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  • PORTRAIT. Législatives 2024 : Sébastien Caugant, candidat Lutte Ouvrière « pour le camp des travailleurs » dans la seconde circonscription de Guyane

    PORTRAIT. Législatives 2024 : Sébastien Caugant, candidat Lutte Ouvrière « pour le camp des travailleurs » dans la seconde circonscription de Guyane

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    Tous les jours jusqu’au 27 juin, la rédaction s’intéresse au parcours d’un candidat aux élections législatives de Guyane. Dans ce portrait, il sera question de Sébastien Caugant, du parti Lutte Ouvrière. Cet enseignant de collège est candidat dans la seconde circonscription. Il veut représenter « le camp des travailleurs ».

    Enseignant d’histoire et géographie dans un collège de Kourou, Sébastien Caugant est l’un des cinq candidats à la députation dans la seconde circonscription de Guyane. Il a milité pendant près de 15 ans (de 2000 à 2014) en région parisienne avant d’être mutée à Mayotte, puis en Guyane en 2018. Il a d’abord exercé à Saint-Laurent du Maroni, puis à Kourou.

    Bien qu’il ait fait une pause politique, il a adhéré à différents syndicats enseignants (CGT Educ’action Mayotte ou encore STEG UTG).

    J’ai repris le militantisme parce qu’il y a urgence. On ne peut pas rester les bras croisés. J’ai décidé de me présenter devant l’urgence de la situation : la montée des tensions qu’il y a dans le monde, puis la misère qui m’est insupportable. J’ai envie de porter les idées communistes révolutionnaires pour changer la société.

    Sébastien CAUGANT, candidat dans le seconde circonscription en Guyane

    Via cette campagne, et s’il est élu député de Guyane, Sébastion Caugant souhaite tout d’abord défendre les travailleurs. Il évoque le pouvoir d’achat et la réforme des retraites. « Aujourd’hui, la priorité c’est que les gens puissent vivre dignement« , dit-il. Et d’ajouter : « le SMIC doit être à 2.000€ et pas moins« .

    On pense que ce sont les luttes qui changeront les choses et on se sert de ces élections pour présenter un programme de lutte. On espère que les travailleurs relèvent la tête et se mettent à défendre un programme pour leurs intérêts.

    « On doit aussi lutter contre cette propagande guerrière« , lance aussi le candidat en faisant référence à la guerre en Ukraine. Le représentant du parti Lutte Ouvrière souhaite la création « d’un vrai parti communiste internationaliste ». Enfin, il décrit sa candidature comme celle « du camp des travailleurs ».

    C’est notre acte de campagne et le fil conducteur de ma candidature. En votant pour nous, ils enverraient un message : les travailleurs veulent un programme de lutte, veulent relever la tête et défendre leurs intérêts. On veut du concret et lutter pour améliorer notre sort.

    Son suppléant, quant à lui, est Steeve Baccarard, « un camarade qui est employé de banque« , dit Sebastion Caugaut en précisant : « un travailleur, comme moi, qui a très vite répondu favorablement pour porter ma candidature pour lutte ouvrière. »



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  • Tour de l’autonomie de la CTG : six dates sur le haut Maroni du 17 au 21 juin

    Tour de l’autonomie de la CTG : six dates sur le haut Maroni du 17 au 21 juin

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    Le tour de l’autonomie organisé par la Collectivité Territoriale de Guyane se poursuit. Prochainement, la caravane se rendra dans l’ouest : à Maripasoula, Papaïchton et Grand Santi. L’occasion pour le grand public d’être informé sur les aides et dispositifs dont peuvent bénéficier les personnes âgées, celles en situation de handicap et les aidants familiaux.

    Du 17 au 21 juin, la caravane du tour de l’autonomie se rendra dans l’ouest. Lors de ce dispositif itinérant, les services de la Collectivité Territoriale de Guyane sillonnent le territoire. Ils se rendent auprès de la population pour informer les aidants familiaux, les personnes en situation de handicap et les personnes âgées sur les aides qui existent pour les accompagner.

    Via ce dispositif, la CTG entend notamment « réduire et diminuer le taux de renoncement aux droits personnes âgées et personnes handicapées » et « favoriser l’accès à l’information du grand public« . Pour ce faire, trois aides déployées par la collectivité seront présentées :

    • APA (aides humaines),
    • PCH (aides humaines, techniques),
    • Aide sociale (hébergement, aide-ménagère à domicile)

    Des aides auxquelles plus de 1.600 personnes ont pu bénéficier en 2023.


