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  • Saint-Laurent : l’opération ATIPA frappe fort aux frontières – Mo News

    Saint-Laurent : l’opération ATIPA frappe fort aux frontières – Mo News

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    Cette opération a permis de contrôler 298 pirogues et 1 812 personnes.

    Du 18 au 24 novembre à Saint-Laurent du Maroni, l’opération ATIPA, coordonnée par la police aux frontières avec l’appui de la gendarmerie nationale, des douanes, de la police militaire surinamaise et de la police municipale de la commune, a mobilisé 165 agents.

    L’objectif était de renforcer les contrôles migratoires et de lutter contre les trafics transfrontaliers.

    Un bilan significatif

    Pendant cette semaine, 298 pirogues et 1 812 personnes ont été contrôlées. Parmi elles, 1 326 personnes ont été refoulées et 25 refus d’admission prononcés. Les forces de l’ordre ont également interpellé six individus recherchés et quatre étrangers en situation irrégulière.

    Côté saisies, l’opération a permis de confisquer 100 litres de carburant, 400 kg de denrées alimentaires, et divers produits, tels que 600 œufs ou encore 26 kg de spirales anti-moustiques.

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  • une exposition exceptionnelle au collège éponyme

    une exposition exceptionnelle au collège éponyme

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    Depuis la semaine dernière, le collège Albert Londres de Saint-Laurent-du-Maroni accueille une exposition inédite consacrée à la vie et à l’œuvre du célèbre journaliste. Présentée initialement à l’équipe pédagogique le 22 novembre, cette exposition est ouverte aux élèves de l’établissement depuis le début de la semaine.


    “Dans l’œil d’Albert Londres” : un des panneaux introductifs de l’exposition, plongeant les visiteurs dans son univers journalistique.


    Composée de 18 panneaux illustrant les moments marquants de la vie d’Albert Londres, l’exposition met en lumière des documents historiques authentiques. Ces supports, prêtés par l’association Agamis, permettent de découvrir le rôle crucial joué par le journaliste dans la fermeture du bagne de Guyane.


    Le collège Albert-Londres, deuxième collège de Saint-Laurent-du-Maroni et l’un des plus anciens de la ville, perpétue l’héritage du célèbre journaliste à travers cette exposition inédite.


    Pour Marc-Philippe Mongis, principal du collège, cette initiative a avant tout un objectif pédagogique :


    Marc-Philippe Mongis, principal du collège Albert Londres, pose devant l’un des panneaux de l’exposition dédiée au célèbre journaliste.


    Elle permet à nos élèves de mieux comprendre qui était Albert Londres et de mesurer l’impact de ses écrits

    Grâce à cette démarche, les élèves auront l’opportunité d’approfondir leur connaissance de cet homme dont le nom donne son identité à l’établissement.


    Une scène historique illustrée : des travailleurs sur un chariot de rail, un cliché authentique exposé dans l’exposition.


    Provenant des Îles du Salut, où elle était précédemment présentée, cette exposition représente une chance unique pour Saint-Laurent-du-Maroni, comme l’a souligné Marc-Philippe Mongis : “C’est la première fois qu’elle est proposée dans notre ville, et elle constitue une opportunité précieuse pour nos élèves et enseignants”.


    Une illustration saisissante de la vie fluviale au cœur de l’histoire guyanaise.


    Accessible jusqu’à la veille des vacances de Noël, l’exposition ambitionne d’éveiller la curiosité des élèves sur les grandes figures historiques tout en valorisant le patrimoine culturel. Elle s’inscrit pleinement dans une démarche éducative visant à relier passé et présent.


    Membres de l’équipe pédagogique et invités rassemblés devant les panneaux de l’exposition.




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  • septième jour de grève à la mairie, les échanges s’amorcent

    septième jour de grève à la mairie, les échanges s’amorcent

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    Au septième jour de la grève à Saint-Laurent-du-Maroni, la mobilisation se poursuit avec détermination. Après un courrier adressé par les grévistes à la mairie lundi 25 novembre, la maire Sophie Charles a réagi mardi après-midi, ouvrant la voie à une éventuelle reprise des discussions.


    Vue d’ensemble de la mobilisation : la mairie de Saint-Laurent-du-Maroni, cœur de la contestation.


