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  • Le pôle Outre-mer de France Télévisions partenaire de la 6e édition du Fifac 2024

    Le pôle Outre-mer de France Télévisions partenaire de la 6e édition du Fifac 2024

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    Le Fifac (Festival international du Film documentaire Amazonie-Caraïbes) s’inscrit dans la politique de soutien de France Télévisions aux festivals documentaires en Outre-mer, dans la continuité du Fifo (Festival international du Film documentaire océanien), qui se tient en Polynésie depuis 2004, et du Fifoi (Festival international du Film documentaire de l’océan Indien), dont la deuxième édition se tiendra en 2025. Avec l’ambition de valoriser la création documentaire de la région et de dynamiser les filières de production locales, le Fifac s’affiche comme un rendez-vous professionnel incontournable, qui contribue au rayonnement et à la promotion des programmes de l’Amazonie et de la Caraïbe.

    Les films retenus en sélection officielle concourent pour le Grand Prix Fifac-France Télévisions du meilleur film documentaire (long-métrage), le Prix spécial du jury (meilleur long-métrage), le Prix du festival (meilleur court-métrage documentaire), le Prix du jury lycéen (long-métrage) et le Prix du public (long-métrage).

    Le jury de la 6e édition du Fifac, présidé par la comédienne, chanteuse et réalisatrice haïtienne Gessica Généus, sera composé du réalisateur Marc Barrat, du réalisateur Wally Fall, de la directrice déléguée des documentaires découverte et science de France Télévisions Amandine Picault et de l’auteur-réalisateur Luc de Saint-Sernin.

    Gessica GénéusBiographie de Gessica Généus
    En 2010, après le séisme qui frappe Haïti, Gessica Généus s’implique dans la reconstruction de son pays, travaille pour les Nations unies et obtient une bourse pour étudier à l’Acting International de Paris. De retour en Haïti, elle crée la société Ayizan Production.
    Entre 2014 et 2016, elle réalise Vizaj Nou, une série de portraits de grandes figures de la société haïtienne contemporaine. Son documentaire Douvan jou ka levé (Le jour se lèvera, 2017) remporte sept prix, dont le Grand Prix du FIFAC, en 2019.  Freda, son premier long-métrage de fiction pour le cinéma, est en sélection officielle au Festival de Cannes en 2021, dans la section Un certain regard et remporte de nombreuses récompenses à travers le monde.
    Gessica Généus prépare son nouveau long-métrage, Marie-Madeleine, prix du CNC de la 46e résidence du Festival de Cannes 2024. Le début du tournage est prévu en Haïti au printemps 2025.

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  • l’ancien adjoint au maire condamné en appel à 22 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat de son épouse

    l’ancien adjoint au maire condamné en appel à 22 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat de son épouse

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    Le procès en appel de Germain Balmokoun s’est achevé ce 24 septembre à la Cour d’Assises de Cayenne. Après sept jours d’audience, l’ancien directeur d’école et adjoint au maire de Saint-Laurent du Maroni a été condamné à 22 ans de réclusion criminelle. En première instance, il avait été condamné à 25 années. Il clame toujours son innocence.

    Les avocats de la défense n’ont pas convaincu les jurés lors de ce procès en appel. Germain Balmokoun a été condamné à 22 ans de réclusion criminelle ce mardi 24 septembre pour l’assassinat de son épouse, Thu Ha Tran Thi.

    L’accusé a pourtant, une fois de plus, clamé son innocence à la fin de ces sept jours d’audience. « Je suis devant vous parce que je ne suis pas coupable des faits qui me sont reprochés. Je n’ai jamais eu l’intention de me séparer de mon épouse, je n’ai jamais eu l’intention de détruire la vie de mon épouse« , a-t-il déclaré. Et d’ajouter :

    Je suis de ceux qui pensent qu’aucun être humain n’a le droit d’enlever la vie à un autre. Je vous le dis aujourd’hui, je n’ai pas tué mon épouse, je n’ai fait aucun mal à Thu Ha. Ma vie a été basée sur l’amour et le respect. J’ai aimé Thu Ha, j’aime encore Thu Ha. Je me demande où les gens vont trouver ces histoires. C’est une hérésie de croire que j’ai tué mon épouse. Je n’ai tué personne. Ne me condamnez pas pour un crime que je n’ai pas commis »

    Les « histoires » et les « rumeurs », voici justement les mots-clés utilisés par la défense durant ce procès. Mardi après-midi, les quatre avocats de la défense se succèdent à la barre. Dans son plaidoyer, Me. Raphaël Lapin affirme que le fil d’Ariane de l’enquête a été la « rumeur » et que c’est ainsi que naissent les erreurs judiciaires. La défense évoque notamment les imprécisions de la directrice d’enquête, entendue la semaine passée en audience.

    Me. Émile Tshefu, dans un plaidoyer de plus d’une heure, lance « on ne lâchera pas » et « je ne peux pas accepter ça« . Il rappelle aux jurés que l’on vit dans un pays de démocratie. Il conclut son propos avec cette citation de Voltaire : « Il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que condamner un innocent » et leur demande – comme l’ont fait ses trois confrères de la défense – d’acquitter Germain Balmokoun.

    L’avocate générale requit quant à elle 30 ans de réclusion criminelle assortis d’une interdiction de détenir une arme pendant 15 ans ainsi qu’une interdiction d’exercer une activité de représentation dans la fonction publique.

