Hier soir, le Festival International du Film Documentaire Amazonie-Caraïbe a lancé sa sixième édition au Camp de la Transportation à Saint-Laurent-du-Maroni. Entre émotions, rencontres et engagements, les participants ont célébré un festival qui continue de tisser des liens entre les cultures amazoniennes et caribéennes.
Le FIFAC a célébré son lancement au Camp de la Transportation, offrant un espace de rencontres autour de la diversité culturelle de l’Amazonie et de la Caraïbe. Gessica Généus, présidente du jury, a exprimé son attachement au festival et l’importance de l’initiative :
Ce festival, c’est une famille. J’espère qu’il inspirera les jeunes à raconter leurs propres histoires, car notre mémoire et notre culture méritent d’être partagées.
Déjà plongée dans les œuvres en compétition, elle a souligné la qualité des films et le défi pour le jury de départager les lauréats.
Serge Abatucci, président de l’association du FIFAC, a placé cette édition sous le signe de la joie, avec un enthousiasme renouvelé envers le partenariat entre le festival et Saint-Laurent-du-Maroni.
C’est toujours un miracle chaque fois qu’une édition est close… le FIFAC vient comme la cerise sur le gâteau et donne une identité globale au Camp de la Transportation
a-t-il souligné, touché par l’impact culturel du festival pour la ville.
Renée-Lise Briquet, élue déléguée à la Culture, a rappelé que le FIFAC incarne les liens entre Saint-Laurent et les cultures environnantes : “Le FIFAC est né à Saint-Laurent, il grandit à Saint-Laurent, et il vivra encore à Saint-Laurent.” Avec des œuvres de toute la Caraïbe et de l’Amazonie, le festival propose au public local de découvrir le cinéma en plein air, favorisant un échange culturel unique.
Pour clôturer cette première soirée, le festival a proposé la projection du documentaire Break in Guyane, qui plonge au cœur du quartier et de la passion du breakdance en Guyane. Ce film a permis au public de découvrir un art de rue devenu source d’inspiration et de repères pour la jeunesse, illustrant les valeurs de dépassement et de partage chères au FIFAC.
Braqué, ligoté et agressé à son domicile dimanche 6 octobre, Bernard Sellier, adjoint au maire de Saint-Laurent-du-Maroni, n’échappe pas à la violence qui touche la commune de l’Ouest.
Les faits se seraient déroulés le dimanche 6 octobre aux alentours de 21 heures sur la route de Saint-Jean, selon Guyane 1ère.
Les deux individus, l’un armé d’un sabre et l’autre d’une arme à feu, auraient porté l’attaque lorsque l’élu s’apprêtait à fermer la porte de son domicile. Après avoir braqué, ligoté et agressé Bernard Sellier, les deux assaillants seraient repartis avec des bijoux, une petite somme d’argent et des cartes bancaires.
Violentée et bousculée, la femme de l’élu, blessée d’une fracture au bras, aurait elle aussi subi l’agression. Ils ont tous les deux été transportés au Centre hospitalier de l’Ouest guyanais.
Toujours en fuite, le duo d’agresseurs serait encore recherché par les forces de l’ordre. Une enquête est actuellement en cours.
Une réunion d’urgence pour lutter contre la violence.
Touchée par une succession d’épisodes de violence, la commune de Saint-Laurent a récemment fait l’objet d’une réunion de crise jeudi 3 octobre. Juste après la fusillade qui a pris pour cible une équipe de gendarmes, le préfet de la Guyane, le général de la gendarmerie et les élus locaux se sont rencontrés en urgence afin de discuter de plusieurs mesures visant à renforcer la sécurité dans la commune.
Le renforcement de la surveillance du fleuve Maroni, porte d’entrée pour de nombreux trafiquants et délinquants, a notamment été évoqué par la mairie lors de l’échange.