    Les dates du tour de l’autonomie sur le Haut Maroni




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  • Législatives : et si Sophie Charles était candidate ? – Mo News

    Législatives : et si Sophie Charles était candidate ? – Mo News

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    La rumeur qui courait depuis le début de la semaine pourrait trouver son épilogue dans les prochaines heures. La présidente de la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais (CCOG) et maire de Saint-Laurent du Maroni pourrait déclarer sa candidature dans la seconde circonscription.

    Sophie Charles, candidate aux élections législatives 2024 ? Ce qui n’était qu’un « bruit de couloir » au lendemain de l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale, semble devenir une réelle possibilité voire une réalité.

    En tous cas, au fil des vérifications menées par la rédaction de Mo News, les informations concordent même si dans le proche entourage du maire de Saint-Laurent du Maroni la consigne est bien passée :  » rien à déclarer ».

    Les quelques élus contactés par nos soins ne sont pas très loquaces sur la question, idem du côté de certains agents municipaux qui verraient pourtant d’un « bon œil » la candidature de Sophie Charles.

    « Elle a tout à fait le charisme nécessaire et c’est une femme rigoureuse qui sait  frapper aux bonnes portes pour atteindre ses objectifs. Cela nous ferait beaucoup de bien pour le développement de l’Ouest » nous déclare simplement un élu souhaitant garder l’anonymat.

    Il est vrai qu’à travers son expérience, la présidente de la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais (CCOG) a démontré une certaine « régularité » qui pourrait jouer en sa faveur.

    Une autre source s’avance même  » avec le soutien probable du maire de Kourou, François Ringuet elle aurait toutes ses chances ».

    La principale intéressée contactée par nos soins, n’a pas répondu à nos appels mais le suspens devrait vite être levé avec la fin des déclarations de candidatures programmée ce dimanche à 18 heures.

    Sur la deuxième circonscription pour l’heure, seule la candidature de Jean-Philippe Dolor est officielle tandis que le sortant Davy Rimane qui se fait discret devrait se porter candidat dans les prochaines heures.


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  • Guyane : La toute première boutique au sein de la rhumerie Saint-Maurice à Saint-Laurent a été inaugurée

    Guyane : La toute première boutique au sein de la rhumerie Saint-Maurice à Saint-Laurent a été inaugurée

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    Pour Ludovic Jacob, directeur des rhums Saint-Maurice et Grégoire Gueden, directeur du pôle rhum de l’entreprise GBH, cette nouvelle boutique a pour vocation de faire développer le tourisme à Saint-Laurent grâce à des dégustations de rhums locaux. « On voulait avoir une attractivité touristique supplémentaire à Saint-Laurent du Maroni, accueillir des clients et recevoir des visiteurs à la Rhumerie. La priorité de cet espace est de faire découvrir le rhum local, mettre en avant l’excellence de la production guyanaise, des cannes à sucre cultivées à Saint-Laurent du Maroni et la distillation faite sur place au sein de la Rhumerie. Nous voulions ouvrir le site où les visiteurs et locaux pourraient mieux se familiariser, comprendre le produit, la fabrication. Il était important de nous ouvrir vers nos publics et de leur permettre de toucher du doigt la production et le découvrir in situ. »

    Les visiteurs pourront bien visiter la rhumerie Saint-Maurice pour découvrir l’histoire du rhum en Guyane, assure Grégoire Guéden, directeur du pôle rhum de l’entreprise GBH. « Nous prévoyons d’ouvrir la distillerie à des circuits de visite et proposer des visites guidées. L’espace de dégustation et la boutique se trouvent au cœur même de la distillerie, cela permet aux visiteurs de découvrir ce nouvel espace de pouvoir d’apercevoir la distillerie, en attendant des circuits de visite plus structurés. »

    Pour rappel, l’année dernière, c’est le groupe Bernard Hayot, qui détient notamment les rhums martiniquais JM et Clément, qui a repris l’unique industrie du rhum en Guyane.

    Par Radio Péyi

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  • L’EPFA Guyane lance trois nouvelles ZAC pour maintenir la trajectoire…

    L’EPFA Guyane lance trois nouvelles ZAC pour maintenir la trajectoire…

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    L’Établissement public foncier et d’aménagement de Guyane a annoncé, le 3 juin 2024, le lancement en 2024 de trois nouvelles zones d’aménagement à Cayenne, Macouria et Saint-Laurent-du-Maroni, sur lesquelles sont programmés quelque 3 000 logements dans le cadre de l’opération d’intérêt national. À compter de 2025, de nouveaux projets d’aménagement permettront à l’Epfag de diversifier son offre, en expérimentant notamment le logement évolutif social en bail réel solidaire.