    Un courrier envoyé lundi soir à 20h. le 25 novembre par le syndicat UTG, resté sans réponse toute la matinée de ce mardi 26 novembre, a ravivé l’impatience des grévistes mobilisés devant les bâtiments municipaux depuis le début du conflit. La lettre appelait enfin à l’ouverture urgente de négociations pour trouver une issue à ce conflit social entamé le 20 novembre.

    Fabien Alaïs, secrétaire général de la section locale UTG, n’a pas caché sa frustration en début de journée :

    Le visage de la détermination : Fabien Alaïs, leader de la mobilisation en cours à Saint-Laurent-du-Maroni.

    La grève se poursuit avec détermination, affectant plusieurs services municipaux et ralentissant certaines activités publiques. Le service technique, quelques structures sportives, et les écoles bien qu’ouvertes, subissent des impacts liés au manque de personnel municipal à leur poste. Cependant, aucun blocage n’a été officiellement constaté.

    Les grévistes restent fermes dans leurs revendications, tout en appelant au dialogue pour éviter une escalade du conflit.

    Nous ne souhaitons pas que la situation s’aggrave, mais nous restons déterminés à obtenir des réponses claires

    a affirmé Fabien Alaïs.

    C’est finalement en milieu d’après-midi de ce mardi 26 novembre que Madame Sophie Charles a réagi par un courrier officiel. La maire y exprime sa volonté d’ouvrir des discussions avec les représentants syndicaux tout en rappelant les efforts déjà déployés par la municipalité pour améliorer les conditions de travail des agents.

    Dans cette lettre, elle écrit :


    Sophie Charles Maire de la ville de Saint-Laurent-Du-Maroni, condamne la violence et appelle à des mesures immédiates


    La mairie est prête à engager un dialogue sur les revendications exprimées, dans le cadre des capacités budgétaires de la collectivité et en respectant les dispositions réglementaires.

    Elle invite les représentants syndicaux à une rencontre dans les prochains jours, marquant ainsi une première ouverture vers une sortie de crise.


    La rue devant la mairie transformée en point de ralliement pour les grévistes.


    Pour le syndicat UTG, les revendications restent inchangées :

    • La mise en œuvre de l’Indemnité de Fonctions, de Suggestions et d’Expertise (IFSE) ;
    • Les avancements de grades ;
    • Le respect des protocoles d’accords ;
    • Une meilleure gestion des carrières et des risques psychosociaux.

    Le syndicat a accueilli la réponse de la mairie avec prudence et étudie actuellement les propositions faites par la collectivité. Un consensus est attendu pour permettre une ouverture vers des premiers dialogues entre les deux parties.

    La journée du mardi 26 novembre marque une première étape vers une reprise du dialogue entre les grévistes et la municipalité.



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  • la mairie s’organise face à la crise

    la mairie s’organise face à la crise

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    La grève des employés municipaux de Saint-Laurent-du-Maroni, entamée le 20 novembre, continue de perturber les services publics. Ce lundi, plusieurs écoles et infrastructures sportives sont touchées, tandis que la mairie s’efforce de mettre en place un service minimum pour limiter les impacts.


    Les grévistes, installés au rez-de-chaussée de la mairie, y ont établi leur QG depuis le début du mouvement.


    Depuis le 20 novembre, une partie des employés municipaux de Saint-Laurent-du-Maroni est en grève, perturbant les services publics de la ville. Ce lundi 25 novembre, les écoles et infrastructures sportives sont particulièrement affectées, forçant la mairie à mettre en place des solutions pour limiter les désagréments.


    La mairie de Saint-Laurent-du-Maroni, point névralgique des revendications des employés municipaux en grève.


    Plusieurs établissements scolaires de Saint-Laurent-du-Maroni ont rencontré des difficultés ce lundi matin. À l’école Henri-Sabayo, certains enseignants, évoquant un manque de personnel pour garantir un cadre sûr, ont alerté les parents dont ces derniers sont repartis avec leurs enfants.


    La grève des employés municipaux complique le fonctionnement normal de l’école Solange-Hulic, notamment pour le nettoyage des sanitaires.


    Dans un autre établissement, une enseignante a confié que les toilettes n’avaient pas été nettoyées depuis vendredi dernier, suscitant des inquiétudes quant à l’hygiène. D’autres enseignants ont conseillé aux parents de garder leurs enfants, craignant que le manque de propreté rende l’accueil des élèves de maternelle impossible.


    L’école Joseph Saint-Symphorien illustre les perturbations causées par la grève, retardant l’accès des élèves à leurs salles de classe ce matin.