Parmi les autres mesures avancées cette fois-ci par le préfet, on note l’arrivée de renforts supplémentaires de gendarmerie mobile, ainsi que l’intervention de l’unité spéciale du GIGN pour faire face à la montée de la violence armée. Il mentionne également l’importance de s’attaquer aux quartiers informels, synonymes de foyers de délinquance.
Une semaine après le départ de la communauté Kali’na du Grand conseil coutumier, les organisations autochtones annoncent la démission de Aulagea Thérèse, de la Foag et Jean-Philippe Chambrier, de la Fédération Lokono.
Le Grand conseil coutumier connaît des démissions en cascade suite à l’élection de Sylvio Van Der Pijl, chef coutumier du village de Balaté (Saint-Laurent du Maroni). Après les Kali’na le 3 octobre, ce sont désormais Jean-Philippe Chambrier, de la Fédération Lokono et Aulagea Thérèse, de la Fédération des organisations autochtones de Guyane (Foag) qui se retirent de l’instance.
Pour comprendre le point de rupture, il faut remonter au 28 septembre. Alors que les instances amérindiennes ont désigné Éric Louis et Jean-Philippe Chambrier pour les représenter, Sylvio Van Der Pijl remporte les suffrages. Les neuf voix businengées ont fait la différence.
Dans un communiqué paru ce 7 octobre, les organisations autochtones de Guyane annoncent les deux nouvelles démissions et renouvellent leur soutien au peuple Kali’na. Ils réaffirment par ailleurs leur condamnation de « l’ingérence des capitaines Aluku, prétendant représenter l’ensemble des six peuples businengés sans consultation ni respect des procédures coutumières en vigueur. »
Les signataires appellent à la vigilance « face aux dérives qui mettent en péril l’équilibre fragile de nos relations coutumières » et détaillent leur positionnement, resté inchangé : « Il est primordial que nos droits ancestraux et notre souveraineté soient respectés dans toute discussion concernant nos terres et nos ressources. En tant qu’organisations autochtones, nous nous tenons aux côtés du peuple Kali’na et de toutes les communautés qui luttent pour la préservation de leur souveraineté, de leur identité et de leurs traditions. Ensemble, nous réaffirmons la nécessité de protéger nos terres non cédées, de sauvegarder notre autonomie et d’assurer un avenir fondé sur le respect de nos valeurs ancestrales. »
Samedi 5 octobre, aux alentours de 20h45, un homme a été blessé par balle alors qu’il attendait sa commande devant un snack dans le quartier Saint-Maurice à Saint-Laurent-du-Maroni. Deux individus ont pris la fuite après avoir ouvert le feu. La victime, hospitalisée, est hors de danger. Les gendarmes ont ouvert une enquête.
Une nouvelle fois, des agresseurs n’ont pas hésité à faire usage d’armes à feu pour commettre un braquage à Saint-Laurent-du-Maroni. Samedi soir, 5 octobre, vers 20h45, un homme a été touché par balle devant un snack au 28 rue Jean-Claude Isaac, dans le quartier Saint-Maurice. La victime, qui attendait sa commande avec sa compagne, n’était pas seule devant l’établissement. Plusieurs autres clients se trouvaient également là, patientant pour récupérer leurs commandes. C’est à ce moment qu’elle a repéré deux individus suspects. Tentant de retirer sa chaîne pour éviter de se faire voler, il a été pris pour cible. L’un des assaillants a tiré à bout portant, atteignant l’homme à la cuisse droite avant de s’enfuir avec son complice à trottinette électrique. Des témoins, alertés par le bruit des tirs, se sont précipités pour aider la victime. Parmi eux, un pompier résidant non loin du drame est intervenu rapidement pour lui porter secours en attendant l’arrivée des services de secours. Ces derniers l’ont ensuite transportée au Centre Hospitalier de l’Ouest Guyanais. Ses jours ne sont pas en danger. Les gendarmes, accompagnés de la brigade de recherche, ont ouvert une enquête. Cet incident s’ajoute à une série de braquages marqués par l’usage d’armes à feu dans la ville, où le sentiment d’insécurité persiste.
