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  • Saint-Laurent du Maroni célèbre sa 75ème fête patronale

    Saint-Laurent du Maroni célèbre sa 75ème fête patronale

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    La fête patronale de Saint-Laurent du Maroni, s’est tenue officiellement, ce samedi 10 août. Des festivités réduites, cette année, mais la municipalité a misé sur un concept de « Garden party », au camp de la transportation.

    Le « Camp de la transportation », métamorphosé en un lieu de convivialité, pour célébrer la fête patronale de la commune. Samedi 10 août, dès 13 heures, le public a pu découvrir du «  Bèlè Danmyé », cet ensemble de musiques,  de danses, et de chants originaires de la Martinique. Le groupe culturel «  Dansé lavi-a « , a fait le déplacement, pour cette démonstration, il est originaire de « Saint-Joseph », une commune jumelée avec Saint-Laurent du Maroni.


    Groupe Culturel de Saint-Joseph Martinique « Dansé lavi-a »


    A partir de 14 heures, des groupes locaux ont assuré le plateau artistique, C’Konsa, Authentik Voice et Influans. Après les orchestres, les « Dj « , ont fait scratcher les platines. Dj Nico’s, dj Mickael et dj Creeks Mx.


    artistes fête de Saint-Laurent du Maroni


    Samedi 10 août, les séniors de l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, de Saint-Laurent, ont pu apprécier un spectacle de danse traditionnelle de la Martinique, «  Konwa danses en won Bèlè « .


    démonstration de Bèlè




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  • Grande fête de l’autochtonie en Guyane avec la tenue des Journées des Peuples Autochtones du 8 au 11 août

    Grande fête de l’autochtonie en Guyane avec la tenue des Journées des Peuples Autochtones du 8 au 11 août

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    Nous en sommes à la 14ème édition des Journées Autochtones de Guyane. Les festivités démarrent officiellement ce 9 août pour s’achever le 11 août. Cet événement patrimonial va se tenir dans plusieurs communes avec comme point d’orgue l’hommage aux 47 Kali’na et Arawak exhibés au siècle dernier au jardin Zoologique d’Acclimatation à Paris.

    Cette année les Journées des Peuples Autochtones revêtent une signification particulière avec l’inauguration de deux statues en bronze créées en hommage à Pi’pi Ahieramo et Pi’pi Molko et aux 47 Kali’na et Arawak exhibés en 1882 et 18/92 au Jardin d’acclimatation à Paris.
    Ces statues mémorielles ont été installées à Iracoubo où elles seront dévoilées à la population le  11 août. Cette cérémonie de dévoilement se fera en présence de la mairesse Céline Régis et la Yopoto Cécile Kouyouri  et Corinne Toka-Devilliers à l’origine de ce projet fera une synthèse des zoos humains. Le groupe Ayawande accompagné de Kalawasi assurera l’ouverture musicale de cet hommage.

    Les Journées Autochtones auront débuté dès le lever du jour de ce vendredi 9 août avec la traditionnelle cérémonie chamanique au giratoire Califourchon à Matoury orchestré par Ruben Makosi et Francisco Karwofodi. Ce sont les groupes Sainte-Rose de Lima et Warukuma (du Suriname)  qui présenteront les danses traditionnelles arawak-lokono.
    Dans l’ouest au Village Pierre de Saint-Laurent du Maroni se déroulera aussi un rituel chamanique.  

    En soirée, une grande conférence sur le manioc, l’aliment de base des autochtones, se tiendra à l’auditorium de la Maison des Cultures et des Mémoires de la Guyane à partir de 18h à Rémire-Montjoly. En présence de Gabriel Serville, président de la CTG, des scientifiques interviendront notamment sur les enjeux et perspectives de développement des agricultures traditionnelles.

    Le samedi 10 août, le public a rendez-vous au village Sainte-Rose de Lima à Matoury pour des activités sportives, la présentation de l’art amérindien et de la cuisine traditionnelle tout au long de la journée et en soirée des prestations de danses et de musique jusqu’à 5h du matin.

    Camopi participe aussi à cette grande fête entre le 8 et le 9 août avec la tenue d’un marché, des tournois sportifs, des animations musicale et un grand débat à la mairie sur la maladie du manioc, l’orpaillage et l’éducation.

    Cette grande manifestation annuelle est placée sous l’égide la Collectivité Territoriale de Guyane et le Comité du Tourisme de Guyane.