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  • Serge Abatucci, comédien et metteur en scène : « Il faut ouvrir les frontières à l’intérieur de nous-mêmes »

    Serge Abatucci, comédien et metteur en scène : « Il faut ouvrir les frontières à l’intérieur de nous-mêmes »

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    Dans « Moi Kadhafi », une pièce écrite par Véronique Kanor et mise en scène par Alain Timar, Serge Abatucci est Paul un comédien antillais qui accepte de jouer au théâtre le rôle du dirigeant libyen. Dans ce spectacle il explique pourquoi il a accepté ce rôle. Après une série de représentations à Paris, la pièce sera présentée au festival d’Avignon cet été.

    « Pour moi Paul c’est Serge Abatucci parce que c’est un vrai parcours spirituel. Les gens me disent qu’ils ne voient pas Kadhafi, qu’ils ne voient que mon humanité. Bien sûr parce que c’est par mes émotions que je voyage de Trénelle à Fort-De-France au rond-point de Suzini à Saint-Laurent du Maroni », ce rôle est pour Paul l’occasion inespérée d’entamer un voyage labyrinthique dans une transformation intérieure car il est en colère, il est né en colère « sur des territoires ultramarins, y compris dans l’Hexagone et dans le monde ». Or Paul c’est Serge Abatucci, comédien et metteur en scène qui a choisi de vivre en Guyane. 

    « À Saint-Laurent du Maroni il y a une population plurielle, des cultures plurielles : les Lokono chez qui je vis à Balaté, les Saramakas, les Bushinengués, les Djukas, les Aloukous. Nous travaillons avec toutes ces cultures », Serge est cofondateur avec Ewelyne Guillaume du théâtre école Kokolampoe qui donne des représentations, reçoit en résidence des artistes et forme des comédiens, des danseurs issus de ces populations qui ne sont pas allés à l’école de la République mais à celle de leurs cultures. Serge vit là-bas parce que pour lui « Nous sommes tous cousins, est-ce que je suis Guyanais ? C’est un faux problème, c’est là où sont plantées mes racines ». 

    « On oublie notre histoire, il faut la chercher en nous, elle est dans nos racines », sur le plateau des Guyanes qui l’accueille Serge se souvient de la visite d’Edouard Glissant et de ses mots : « Mes enfants vous m’avez donné le choc esthétique parce que toute ma poésie est inspirée de ça et vous la rendez vivante ».  



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  • Grand prix cycliste de l’Ouest guyanais 2024 : le Guyanais Vivian Van-Els remporte la deuxième étape

    Grand prix cycliste de l’Ouest guyanais 2024 : le Guyanais Vivian Van-Els remporte la deuxième étape

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    La deuxième édition du grand prix cycliste de l’Ouest a commencé ce samedi 8 juin. Organisée par le Comité régional de cyclisme de Guyane en partenariat avec la CCOG, (Communauté de communes de l’Ouest guyanais) cette course internationale de 3 étapes réunis 80 coureurs des équipes de la Guyane, de la Guadeloupe, du Suriname et du Guyana.

    La 1ère étape, a eu le lieu ce samedi 8 juin. Elle a conduit les coureurs sur 144 kilomètres entre Paramaribo et Albina. Dans l’après-midi, à 15h, les compétiteurs se sont affrontés lors d’un contre-la-montre individuel de 15 kilomètres. Sept coureurs sont arrivés en tête du peloton avec des temps très serrés, enregistrant 3h07m16s et 3h07m17s.

    Résultats de la première étape

    • John BRITON de la Team Guyana a décroché la victoire du premier tour, franchissant la ligne à 3h07m16s
    • Mickaël STANISLAS, le champion en titre de la Martinique a terminé deuxième juste derrière Briton
    • Edwin NUBUL le coureur martiniquais du Vélo club du Francois arrive en troisième positon
    • Teddy OCTAVIA, premier Guyanais du classement, s’est positionné en quatrième place.

    Ce matin, dimanche 9 juin, les coureurs ont pris le départ de la deuxième étape, un parcours intense de 155 kilomètres reliant le bourg de Javouhey au bourg de Mana, après un passage par Saut Sabbat, un tronçon très redouté.