Un accident est survenu sur la route nationale 1 au croisement de Petit-Saut ce 4 octobre et deux motards ont perdu la vie. Une tragique disparition qui endeuille la famille des motards de Guyane et la ville Saint-Laurent-du-Maroni. Au soir de ce drame, les motards ont rendu hommage à Jean-Jacques Jean-François et François Horatius à la place des Palmistes de Cayenne mais également à la place du marché de Saint-Laurent.
Sur les réseaux sociaux les hommages à Jean-Jacques Jean-François surnommé Jacky et François Horatius dit Fanfan sont nombreux. Ces deux hommes décédés sur la route faisaient partie d’un clan soudé et solidaire, celui de la famille motarde. Mais ils étaient aussi des citoyens engagés sportivement et appréciés de tous à Saint-Laurent-du-Maroni où ils résidaient.
Le soir même du tragique accident, un premier hommage a été rendu à ces personnalités du monde sportif guyanais. Les motards se sont réunis à Matoury au centre commercial de Family Plaza puis se sont rendus en procession place des Palmistes pour une cérémonie simple et très émouvante du souvenir. Beaucoup d’émotion aussi dans la capitale de l’Ouest, la grande famille des motards s’était donné rendez-vous sur la place du marché.
Dominique Castella, adjoint chargé des sports à la mairie de Saint-Laurent, ne cache pas sa peine et son désarroi :
«Ils étaient tous les deux très engagés, Jean-Jacques Jean-François était président du club de taekwondo et François Horatius œuvrait comme éducateur au Cosma basket. Ils avaient un loisir commun, la pratique de la moto. C’est une énorme tristesse de perdre ces hommes qui s’impliquaient pour la jeunesse comme bénévoles. Cela fait 31 ans que je côtoyais Jacky qui était à la retraite depuis 2 ans. Quand il n’était pas sur un tatami pour le taekwondo, il était sur sa moto, Fanfan également. C’étaient des personnes géniales!»
La voix cassée, l’élu, rempli d’émotion se désole de ces deux grosses pertes : «On n’arrive pas y croire. C’est une énorme perte. Nous allons mobiliser toutes les disciplines sportives à Saint-Laurent pour leur faire un hommage. C’est un drame qui va marquer Saint-Laurent et surtout l’activité sportive. Pour nous tous c’est un énorme choc.!»
Josette Palmier, présidente des motardes de Guyane qui vit à Saint-Laurent ne dort plus depuis l’annonce de ces tragiques décès. Elle est dévastée :
«Avec Jacky, nous avons fait beaucoup de sorties au Suriname, au Guyana. Il était rigoureux en matière de sécurité et très apprécié de tous les motards. Pour son club de taekwondo, il s’occupait des jeunes jusqu’à l’âge de 15 ans. Toute la communauté saint-laurentaise est affectée. Nous perdons deux motards d’un coup!»
La présidente des motardes et aussi en colère. Elle affirme que les motards sont régulièrement confrontés à des automobilistes inconscients : «Ils ne sont pas seuls sur la route, elle ne leur appartient pas» martèle la motarde en rajoutant : «Un motard ne meurt pas c’est l’automobiliste qui tue un motard!». Elle rappelle qu’un autre accident est survenu sur cette route, au dégras Saramaca dans les mêmes circonstances. Cela s’est produit aussi à Mana. «Tous les amis que je perds c’est toujours un automobiliste qui coupe la route.Saint-Laurent-du-Maroni est en deuil, c’est très dur et surtout deux familles sont endeuillées! »
Josette Palmier a le projet de mener une action de sensibilisation à destination des automobilistes pour un meilleur partage de la route.
La date des obsèques de Jean-Jacques Jean-Francois et de François Horatius n’est pas connue mais déjà des actions se préparent à Saint-Laurent où dès ce samedi après-midi, les clubs sportifs vont se réunir pour un hommage commun aux défunts.