    Pour rappel, ces journées mémorielles sont célébrées depuis août 2010 en Guyane, le 9 août ayant été déclaré Journée internationale des populations autochtones par les Nations Unies en 1994.

    Retrouvez ci-dessus le programme complet de ces journées 



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  • Carburant : les prix en augmentation pour ce mois d’août en Guyane

    Carburant : les prix en augmentation pour ce mois d’août en Guyane

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    Les prix des carburants repartent à la hausse pour ce mois d’août en Guyane. Le sans-plomb, le gazole et la bouteille de gaz coûteront entre 3 et 72 centimes supplémentaires pour les consommateurs. Les détails.

    Ils ont été publiés cet après-midi par la Préfecture de Guyane pour le mois d’août. Les prix des carburants sont en augmentation.

    Le sans-plomb passe à 1,98€ le litre, une augmentation de 3 centimes. Le gazole routier est désormais à 1.83€, 4 centimes de plus qu’en juillet. Enfin, la bouteille de gaz coûte 22.98€ pour le mois d’août, soit 72 centimes de plus que le mois dernier.



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  • Débrayage au Centre administratif d’Intervention Technique de Saint-Laurent-du-Maroni

    Débrayage au Centre administratif d’Intervention Technique de Saint-Laurent-du-Maroni

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    Les agents du Centre Administratif d’Intervention Technique (CAIT) de Saint-Laurent-du-Maroni ont déclenché un débrayage ce mardi 30 juillet, suite à des menaces de mort répétées. Ils demandent une amélioration urgente des mesures de sécurité et une meilleure communication de la part de la collectivité territoriale de Guyane.


    Les employés se rassemblent devant le centre administratif d’intervention technique pour protester contre le manque de sécurité et la gestion de certaines procédures.


    Ce matin, les portes du centre administratif d’intervention technique (CAIT) de Saint-Laurent-du-Maroni sont restées fermées pendant une heure. Les agents ont décidé de stopper le travail en signe de protestation contre une situation qui ne peut plus durer. Les menaces de mort répétées d’un individu envers le personnel ont été le déclencheur de cette action. Hector Porthos, porte-parole des agents, a expliqué que ces menaces ont créé une atmosphère d’insécurité intolérable au sein du CAIT.

    Depuis plusieurs jours, les agents vivent sous la pression de ces menaces. Un individu, dont les motivations restent floues, a pénétré à plusieurs reprises dans les locaux, semant la peur parmi les employés. « Nous sommes en insécurité totale », a déclaré Hector Porthos. Le manque de réponse de la part de l’administration et des élus locaux face à cette crise a conduit les agents à prendre cette mesure de débrayage pour attirer l’attention sur leur situation.

    L’objectif principal de ce mouvement est d’obtenir des mesures de sécurité renforcées et une meilleure communication avec les responsables de la collectivité territoriale de Guyane.

    Nous demandons une vraie réflexion sur l’organisation de la sécurité au sein du CAIT

    Selon Hector Porthos, il ne suffit pas de placer un vigile à l’entrée du bâtiment ; il faut repenser l’ensemble du dispositif pour garantir la protection de tous les agents.

    Le problème de sécurité n’est qu’une partie des tensions au sein du CAIT. Les agents se plaignent également de l’absence d’informations concernant le fonctionnement de l’école de la deuxième chance, un dispositif destiné à offrir des perspectives d’avenir aux personnes en difficulté sociale, géré par la collectivité.


    Hector Porthos explique les raisons du débrayage et les revendications des agents pour une amélioration des conditions de sécurité.


    Les gens se présentent au CAIT pour des questions sur leur rémunération, mais nous ne sommes pas informés sur ce dispositif, nous ne savons même pas qui le gère

    a expliqué Hector Porthos. Cette situation crée une confusion supplémentaire et met les agents en difficulté face au public.

    Bien que le débrayage de ce matin ait été bref, il se veut un avertissement clair. Les agents du CAIT sont prêts à renouveler leur action si aucune mesure n’est prise rapidement. « Si nous ne sommes pas entendus, nous recommencerons ce mouvement, toujours d’une heure, pour ne pas pénaliser le public », a prévenu Hector Porthos. Avec la rentrée scolaire qui approche, la pression pour obtenir des réponses et des actions concrètes augmente.



