

    Officiellement ouverte depuis ce lundi, elle est située sur le site de l’écopôle Colibri, route de Paul Isnard. Cette structure accueille les habitants du lundi au samedi, de 7h30 à 17h30.

     

    Un site adapté aux différents besoins

    Papiers, cartons, emballages, déchets verts, textiles, jouets ou encore piles, batteries et déchets électroniques : la déchèterie Colibri est équipée pour recevoir une grande diversité de matériaux. Les encombrants, articles de jardinage, huiles alimentaires usagées et même les ampoules et néons y trouvent également leur place.

    Un geste pour l’environnement

    Ce nouvel espace permet de faciliter le tri et de limiter les dépôts sauvages. Des agents sur place sont disponibles pour conseiller les usagers et les guider dans leurs démarches.

    Avec ce projet, les collectivités locales ambitionnent de renforcer les pratiques durables et de bâtir un cadre de vie plus propre et respectueux de l’environnement.

     


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  • l’ASC Tour renverse le Cosma dans le choc des invincibles en championnat

    l’ASC Tour renverse le Cosma dans le choc des invincibles en championnat

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    Hier soir, le 30 novembre, à Saint-Laurent-du-Maroni, l’ASC Tour a battu le Cosma 74-54 dans un choc au sommet entre deux équipes invaincues. Avec cette troisième victoire face au Cosma cette saison, l’ASC Tour consolide sa domination et s’impose comme le favori pour la première place du championnat.


    Action sous le panier lors du duel acharné entre le Cosma et l’ASC Tour, à Saint-Laurent-du-Maroni, le 30 novembre 2024


    Le gymnase de Saint-Laurent-du-Maroni était comble pour ce face-à-face très attendu entre les deux équipes en tête du championnat. Dès le début, le match a tenu toutes ses promesses avec un premier quart-temps serré (15-17 en faveur de l’ASC Tour).


    Les joueurs de l’ASC Tour en pleine offensive face au Cosma, dans une rencontre intense et décisive pour le championnat, le 30 novembre 2024


    Le deuxième quart-temps a vu un retournement temporaire. Le Cosma, porté par une belle intensité, est brièvement passé devant au score. Cependant, l’ASC Tour a rapidement repris les devants pour terminer la première mi-temps avec un léger avantage (31-33).

    La seconde période a été à sens unique. Dès le troisième quart-temps, l’ASC Tour a accéléré et creusé l’écart (44-49). Le dernier quart-temps a scellé la victoire des visiteurs, avec une avance finale de 20 points (54-74). Avec ce succès, l’ASC Tour porte son bilan face au Cosma à 3 victoires à 0 cette saison, toutes compétitions confondues.


    Le tableau d’affichage du gymnase de Saint-Laurent-du-Maroni montrant le score final : ASC Tour 74 – 54 Cosma, le 30 novembre 2024


    Pour Gilles Elfort, entraîneur de l’ASC Tour, cette victoire marque un tournant dans la saison : 


    Gilles Elfort, entraîneur de l’ASC Tour


    Ce soir, on a été meilleurs qu’eux. Cette victoire nous met en confiance avant la finale de la Coupe de France samedi face à la Martinique. Jouer cette finale chez nous est une grande opportunité, et on va tout donner pour ramener le trophée en Guyane.

    Du côté du Cosma, Ghislain Daniel, entraîneur, n’a pas caché sa frustration : 


    Ghislain Daniel, entraîneur du Cosma


    On a été punis parce qu’on n’a pas respecté les consignes. Avec deux joueurs majeurs disqualifiés et un manque de lucidité, on est sortis du match. À certains moments, on a joué comme des U13, et ça, on ne peut pas se le permettre face à une équipe comme l’ASC Tour.

    Malgré cette défaite, il reste confiant : « Rien n’est perdu. Il faut se servir de cette défaite pour progresser. Nous avons encore notre destin entre les mains, et il faudra être prêts pour le match retour. »

    Les supporters, nombreux à s’être déplacés, ont assisté à un duel intense, marqué par des retournements de situation et une forte rivalité entre les deux équipes. Ce résultat confirme l’ASC Tour comme le grand favori pour la première place du championnat.