Une fillette de 3 ans s’est noyée vendredi 4 octobre à l’île Portal à Saint-Laurent-du-Maroni après avoir échappé à la vigilance de ses grands-parents. Son corps a été retrouvé ce samedi aux environs de 13 heures. L’île est connue pour être entourée de forts courants.
Le corps sans vie d’une fillette de 3 ans a été retrouvé dans le Maroni ce samedi à l’île Portal à Saint-Laurent-du-Maroni. L’enfant s’était noyée la veille, alors qu’elle se baignait avec d’autres enfants. Malgré la présence de ses grands-parents sur place, elle a échappé à leur surveillance avant de disparaître dans l’eau.
Les recherches, menées par la gendarmerie avec des moyens nautiques, ont été lancées rapidement, mais il a fallu attendre ce samedi pour que son corps soit retrouvé.
L’île Portal est tristement réputée pour ses forts courants qui ont entraîné plusieurs noyades ces dernières années. Les autorités rappellent les dangers de la baignade dans cette zone et insistent sur l’observation de la plus grande vigilance à proximité des cours d’eau, notamment pour les enfants.
Vous êtes concernés par les inscriptions scolaires de la ville si votre enfant :
entre en 1ère année de maternelle,
arrive sur la commune.
L’affectation des élèves dans l’un des établissements scolaires de la ville s’établit selon le périmètre scolaire défini en Conseil Municipal par la délibération du 13/03/2024.
Retrouvez l’école de secteur de votre enfant en fonction de votre adresse en cliquant ci-dessous :
POUR INSCRIRE VOTRE ENFANT, VOUS DEVEZ RÉALISER UNE DÉMARCHE EN DEUX ÉTAPES :
1ÈRE ÉTAPE : Préinscription en ligne
Documents à fournir obligatoirement au format numérique pour finaliser la préinscription :
Une copie du livret de famille (toutes les pages) ou un acte de naissance de moins de trois mois (copie intégrale) de l’enfant ;
Un justificatif de domicile de moins de 3 mois (quittance de loyer d’un professionnel de l’immobilier, facture ou attestation abonnement électricité ou gaz, attestation assurance habitation, abonnement internet, pas de compromis).
Justificatifs complémentaires à fournir au format numérique selon les situations :
Séparation des parents : jugement de divorce ou de garde. En l’absence de jugement, fournir l’attestation de résidence de l’enfant à télécharger en cliquant ci-dessous :
Enfant reconnu MDPH : notification MDPH (pour affectation en classe ULIS).
Nouveaux arrivants et changements d’école : certificat de radiation de l’école précédente.
Suite à votre pré-inscription en ligne, vous pourrez télécharger le certificat de pré-inscription de votre enfant qui vous sera envoyé par mail suite à la préinscription en ligne. Il vous appartient ensuite de prendre rendez-vous auprès de la directrice ou du directeur de l’école dont vous dépendez munis de ce certificat pour finaliser l’inscription à l’école de votre enfant.
Sous la présidence de la réalisatrice, comédienne et chanteuse haïtienne Gessica Généus, la 6e édition du FIFAC (Festival international du Film documentaire Amazonie-Caraïbes) se tiendra du 8 au 12 octobre 2024 à Saint-Laurent-du-Maroni, en Guyane. À cette occasion, Guyane la 1ère propose, sur ses antennes, une programmation spéciale le mercredi 9 octobre avec la diffusion de trois documentaires primés lors des précédentes éditions.
Des films à l’esthétique inventive qui permettent de découvrir des réalités historiques méconnues, des histoires individuelles fortes, des combats pour la préservation d’un territoire et d’une culture, et laissent entendre des voix singulières qui expriment quelque chose d’ancien et de nouveau à la fois.