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  • Braquage aux Chutes Voltaires – Mo News

    Braquage aux Chutes Voltaires – Mo News

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    Hier, en fin d’après-midi, plusieurs individus ont pénétré dans une supérette sur la route des Chutes Voltaires. Sous la menace d’une arme à feu, ils ont dérobé la caisse du magasin. 

     

    Les faits se sont déroulés aux alentours de 19 heures. Dans une supérette de l’ouest, sur la route des Chutes Voltaires, plusieurs individus ont pénétré dans le magasin. À l’aide d’une arme à feu, ils ont contraint les employés à leur remettre la caisse.

    Aucun coup de feu n’a été tiré, et personne n’a été blessé. Pour l’heure, les auteurs présumés de ce braquage sont toujours recherchés. La Brigade de Recherche est mobilisée.

    Une femme agressée à l’arme blanche

     

    Toujours à Saint-Laurent-Du-Maroni, une femme de 37 ans a été blessée à l’arcade sourcilière vers 3 heures du matin. L’origine de cette agression serait une dispute avec une autre femme. Cette dernière l’aurait alors attaqué avec un tesson de bouteille.

    La victime a été évacuée à l’hôpital, tard dans la nuit. À l’arrivée des gendarmes, l’agresseuse présumée n’était plus sur place.

     


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  • Carrefour Guyane, filiale de GBH inaugure son premier supermarché à Saint-Laurent du Maroni

    Carrefour Guyane, filiale de GBH inaugure son premier supermarché à Saint-Laurent du Maroni

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    Depuis son implantation en Guyane en 2011, Carrefour Guyane s’engage à soutenir la production locale et à contribuer à la vie sociale de la région. Déjà présent à Matoury et Remire Montjoly, Carrefour Guyane continue son expansion avec ce nouvel espace commercial de 990 m².

    Pour ce projet, 35 collaborateurs ont été recrutés avec le soutien de France Travail et de la mission locale. Ces nouveaux employés ont suivi une formation de 10 semaines dans les magasins Carrefour Matoury et Carrefour Contact Remire Montjoly, durant laquelle ils ont été logés à Cayenne.

    Le nouveau supermarché de Saint-Laurent du Maroni se distingue par ses services innovants, incluant une boucherie traditionnelle, ainsi que des stands de fromage et de charcuterie. Soucieux de respecter l’identité culturelle de l’Ouest guyanais, la direction de Carrefour Guyane a collaboré avec l’architecte d’intérieur Béatrice Oréal et l’association Chercheur d’Art. Ce partenariat vise à intégrer le magasin dans le paysage socio-culturel local dès le premier contact visuel.

    La décoration du magasin a mobilisé plusieurs artistes, supervisés par Chercheur d’Art et la Fondation Clément. Le magasin présente des œuvres d’art telles que des tableaux, un plat à vannée de grande taille, des pagaies authentiques, et des paniers spécialement réalisés, intégrant également la brique de terre rouge dans sa construction. La construction du magasin, qui a duré 10 mois, a fait appel à une vingtaine de fournisseurs et artisans locaux. En plus de ce nouveau supermarché, GBH est déjà présent à Saint-Laurent du Maroni avec la distillerie Saint-Maurice, qui vient d’inaugurer sa nouvelle boutique. 

    Damien Chaillot

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  • Vacances : comment offrir du répit aux aidants ?

    Vacances : comment offrir du répit aux aidants ?

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    Qui pour aider les aidants en période estivale ? Des initiatives existent pour permettre aux proches de personnes dépendantes de souffler un peu.


    Les besoins des personnes aidées ne prennent pas de vacances d’été. Être aidant est un travail à temps complet qui ne connaît pas les week-ends ou les jours fériés : difficile pour les proches de personnes dépendantes de s’absenter pour prendre du temps pour eux. 

    En Guyane, 22 000 personnes ont le statut d’aidant, selon l’association Ebène. Elle propose alors de leur venir en aide et de leur accorder une pause avec “Vakans Répi”. Le principe : des séjours de répit tous frais payés pour des couples aidant/aidé, pour couper avec le quotidien pendant 48 heures.

    Ce week-end, 15 aidants et 15 personnes dépendantes se retrouveront à Saint-Laurent-du-Maroni où les attendent diverses activités : prestation de danse bushinenge, aquagym, réflexologie plantaire, atelier d’argile, visite du camp de la Transportation, initiation au Tai-chi… 15 professionnels supplémentaires prendront le relais avec les aidés. 