    Dans une école située à l’écart de la ville, les enseignants se sont interrogés sur les consignes à suivre pour gérer la situation en l’absence de personnel communal, soulignant un climat d’incertitude.

    Outre les écoles, certaines infrastructures sportives sont également concernées par la grève. Si le stade Orianne-Jean-François et la piscine restent ouverts, le gymnase Maximin-Noël et le stade René-Long sont fermés au public, impactant notamment les activités des clubs sportifs.


    Le gymnase Maximin Noël, fermé en raison de la mobilisation, figure parmi les infrastructures sportives touchées par la grève.


    Ce lundi matin, une réunion de plus de trois heures a réuni les cadres municipaux, des élus pour évaluer l’impact de la grève et organiser une réponse.

    David Jury, Directeur Général des Services (DGS) de la ville, a expliqué : « L’objectif est de garantir un service minimum pour les écoles et les infrastructures sportives, afin que les élèves et les clubs puissent reprendre leurs activités dans les meilleurs délais. »


    La grève des employés municipaux complique le fonctionnement normal de l’école Solange-Hulic, notamment pour le nettoyage des sanitaires.


    Un dispositif temporaire, incluant des agents volontaires et d’autres recrutés pour l’occasion, est en cours de déploiement.

    Nous espérons que les écoles maternelles pourront accueillir les élèves dans des conditions normales d’ici demain ou après-demain. Nous ajustons au jour le jour en fonction du nombre de grévistes

    précise David Jury.


    Malgré le contexte de la grève, les élèves continuent leurs activités dans des conditions adaptées par les enseignants et le personnel présent.


    Le dispositif mis en place pour pallier les effets de la grève représente un surcoût pour la commune. Néanmoins, la mairie insiste sur l’importance de garantir la continuité des services publics.


    Le DGS, David Jury, souligne les efforts déployés par la mairie pour garantir une continuité des services publics.


    Avec 11 000 élèves à Saint-Laurent-du-Maroni, tout le monde est impacté d’une manière ou d’une autre. Il est essentiel de minimiser les contraintes pour les familles

    souligne David Jury.

    Alors que la grève se poursuit, les efforts de la municipalité se concentrent sur la gestion des services les plus essentiels. Les écoles et infrastructures sportives restent au cœur des priorités, mais l’issue du conflit reste incertaine. La situation pourrait évoluer dans les jours à venir, selon les discussions entre la mairie et les grévistes.



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  • Guyane : Fin du pic de salinité à Saint-Laurent-du-Maroni, la situation se stabilise

    Guyane : Fin du pic de salinité à Saint-Laurent-du-Maroni, la situation se stabilise

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    Une eau à nouveau consommable et une situation assainie. Les dispositifs temporaires de distribution d’eau potable, installés pour pallier la contamination, seront démontés à compter du mercredi 20 novembre 2024.
    Les autorités recommandent toutefois aux patients souffrant d’insuffisance rénale avancée (stades 4 et 5) de continuer à éviter l’eau du robinet, en raison de sa salinité résiduelle. Pour ces personnes, la mairie maintient la distribution d’eau en bouteille dans les centres de dialyse.

    La situation pourrait évoluer début décembre, compte tenu du faible niveau de précipitations prévu. Les autorités suivent l’évolution de près et s’engagent à informer la population si de nouvelles mesures s’avéraient nécessaires.
    Pour toute information supplémentaire, les citoyens sont invités à contacter le service régional de communication interministérielle ou à consulter le site officiel de la préfecture de Guyane. 

     

    Damien CHAILLOT

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  • Comment expliquer la hausse du prix de « La Belle Cabresse », unique rhum de Guyane ?

    Comment expliquer la hausse du prix de « La Belle Cabresse », unique rhum de Guyane ?

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    En dix ans, le prix de la bouteille de « Belle Cabresse » a doublé. Comment expliqué cette flambée du prix de l’unique rhum de Guyane ? Quels sont les enjeux de la rhumerie Saint-Maurice à Saint-Laurent du Maroni ? Reportage.


    L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. Et vous l’avez peut-être remarqué, le prix de la bouteille locale de rhum a flambé ces dernières années. « La Belle Cabresse » se vend désormais 12,50 euros. Son prix a doublé en dix ans.