♦ Adieu sauvage (inédit) 20h30 Grand prix Fifac / France Télévisions du meilleur documentaire 2023
En Colombie, les « Blancs » pensent que l’Indien d’Amazonie ne ressent rien car, dans sa langue, il n’y a pas de mots pour désigner les sentiments. Est-il possible que tout un peuple ne ressente rien et n’ait aucun mot pour parler d’amour ? Le réalisateur Sergio Guataquira Sarmiento, lui-même descendant d’une communauté autochtone colombienne presque disparue, part à la rencontre des Cacuas pour parler de leurs sentiments, de leurs amours, de leur solitude. Ce faisant, il renoue avec sa propre indianité. Tout en humour et en tendresse, les Cacuas tentent de lui apprendre ce que c’est que d’être un autochtone.
92 min • Un documentaire écrit et réalisé par Sergio Guataquira Sarmiento • Production Fox the Fox Productions, Grand Angle Productions • 2023
15 points de collecte ont été installées au bourg de Maripasoula afin de permettre le tri des déchets. Une vaste campagne de sensibilisation démarre pour habituer la population à ces nouveaux gestes pour réduire les déchets à enfouir. Un dispositif est aussi prévu pour les villages du Haut-Maroni.
Le bleu pour le papier et le carton. Le jaune pour les flacons en plastique et les canettes en métal. Le vert pour le verre. Si ce message répété à l’envi par les organismes en charge de la gestion des déchets est intégré dans d’autres secteurs de la Guyane, il est nouveau pour les habitants de Maripasoula. Ce n’est en effet qu’aujourd’hui que la plus grande commune de France se voit dotée de bornes de collecte. 15 points de collecte ont été répartis sur le territoire avec, à chaque fois, trois bornes différentes avec les fameuses couleurs.
Une fois le déchet posé dans la borne, il entamera un long périple, comme le détaille Nicolas Moulin responsable territorial Outre-mer de Citéo, l’entreprise chargée de mettre en place le tri. « La CCOG (Communauté de communes de l’Ouest guyanais) se chargera de la collecte des bornes. Des balles seront faites à l’unité de traitement des déchets de Maripasoula. Elles seront ensuite expédiées par pirogue à Saint-Laurent du Maroni où elles seront triées et reconditionnées en balles avant d’être envoyées dans le centre de tri situé à Rémire-Montjoly. » Là, les déchets rejoindront ceux qui sont collectés dans les autres secteurs de Guyane et seront expédiés vers l’Hexagone pour y être traités.
Si les bornes sont, pour l’heure, installées au bourg de Maripasoula, les villages du Haut-Maroni seront eux aussi concernés par cette vague verte. Là, d’ici la fin de l’année, des sacs jaunes seront distribués chez l’habitant et collectés a minima une fois par semaine. C’est le système qui est actuellement déployé à Trois-Saut, en collaboration avec la CCEG. Là, les sacs collectés sont envoyés au bourg de Camopi avant de rejoindre Saint-Georges en pirogue puis prendre la route pour le centre de tri de Rémire-Montjoly.
Parmi les déchets collectés qui ne seront pas réexpédiés sur le littoral : le verre. « Nous avons pour projet d’installer un broyeur à verre à l’unité de traitement des déchets. Il est en cours de commande. Nous espérons une mise en fonctionnement début 2025. » Une fois broyé, le verre permettra de faire du sable de verre qui sera utilisé dans la construction sur place. En attendant, le verre collecté sera stocké au PK6, vers la piste qui relie Maripasoula à Papaïchton.
Pour que le projet soit efficace, Citéo mise sur une vaste campagne de communication: six ambassadeurs ont été embauchés afin de faire du porte à porte. Leur mission: indiquer les emplacements des bornes et expliquer les bons gestes. Dans un second temps, des animations seront proposées dans les écoles. Objectifs: expliquer l’importance des gestes de tri pour la préservation du cadre de vie.
Après Maripasoula, deux autres communes du Maroni rejoindront le dispositif. Grand-Santi devrait avoir ses bornes de collecte d’ici la fin de l’année et Papaïchton début 2025.