    Prendre de la distance avec le quotidien marqué par la maladie ou le handicap

    Cette démarche s’inscrit dans le cadre du dispositif des “plateformes de répit du Jardin d’Ebène”, porté par l’association Ebène, soutenue par la Collectivité Territoriale de Guyane (CTG) et l’Agence Régionale de Santé (ARS). 

    Le premier séjour a démarré en juillet 2023 et le projet, prévu sur 3 ans avec 9 séjours au total, se poursuit d’année en année. Le budget déboursé pour chaque séjour s’élève à 25 000 euros. 

    D’autres structures voient le jour pour répondre au besoin d’améliorer le mieux-être des personnes aidantes sur du long terme également. Respi-familles, une société relevant de l’économie sociale et solidaire, ouvre un “halte-répit” à Rémire-Montjoly.

    La proposition des deux initiatrices du projet Naomie Juillard, présidente d’Adapto-solution et Guylène Anglio, éducatrice spécialisée : accueillir tous les jours de 8 heures à 16 heures dix personnes âgées ou en situation de handicap sans solution. Les aidants auront la possibilité de rester sur place ou d’en profiter pour s’évader. 

    La mission c’est de sortir du quotidien des personnes aidées mais aussi de faciliter celui des aidants qui sont particulièrement éprouvés selon Naomie Juillard, porteuse du projet : Je suis confrontée à des personnes qui ont besoin d’aide pour leurs parents, pour leurs enfants. Plusieurs formules de prix sont disponibles.

     

    Les portes-ouvertes ont lieu durant tout l’été. Les inscriptions sont toujours ouvertes. 



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  • Gessica Généus nommée présidente du jury

    Gessica Généus nommée présidente du jury

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    L’équipe du FIFAC et ses partenaires annoncent qu’après Christiane Taubira en 2023, Gessica Généus, comédienne, chanteuse et réalisatrice haïtienne, sera la présidente du jury de la compétition officielle pour cette 6ème édition.

    Le festival aura lieu du 8 au 12 octobre 2024 à Saint-Laurent du Maroni, en Guyane. Son ambition est de renforcer les conditions d’expression d’une filière créative et métissée.

    Gessica Généus
    Réalisatrice, Chanteuse et Comédienne

    Gessica Généus débute sa carrière à dix-sept ans. En 2010, après le séisme, elle s’implique dans la reconstruction de son pays, et travaille pour les Nations Unies, puis obtient une bourse pour étudier à l’Acting International de Paris. Elle retourne ensuite en Haïti, et crée sa société de production, Ayizan Production, afin de développer ses propres réalisations.

    Entre 2014 et 2016, elle réalise Vizaj Nou, une série de courts portraits de grandes figures de la société haïtienne contemporaine. Son documentaire Douvan jou ka leve (Le jour se lèvera, 2017) remporte sept prix, dont le Grand Prix du festival FIFAC, en 2019. Le film continue de faire l’objet de nombreuses projections dans le monde entier.

    Freda, son premier long-métrage de fiction pour le cinéma, est en sélection officielle au festival de Cannes en 2021, dans la section Un Certain Regard. Il a remporté vingt-cinq prix dans les festivals internationaux.

    Gessica Généus prépare actuellement son nouveau long-métrage, Marie-Madeleine, qui a remporté le prix du CNC de la 46ème résidence du festival de Cannes en mai dernier. Le début du tournage est prévu en Haïti, à Jacmel, au printemps 2025.

    Gessica Généus sera entourée de quatre jurés aux parcours complémentaires et précieux. De la Guyane à la France en passant par la Guadeloupe…

    Marc Barrat
    Réalisateur – Guyane

    Marc Barrat accompagne depuis plus de vingt ans la production cinématographique et audiovisuelle sur son territoire. Il a à son actif – entre autres – plusieurs courts-métrages, le long-métrage Orpailleur et quatre téléfilms de la série Meurtres à pour France 3. Ces fictions tournées en Guyane et sur l’archipel guadeloupéen en font un spécialiste des tournages en territoire ultra-marin.

    Il aborde le documentaire avec sa société de production Kanopé Films. Cette dernière est coproductrice de la série primée au FIFAC, Guyane Underground, avec 13 Prods, mais aussi, tout récemment, avec Real Prod, de Sas est passé de Chloé Bebronne, dont il développe actuellement le prochain film, Entre 2 rives. Marc Barrat participe par ailleurs activement à la structuration de la filière audiovisuelle guyanaise en tant que président puis trésorier de l’association de professionnels G-Cam (Cayenne).