    Pour des clients de la nouvelle boutique de la distillerie Saint-Maurice, « ce n’est pas un problème ». « J’ai fait un peu le comparatif avec des bouteilles vendues en Guadeloupe, dont je suis originaire, et on est vraiment dans les cordes, assure un client de la distillerie, Patrice Niavet. Il peut y avoir une différence sur certaines bouteilles, mais 12,50 euros vendus en rhumerie c’est correct ».

    Regardez le reportage de Guyane La 1ère :

    « La Belle Cabresse » se vend désormais 12,50 euros.

    Selon ces clients, le prix est même justifié. Depuis sa naissance en 1981, « La Belle Cabresse » est restée la même, un rhum agricole. Une appellation que certains de ses concurrents, vendus en Guyane, ont perdue.

    « Le verre coûte plus cher, le bouchon coûte plus cher, le carton coûte plus cher, l’aluminium du cubi coûte plus cher, tout est plus cher et sans changer le produit », détaille, Raphaël, client lui aussi de la distillerie Saint-Maurice.

    L’ancien directeur, Ernest Prévot, s’est battu contre les rhums antillais lorsqu’ils se vendaient à prix dérisoires en Guyane. En 2015, la région a alors décidé de protéger la distillerie de Saint-Laurent en passant la taxe à l’importation à 20%. « Une bouffée d’air » pour l’entreprise familiale qui commence alors à augmenter ses tarifs.


    « La Belle Cabresse » se vend désormais 12,50 euros.


    En 2024, le prix n’est plus une barrière, constate Ernest Prévot, l’ancien patron devenu conseiller du groupe GBH. « Il y a eu un exemple de 485 bouteilles de rhum de 16 ans venus sur le marché et malgré le prix à 180 euros la bouteille, tout est parti en deux semaines, raconte-t-il. Le prix est une chose pour le consommateur, ce n’est pas à la portée de tout le monde, mais il y a aussi une fierté de dire « c’est le rhum de Guyane ! » ».

    Du côté de la production, les inondations de 2021 et 2022 ont mis à mal la saison 2023. La production a été divisée par trois et l’offre a été déséquilibrée.

    Le repreneur espère passer de 3500 tonnes de cannes travaillées en 2023, à 14 000 tonnes en 2025.


    « La Belle Cabresse » se vend désormais 12,50 euros.


    « L’avenir de la « Belle Cabresse » est déjà de répondre à la demande locale qui est très forte, remarque Ludovic Jacob, directeur de la rhumerie Saint-Maurice. C’est surtout d’exporter aussi cette marque et le savoir-faire du rhum guyanais à l’international ».

    Selon lui, il faut pour cela se faire remarquer et monter en gamme. Dans ces conditions, le prix aussi prend de la valeur.



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  • dialogue au point mort entre la mairie et les syndicats

    dialogue au point mort entre la mairie et les syndicats

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    Alors que la grève du personnel municipal de Saint-Laurent-du-Maroni entre dans son troisième jour, les tensions restent vives entre les représentants syndicaux de l’UTG et la municipalité. Chaque partie campe sur ses positions, et les revendications des agents restent en suspens.


    Thierry Léandre, représentant de la centrale UTG, prend la parole pour encourager et motiver les agents municipaux mobilisés devant l’hôtel de ville.


    Depuis trois jours, la mairie de Saint-Laurent-du-Maroni fait face à une mobilisation menée par l’Union des Travailleurs Guyanais (UTG), qui dénonce des inégalités dans l’attribution des primes et des salaires. Thierry Léandre, représentant de la centrale UTG, venu en soutien à la section locale, critique notamment la gestion des primes IFSE et CIA.


    Thierry Léandre, représentant de la centrale UTG


    Il existe une disparité flagrante entre les catégories C, qui perçoivent entre 80 et 178 euros, et les catégories A et B, où les montants grimpent à 800 ou 900 euros. Ces inégalités ne respectent pas les cadres réglementaires

    affirme Thierry Léandre. Il ajoute que la prime CIA de 4500 euros, attribuée à certains agents, serait illégale.

    Le secrétaire de la section UTG de la mairie, Fabien Alaïs, rejoint ces préoccupations :


    Fabien Alaïs, secrétaire général de la section UTG de la mairie de Saint-Laurent-du-Maroni


    Nous demandons simplement que les règles soient appliquées pour éviter ces disparités.

    Il pointe également des situations précaires parmi les agents, comme des retraites inférieures à 200 euros ou des contrats non renouvelés malgré des années de service.