    La victoire est revenue au Guyanais Vivian Van-Els du Vélo club de Sinnamary, devant Louis Felipe Dias Cunha du Vélo club de Kourou et Mario Jandia de l’USLM Orange. Ils ont tous les trois réalisé un temps de 4h01m15s.

    Le contre-la-montre individuel de 12 km entre Mana et Awala Yalimapo a été remporté par Dey Cortis de la Team Guyana avec un temps de 17m23.97s.

    Le grand prix de l’Ouest se terminera lundi 10 juin, avec un départ à 8h pour un parcours de 116 kilomètres entre Saint-Laurent du Maroni et Apatou aller-retour.



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  • JO Paris 2024 : où et à quelle heure voir la flamme en Guyane et à Cayenne, le parcours du 9 juin

    JO Paris 2024 : où et à quelle heure voir la flamme en Guyane et à Cayenne, le parcours du 9 juin

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    C’est parti pour le relais des océans. Le 7 juin en partance de Brest, le Maxi Banque Populaire XI, mené par le skipper Armel Le Cléac’h a pris la direction des Antilles pour arriver le 15 juin à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe. En parallèle, grâce aux lanternes, le relais de la flamme olympique, après un jour de repos, reprendra sa traversée des territoires, avec ce dimanche 9 juin, le premier département ultramarin, la Guyane.

    Avec 103 porteurs prévus sur cette 28e étape, le relais de la flamme olympique commencera dès 6h30 au départ d’un carbet traditionnel. La flamme sera ensuite transportée en pirogue sur la rivière Camopi lors d’une cérémonie amérindienne pour atteindre le fleuve Oyapock, à la frontière avec le Brésil à 7h05.

    Dix minutes plus tard, on se retrouvera à Saint-Laurent-du-Maroni pour une célébration tout aussi émouvante au camp de la Transportation, un bagne du XVIIIe siècle à 8h20. L’occasion pour le Relais d’intégrer des festivités liées aux commémorations de l’abolition de l’esclavage qui auront lieu le 10 juin.

    Le Centre spatial, étape à ne pas manquer

    Après l’eau et la terre, la flamme va prendre de la hauteur à Kourou Centre Spatial de Guyanais à 11h10. Vingt minutes de bonheur où la flamme éclairera la maquette de la fusée Ariane V avant de longer l’allée des drapeaux européens.

    Retour ensuite à la frontière brésilienne, avec un passage remarqué à 12h15 à Saint-Georges de l’Oyapock pour une durée de trente minutes. La flamme repartira en direction de Kourou Centre à 13 heures. De la Place des fêtes, les relayeurs déambuleront dans les rues du bourg jusqu’à la plage de la cocoteraie à 13h55.

    À 15h05 précise, c’est Tonate Macouria qui sera en ébullition pendant quarante minutes. Matoury sera mis à l’honneur à 16 heures avec une arrivée à la Maison des arts martiaux Lucie-Décosse, quarante minutes plus tard.

    Il sera temps de se consacrer au relais collectif qui mettra en avant le judo emmené par le capitaine François Pina à la Collectivité Territoriale de Guyane à Rémiré-Montjoly entre 16h55 et 17h20.

    Le chaudron olympique allumé à Cayenne

    L’unique étape en Amérique du Sud se terminera avec un 9e fragment à Cayenne pour l’allumage du chaudron. La capitale française de l’Amazonie sera mise en lumière à partir de 18 heures par l’IFAS, l’Institut de formation et d’accès au sport, puis par l’Université.

    Au cœur de la ville, les porteurs évolueront dans le jardin botanique, un lieu qui existe depuis 1879. Le monument des Chaînes brisées, impressionnant symbole de la libération des esclaves brillera au passage de la flamme olympique. Tout comme la colline du Fort Cépérou, qui a été érigé lors de l’arrivée des Français au XVIIe siècle. L’allumage de la flamme aura lieu à 19h20 sur la gigantesque place des Palmistes, qui court sur trois hectares. Un endroit idéal pour terminer cette journée guyanaise en fanfare.

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  • Jeux olympiques 2024 : la flamme olympique commence son parcours ultramarin en Guyane – LINFO.re

    Jeux olympiques 2024 : la flamme olympique commence son parcours ultramarin en Guyane – LINFO.re

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    Dimanche 9 juin, la flamme olympique a fait son entrée en Guyane, marquant le début de son trajet à travers les territoires ultramarins. Elle a visité notamment Camopi, à la frontière avec le Brésil, ainsi que Saint-Laurent-du-Maroni, Kourou et Cayenne.