    Wally Fall
    Réalisateur – Guadeloupe

    Wally Fall a grandi en Martinique. Ses premiers films questionnent nos rapports à l’identité, la mémoire collective et l’appartenance, depuis la Caraïbe. Il est un des fondateurs du collectif Cinémawon, qui œuvre, depuis 2016, à donner plus de visibilité à des films issus d’Afrique et des diasporas afro-descendantes du monde et des Amériques en particulier, et ainsi à maintenir tous ces espaces en constante conversation. Wally Fall vit en Guadeloupe et partage son temps entre des projets de création et des collaborations liées à Cinémawon. Son film Mantjé tonbé sé viv (Danser la chute), était en compétition officielle au FIFAC en 2023.

    Amandine Picault
    Directrice déléguée des documentaires découverte et science à France Télévisions

    En 2002, Amandine Picault entame sa carrière au service des Achats et des Coproductions Internationales de documentaires à France 5. En 2011, elle développe plusieurs projets avec de grandes chaînes internationales et des producteurs indépendants étrangers pour France 5, France 4 et France Ô. En 2019, Amandine Picault intègre le pôle Découverte et Science et développe des documentaires pour toutes les antennes du groupe et notamment Science Grand Format. Depuis janvier 2024, elle est la directrice déléguée au pôle Découverte et Science de France Télévisions.

    Luc de Saint-Sernin
    Auteur, Réalisateur, Directeur de télévisions régionales

         
    Pendant quinze ans, Luc de Saint-Sernin a été le directeur d’antenne des neuf télévisions ultra-marines de France Télévisions. Il les a organisées en réseau et, en 2010, à l’occasion du déploiement de la TNT en Outre-mer, il a créé une nouvelle marque pour ces chaînes, Les 1ères, et a mis en place une banque de programmes destinée à les alimenter en contenus, qu’ils soient internationaux ou de proximité.

    Au sein de ces antennes, il a créé la case documentaire Archipels, qui a produit plus de 650 documentaires de 52 minutes, tous dédiés à l’Outre-mer. Il a été en 2019 l’un des cofondateurs du FIFAC.

    En parallèle, Luc de Saint-Sernin est réalisateur d’une dizaine de documentaires diffusés en réseau, sur France 3 et sur France 5. Deux d’entre eux ont été primés au Festival de Montréal : Montserrat, Unsafe zone (Prix spécial du jury) et La trace de l’esclavage (Grand prix).

    Il est également l’auteur des collections documentaires Rythmes Caraïbes et Avoir 20 ans dans les Caraïbes. Enfin Luc de Saint-Sernin a écrit et réalisé Le premier Jour, un court-métrage plusieurs fois primé (22’) avec Bernard Le Coq, Jocelyn Quivrin et Philippe Lavil.

    Le samedi 12 octobre, après cinq jours de festival, se tiendra la soirée de clôture, au Camp de la Transportation à Saint-Laurent du Maroni.

    Une soirée durant laquelle le jury aura la responsabilité de décerner trois prix :

    > Le Grand prix FIFAC – France Télévisions, meilleur film documentaire (long-métrage) ;
    > Le Prix spécial du Jury (long-métrage) ;
    > Le Prix du meilleur court-métrage documentaire.



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  • La brigade fluviale de Gendarmerie en action ! – Mo News

    La brigade fluviale de Gendarmerie en action ! – Mo News

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    C’est l’une des nouvelles brigades en Guyane, inauguré à Saint-Laurent-Du-Maroni lors de la visite de Marie Guévenoux (ministre déléguée chargée des Outre-mer) en mars dernier. Lors d’un contrôle le 28 juin dernier, les militaires ont retrouvé du matériel volé dans une embarcation. 

     

    Dans la journée du 28 juin dernier, la Brigade Fluviale de la Gendarmerie (BFG) a procédé à un contrôle d’une pirogue, tractant une seconde embarcation. À bord de cette dernière, quatre individus. Le conducteur a accéléré pour échapper au contrôle des gendarmes, et les passagers ont accosté sur la rive pour prendre la fuite.

    Les gendarmes ont procédés à la fouille des deux embarcations, découvrant du matériel électroportatif et électroménager. Après identification, il s’avère que ces équipements proviennent d’un cambriolage survenu le jour même à Saint-Laurent-Du-Maroni.

    Une enquête a été ouverte pour identifier les auteurs.