    Manuel Jean-Baptiste, troisième adjoint au maire, exprime son incompréhension face à ce qu’il qualifie d’« énième grève ».


    Manuel Jean-Baptiste, 3e adjoint au maire de Saint-Laurent-du-Maroni, répond aux critiques formulées par le syndicat UTG sur la gestion des carrières et des primes.


    Nous avons déjà engagé de gros efforts pour régulariser les carrières. Depuis 2018, ce sont 50 titularisations, 34 promotions internes et la régularisation de la NBI pour un coût de 400 000 euros

    explique-t-il.

    L’élu met également en avant un projet de délibération sur le régime indemnitaire, transmis au syndicat le 14 novembre, qui n’a, selon lui, reçu aucun retour. « Nous restons ouverts au dialogue, mais nous attendons des revendications claires et formalisées », insiste-t-il.


    Les agents municipaux de Saint-Laurent-du-Maroni mobilisés devant la mairie, discutant des enjeux du mouvement de grève qui touche les services communaux.


    Sur les critiques concernant les primes, Manuel Jean-Baptiste précise : « L’IFSE est versée mensuellement, mais le CIA, lui, n’est pas une obligation. Il est attribué en fonction des évaluations professionnelles. »

    Pour les représentants syndicaux, le dialogue avec la municipalité manque de transparence. Thierry Léandre déplore que « les réunions organisées ne soient pas suivies de relevés de décision clairs », une affirmation que Manuel Jean-Baptiste réfute.

    J’ai personnellement vu des représentants syndicaux signer ces relevés dans le bureau du DGS. Nous ne pouvons pas avancer si nous n’avons pas de demandes précises

    répond l’élu.

    Fabien Alaïs, de son côté, insiste sur la nécessité d’un retour à la table des négociations : 


    Fabien Alaïs, secrétaire général de la section UTG de la mairie de Saint-Laurent-du-Maroni


    Nous avons proposé un tableau clair pour l’IFSE, mais nous n’avons toujours pas de réponse concrète.

    Selon la mairie, la grève n’affecte que 10 % du personnel, et un service minimum est assuré pour limiter les perturbations dans les écoles et les services municipaux. Cependant, certaines installations sportives ont dû fermer, entraînant l’annulation de matchs.

    Pour l’UTG, ces perturbations sont le prix à payer pour obtenir des avancées significatives.

    Nous sommes désolés des impacts sur la population, mais cette mobilisation est nécessaire pour que les agents soient enfin entendus

    souligne Fabien Alaïs.


    Les représentants de l’UTG Mairie de Cayenne, en soutien aux collègues mobilisés de Saint-Laurent-du-Maroni, échangent sur les prochaines étapes du mouvement.


    Alors que les deux parties campent sur leurs positions, le dialogue semble difficile à renouer. La mairie appelle à des revendications formalisées pour avancer, tandis que l’UTG exige des mesures concrètes pour répondre aux inégalités dénoncées. La situation reste tendue, et les négociations devront reprendre rapidement pour éviter un blocage prolongé.


    Une banderole revendiquant la mise en place de l’IFSE et des carrières gelées, affichée devant la mairie de Saint-Laurent-du-Maroni par les grévistes.




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  • Guyane : Fin du pic de salinité à Saint-Laurent-du-Maroni, la situation se stabilise

    Guyane : Fin du pic de salinité à Saint-Laurent-du-Maroni, la situation se stabilise

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    Une eau à nouveau consommable et une situation assainie. Les dispositifs temporaires de distribution d’eau potable, installés pour pallier la contamination, seront démontés à compter du mercredi 20 novembre 2024.
    Les autorités recommandent toutefois aux patients souffrant d’insuffisance rénale avancée (stades 4 et 5) de continuer à éviter l’eau du robinet, en raison de sa salinité résiduelle. Pour ces personnes, la mairie maintient la distribution d’eau en bouteille dans les centres de dialyse.

    La situation pourrait évoluer début décembre, compte tenu du faible niveau de précipitations prévu. Les autorités suivent l’évolution de près et s’engagent à informer la population si de nouvelles mesures s’avéraient nécessaires.
    Pour toute information supplémentaire, les citoyens sont invités à contacter le service régional de communication interministérielle ou à consulter le site officiel de la préfecture de Guyane. 