    Le Cosma reprendra le championnat la semaine prochaine, avant un match crucial en Coupe de la CTG le 21 décembre. L’ASC Tour, quant à elle, se tourne vers la finale de la Coupe de France contre Golden Stars de la Martinique, qui se jouera à domicile le week-end prochain.



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  • Guyane : Augmentation temporaire de nouveau de la salinité de l’eau potable à Saint-Laurent du Maroni

    Guyane : Augmentation temporaire de nouveau de la salinité de l’eau potable à Saint-Laurent du Maroni

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    Durant cette période, l’eau du robinet ne doit pas être consommée en raison de sa teneur accrue en sel. Toutefois, elle peut être utilisée pour des usages non alimentaires tels que l’hygiène ou les tâches ménagères. Cette mesure concerne l’ensemble de la commune, à l’exception des quartiers situés le long de la route de Saint-Jean, à partir du pont de la Balaté.

    Pour pallier cette situation, plusieurs points de distribution d’eau non salée seront accessibles : Gare routière, Quartier de la Charbonnière, École Jacques Voyer, Mission locale, Quartier Balaté. De plus, une distribution spécifique d’eau en bouteille est assurée par la mairie pour les patients en insuffisance rénale de stade 4 ou 5, en partenariat avec les centres de dialyse locaux.

    Surveillance et suivi de la situation

    La cellule de veille sur l’eau, composée des services de l’État, des collectivités territoriales, de l’ARS Guyane et de la SGDE, maintient une surveillance sanitaire régulière afin de suivre l’évolution de cette situation. Pour toute information complémentaire, une FAQ est disponible sur le site internet de l’ARS Guyane

    Damien Chaillot
     

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  • Guyane : Augmentation temporaire de nouveau de la salinité de l’eau potable à Saint-Laurent du Maroni

    Guyane : Augmentation temporaire de nouveau de la salinité de l’eau potable à Saint-Laurent du Maroni

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    Durant cette période, l’eau du robinet ne doit pas être consommée en raison de sa teneur accrue en sel. Toutefois, elle peut être utilisée pour des usages non alimentaires tels que l’hygiène ou les tâches ménagères. Cette mesure concerne l’ensemble de la commune, à l’exception des quartiers situés le long de la route de Saint-Jean, à partir du pont de la Balaté.

    Pour pallier cette situation, plusieurs points de distribution d’eau non salée seront accessibles : Gare routière, Quartier de la Charbonnière, École Jacques Voyer, Mission locale, Quartier Balaté. De plus, une distribution spécifique d’eau en bouteille est assurée par la mairie pour les patients en insuffisance rénale de stade 4 ou 5, en partenariat avec les centres de dialyse locaux.

    Surveillance et suivi de la situation

    La cellule de veille sur l’eau, composée des services de l’État, des collectivités territoriales, de l’ARS Guyane et de la SGDE, maintient une surveillance sanitaire régulière afin de suivre l’évolution de cette situation. Pour toute information complémentaire, une FAQ est disponible sur le site internet de l’ARS Guyane

    Damien Chaillot
     

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  • Saint-Laurent du Maroni : alerte à la salinité de l’eau potable – Mo News

    Saint-Laurent du Maroni : alerte à la salinité de l’eau potable – Mo News

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    Ce nouvel épisode de salinité de l’eau est prévu du vendredi 29 novembre au samedi 7 décembre.

    La sécheresse persistante en Guyane continue de provoquer une augmentation de la salinité de l’eau potable à Saint-Laurent du Maroni.

    Une nouvelle hausse est attendue entre ce vendredi 29 novembre et le samedi 7 décembre, impactant l’ensemble de la commune, à l’exception des quartiers situés le long de la route de Saint-Jean, à partir du pont de Balaté.

    Durant cette période, il est déconseillé de consommer l’eau du robinet, bien qu’elle reste utilisable pour d’autres usages domestiques.

    Des points de distribution d’eau potable sont mis en place à la gare routière, au quartier de la Charbonnière, à l’école Jacques Voyer, à la mission locale et dans le quartier de Balaté.

    Par ailleurs, la mairie poursuit la distribution de bouteilles pour les patients atteints d’insuffisance rénale sévère.

    La cellule de veille sur l’eau, regroupant l’ARS Guyane, la SGDE et les services de l’État, assure un suivi sanitaire rigoureux pour surveiller l’évolution de la situation et informer les habitants.

     


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