    120

    Dimanche, la flamme olympique a entamé son parcours à travers les territoires d’outre-mer en Guyane, en marge du « relais des océans ». Ce périple la conduira ensuite à La Réunion, en Polynésie française, en Guadeloupe et en Martinique. Son voyage ultramarin a débuté à Camopi, près de la frontière brésilienne, avec une cérémonie amérindienne, rapportent les médias nationaux comme Le Figaro. Elle a poursuivi son parcours à Saint-Laurent-du-Maroni, où des célébrations ont eu lieu pour commémorer l’abolition de l’esclavage, avant de se diriger vers Kourou, où elle a défilé devant la réplique de la fusée Ariane 5. En tout, 120 porteurs se sont relayés pour acheminer la flamme à travers la Guyane.

    > À lire aussi : Guyane : saisie record de cocaïne au port de commerce de Dégrad des Cannes

    Le cas de la Nouvelle-Calédonie

    Après avoir traversé l’Amazonie, la flamme olympique s’embrasera à La Réunion le 12 juin, en Polynésie le 13 juin, en Guadeloupe le 15 juin et enfin en Martinique le 17 juin. Le gouvernement a annulé son passage en Nouvelle-Calédonie, initialement prévu le 11 juin, à la fin du mois de mai. Cette décision a été prise dans le but de donner la priorité au rétablissement de la tranquillité dans l’archipel, qui est confronté à une crise politique et à des violences ayant entraîné la mort de huit personnes. Depuis son arrivée à Marseille à bord du Belém, environ 1,2 million de spectateurs ont assisté au parcours de la flamme, indique le ministère de l’Intérieur.

    > Toute l’actualité sportive sur LINFO.re



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  • 10 juin commémoration de l’abolition de l’esclavage en Guyane

    10 juin commémoration de l’abolition de l’esclavage en Guyane

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    Se souvenir et surtout ne jamais oublier. A l’occasion de la commémoration de l’abolition de l’esclavage en Guyane ce 10 juin de multiples manifestations vont se dérouler dans plusieurs communes.

    Ce lundi 10 juin, tous ceux qui veulent commémorer l’abolition de l’esclavage en Guyane pourront le faire en différents lieux du territoire.
    La capitale de l’ouest guyanais Saint-Laurent-du-Maroni organise une grande retraite aux Flambeaux à 18h30 dans les rues de la ville les associations ASC2G, IJAKATA ET ATI LOBI. Le départ se fera à la direction de l’éducation et de la réussite scolaire, en direction du camp de la Transportation. À 20h00, dans les locaux du CIAP sera présentée la pièce de théâtre de Nitza Cavali « Le testament du Kaptif ».

    À Rémire-Montjoly, un dépôt de gerbes se tiendra dès 8h00 devant la statue des Marrons de la Liberté au giratoire Adélaïde Tablon. Puis, à la Maison des Cultures et des Mémoires de Guyane, les registres nominatifs d’esclaves pourront être consultés toute la journée, ainsi que l’exposition « C’est notre histoire ».

    Entre 16h00 et 19h00, toujours à Rémire Montjoly au site Fort Diamant, une performance déambulatoire intitulée « Nègres en vente » sera présentée par Guy Régis Junier, Hélène Lacroix et le Thèâtre de Macouria. Ce spectacle est gratuit et accessible à tous.

    Enfin, à Cayenne, une marche aux flambeaux débutera à 18h00 devant les locaux de l’association des Eclaireurs et Eclaireuses de Guyane, à l’avenue François Ronjon.

    En fin de parcours, sur la place du Coq, une veillée culturelle et un dépôt de gerbes auront lieu. La commémoration prendra alors un aspect davantage festif avec un plateau artistique composé de l’auteur interprète Lova Jah ou encore le groupe Tchô Pagra animera la place.

    C’est Victor Schoelcher alors Secrétaire d’Etat en charge des colonies qui a fait paraître le décret de l’abolition de l’esclavage le 27 avril 1848 dans les colonies et possessions françaises. André Aimé Pariset, le Commissaire général de la République en Guyane de l’époque, a proclamé le 10 juin 1848 la fin de l’esclavage en Guyane française : « Citoyens, en vertu du décret de la République du 27 avril 1848, au nom du peuple français, nous proclamons l’abolition de l’esclavage à la Guyane française ».

    Retrouvez ICI l’article [1848-2023] Abolition de l’esclavage : 175 après, « la mémoire vive en héritage »

        



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