     

    Damien CHAILLOT

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  • En Guyane, l’Etat se mobilise face aux conséquences d’une sécheresse « intense »

    En Guyane, l’Etat se mobilise face aux conséquences d’une sécheresse « intense »

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    Le village d’Elahe, au cœur du parc national amazonien de Guyane, au bord du fleuve Maroni, le 13 mars 2007.

    A l’entrée de l’aérodrome de Maripasoula, commune isolée du sud de la Guyane, des habitants sont partagés entre fatalisme et colère. « Il y a quelques jours, j’ai acheté une bouteille de gaz à 120 euros », déplore Junior Jean, un restaurateur. « C’est 18 euros pour un pack de six bouteilles d’eau minérale, contre 9 auparavant dans les magasins, délcare Pierre Koukouman, un confrère. Il me reste peu de gaz, et on n’en trouve plus. Si ça continue comme ça, je serai obligé de fermer. » Sur le tarmac, des militaires déchargent un avion, avec à bord 4 tonnes de denrées et d’eau.

    Mercredi 13 novembre, c’était la cinquième rotation d’un appareil de l’armée vers Maripasoula dans le cadre du plan Orsec « eau », déclenché mardi 29 octobre par le préfet, en raison du niveau historiquement bas de deux fleuves – le Maroni à l’ouest et l’Oyapock à l’est –, qui a entraîné un arrêt du transport fluvial vers les communes ou villages les plus en amont. Le dispositif permet de mobiliser rapidement d’importants secours face à des « événements touchant gravement la population ».

    « Au niveau des températures, la saison sèche 2024, pas encore terminée [celle-ci s’étire traditionnellement de juillet à septembre], fait partie des plus chaudes jamais observées depuis 1967, souligne Patrick Ranson, responsable du service prévision de Météo-France en Guyane. Elle s’inscrit par ailleurs dans un contexte pluviométrique déficitaire de près de dix-huit mois. »

    Faute de route, le fleuve frontalier avec le Suriname est la principale voie de ravitaillement des localités de Grand-Santi, Papaïchton et Maripasoula – 24 000 habitants au total. Depuis fin octobre, si le fret passe encore jusqu’à Grand-Santi, quasiment plus aucune pirogue ne remonte jusqu’aux deux autres communes. « J’ai 300 tonnes de marchandises bloquées à Saint-Laurent… matériel de construction, ciment, bois, PVC et carburant, explique Jonathan Abienso, transporteur à Maripasoula. Je n’avais jamais vu une sécheresse aussi intense, les pertes sont énormes. » Les cinq piroguiers avec qui il travaille sont au chômage technique.

    Selon le site des services de l’Etat en Guyane, le Maroni est un « cours d’eau naturel et non aménagé ». Sur ce fleuve ponctué de nombreux « sauts », ou rapides, les piroguiers peinent à faire reconnaître officiellement leur savoir-faire. « Dans ce contexte, comment va-t-on les indemniser ? », s’inquiète Jonathan Abienso.

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  • La qualité de l’eau revient à la normale à Saint-Laurent du Maroni – Mo News

    La qualité de l’eau revient à la normale à Saint-Laurent du Maroni – Mo News

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    La préfecture de la Guyane, en collaboration avec la mairie de Saint-Laurent-du-Maroni, la société guyanaise des eaux et l’agence régionale de santé de Guyane, confirment que l’eau du robinet à Saint-Laurent-du-Maroni est à nouveau consommable pour la boisson et la cuisson.

    Le taux de sel dans l’eau est revenu à un niveau légèrement supérieur à la normale.

    Fin de la distribution d’eau de consommation

    Les points de distribution installés provisoirement dans la ville, équipés de bâches d’eau de consommation, seront retirés à partir de ce mercredi 20 novembre 2024.

    Mesures spécifiques pour les personnes en insuffisance rénale

    Les personnes atteintes d’insuffisance rénale avancée (stade 4 et 5) doivent continuer à éviter de consommer l’eau du robinet car le taux de sel reste légèrement supérieur à la normale pour leur santé.

    La distribution d’eau en bouteille par la mairie de Saint-Laurent-du-Maroni est maintenue dans les centres de dialyse.

    Prévision pour décembre

    Le faible niveau de pluies pourrait entraîner une nouvelle hausse de la salinité début décembre. Les autorités surveillent la situation de près et informeront la population si des mesures doivent être prises.

    Sources : Préfecture de la Guyane

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