     


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  • Abrogation controversée : Franck Thomas écarté par le maire Sophie Charles perd sa délégation

    Abrogation controversée : Franck Thomas écarté par le maire Sophie Charles perd sa délégation

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    Franck Thomas, 11ᵉ adjoint au maire de Saint-Laurent du Maroni, a vu sa délégation abrogée par un arrêté municipal signé le 2 juillet 2024. Initialement chargé des transports, il se retrouve destitué de ses responsabilités dans un contexte particulier aux plans administratifs et politiques.


    Franck Thomas, 11ᵉ adjoint au maire de Saint-Laurent du Maroni, exprime ses préoccupations concernant l’abrogation de sa délégation de fonctions.


    Au cours d’un entretien qu’il nous a accordé, Franck Thomas a exprimé ses préoccupations concernant les incohérences dans l’arrêté.

    J’ai reçu un arrêté signé par Sophie Charles mentionnant l’abrogation de mes fonctions, mais il y a des éléments bizarres. Je suis délégué aux transports, pas à la jeunesse et à la cohésion sociale.

     Selon Franck Thomas, les raisons spécifiques de cette abrogation restent floues et le document officiel présente des incohérences notables. Cette délégation appartenait à Ferdinand Boirond, déjà démis de ses fonctions précédemment. Cette erreur administrative suscite des interrogations sur les véritables motivations qui sous-entendent cette décision.


    L’arrêté municipal abrogeant la délégation de fonctions de Franck Thomas, XIᵉ adjoint au maire de Saint-Laurent du Maroni, avec mention d’incohérences dans les délégations attribuées.


    Franck Thomas affirme que cette abrogation pourrait être une manœuvre punitive de Sophie Charles après sa défaite aux élections législatives de 2024. 

    Ce n’est qu’après le premier tour des législatives que je reçois cet arrêté. Elle semble punir ceux qui ne l’ont pas soutenue.

     Il précise également ses relations avec l’ancien maire Léon Bertrand : 

    Je rappelle que j’ai toujours entretenu des relations étroites avec l’ancien maire Léon Bertrand à qui je n’hésite pas à demander des conseils pour certains projets communaux afin de bien les concevoir. Ce même Léon Bertrand a d’ailleurs été contacté à plusieurs reprises par la candidate Sophie Charles lors des législatives 2024, et je préfère me taire sur les propositions à celui-ci pour uniquement un soutien de sa part…

    En dépit de cette décision, Franck Thomas reste déterminé à poursuivre son travail pour la commune de Saint-Laurent du Maroni. « Nous avons réussi à obtenir une convention avec la CTG qui permettra le lancement de trois lignes de transport urbain d’ici 2025. » Il souligne l’importance de ce projet pour améliorer la mobilité des habitants de la commune.


    L’entrée de la gare routière de Saint-Laurent du Maroni


    Franck Thomas a exprimé son opposition à un projet de la mairie portant sur la transformation de la gare routière, un projet soutenu par Sophie Charles. « C’est la seule infrastructure que nous avons. Je me suis opposé à sa vente et ai demandé la suspension du projet. Lorsqu’il s’agit de projets qui vont en direction de la population, je dis oui, mais je m’oppose à ceux qui vont à l’encontre de ses intérêts. »


    La gare routière de Saint-Laurent du Maroni


     Cette situation soulève de nombreuses interrogations sur les motivations de cette destitution et sur les erreurs administratives relevées par Franck Thomas dans l’arrêté. Nous avons sollicité le service de la communication de la mairie pour une réaction, mais n’avons pas encore reçu de réponse favorable. La clarification des autorités compétentes est pourtant nécessaire au regard des interrogations qui animent les discussions dans la commune. 

    Franck Thomas très remonté réaffirme son engagement envers la commune et ses habitants. « Je continuerai à œuvrer pour des projets positifs et dans l’intérêt de la population de Saint-Laurent. Lorsque des projets vont dans le bon sens, je les soutiens, mais je m’opposerai toujours à ceux qui ne servent pas notre communauté. » 

    Une situation politique devenue complexe à Saint-Laurent du Maroni du fait d’une majorité visiblement moins compacte qu’à l’origine. 

     En attendant des clarifications, la situation reste tendue et suscite de vives discussions au sein du Conseil Municipal et de la communauté de Saint-Laurent du Maroni. La question de la légitimité de l’arrêté municipal et les implications politiques de cette décision continueront de faire l’objet de débats intenses dans les semaines à venir.



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