    La représentante de la société et de l’intérêt général estime que la défense « salit les témoins » et déclare :

    C’est pas le procès de la rumeur, c’est pas le procès des ragots, c’est le procès de monsieur Balmokoun ! Tout ce que pouvait être vérifié a été vérifié […] Il est devant vous parce qu’il a été mis en examen suite à des éléments à charge.

    Par ailleurs, elle note que M. Balmokoun avait dit à son amante qu’à son retour de son voyage au Vietnam avec Thu Ha Tran Thi, « il n’y aurait plus Mme Balmokoun » parce qu’elle lui « faisait chier » et qu’il en avait marre de ses crises de jalousie. « Il se vantait d’être revenu célibataire« , dit l’avocate générale. Elle conclut en disant : « c’est un paradoxe d’avoir tué celle à qui on était lié pour le meilleur et pour le pire. »

    L’avocate de la partie civile, elle, pointe du doigt les incohérences de Germain Balmokoun. « C’est un film, dont j’ai même l’intitulé : comment créer un innocent quand tout converge vers lui et l’accuse« , lance-t-elle. Et de livrer cette expression :

    On voit la queue de la souris dans la bouche du serpent et pourtant le serpent continue de nier avoir avalé la souris. Et monsieur Balmokoun est exactement comme ce serpent. Il continue de nier, même l’évidence.

    « Le problème est qu’il a l’arrogance de penser que vous êtes dupes. Il a l’arrogance de penser pouvoir créer un innocent« , ajoute Me. Corinne Yang-Ting Boulogne, avocate de la partie civile.

    Et c’est finalement cette plaidoirie qui a convaincu les jurés. À 22h00, après plus trois heures de délibération, le jugement est rendu. Germain Balmokoun retourne au centre pénitentiaire. Il est condamné cette fois à une peine de 22 ans, soit trois ans de moins qu’en première instance.

    Les avocats de la défense comptent demander un pourvoi en cassation.



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  • Guyane : À Saint-Laurent-du-Maroni, un échange de bâtiments officialisé entre la commune et l’Etat, dans le cadre du projet de renouvellement urbain

    Guyane : À Saint-Laurent-du-Maroni, un échange de bâtiments officialisé entre la commune et l’Etat, dans le cadre du projet de renouvellement urbain

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    Un échange gagnant-gagnant selon le préfet de Guyane, Antoine Poussier, qui a co-signé cet accord avec la maire de Saint-Laurent-du-Maroni, Sophie Charles. Au micro de Radio Péyi, il souligne les avantages de cet échange pour les deux parties : « C’est une étape importante pour Saint-Laurent dans le cadre de son projet de rénovation urbaine, et c’est une étape importante pour l’État, car nous récupérons le terrain où est installée la caserne de gendarmerie qui abrite l’escadron de gendarmerie et la nouvelle brigade fluviale créée cette année », a-t-il déclaré.

    Sur le plan financier, cet échange repose sur une évaluation des valeurs des deux propriétés. La différence de prix entre les deux terrains a été estimée à 400 000 euros, somme que la commune de Saint-Laurent-du-Maroni s’est engagée à verser à l’État pour compenser cet écart. Le préfet a insisté sur l’intérêt de ce montage financier inhabituel, mais « avantageux pour la commune bénéficiaire, qui évite de dépenser des montants trop importants en échangeant une autre parcelle avec l’État ».

    Un projet clé pour le développement urbain de Saint-Laurent-du-Maroni

    Pour Sophie Charles, cette opération s’inscrit dans une vision plus large de transformation de la ville. « Dans le cadre du programme de renouvellement urbain de 2019, nous avions défini des orientations autour du logement, du tourisme, des loisirs et de la culture », a expliqué la maire. Le bâtiment de l’ancien CHOG, situé en plein centre-ville, sera ainsi réhabilité pour accueillir des logements intermédiaires et des habitations destinées aux familles.

    Une partie du projet prévoit également l’aménagement d’une zone familiale à la place de l’ancien héliport. L’objectif est de relier cette zone aux trois places principales de la ville par des voies piétonnes et des aménagements favorisant la mobilité douce. « Ce projet est le résultat de longues années de travail, mobilisant plusieurs équipes et bureaux d’études, ainsi que l’implication des monuments historiques pour valider cet échange. Nous allons également pouvoir avancer avec l’appel à projets dans le cadre d’Action Cœur de Ville », a précisé Sophie Charles.

    Quant aux prochaines étapes, la maire de Saint-Laurent-du-Maroni a évoqué le lancement des divers programmes de travaux, qui s’inscrivent dans une perspective de cinq à dix ans. « Nous allons maintenant mettre en œuvre les études nécessaires et suivre le calendrier des travaux. Ce sont des programmes de long terme, mais indispensables pour le développement de notre ville », a-t-elle conclu. Cet échange entre la Ville et l’État marque donc une étape cruciale dans le processus de rénovation de Saint-Laurent-du-Maroni, avec des projets ambitieux qui contribueront à transformer le visage de la commune dans les années à venir. 

    Damien Chaillot

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  • Maroni, déchets et défi écologique

    Maroni, déchets et défi écologique

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    Une nouvelle saison du magazine « Pagra » de la rédaction Guyane la 1ère commence ce jeudi 19 septembre avec un premier numéro consacré à la gestion des déchets et des ordures ménagères. Le rendez-vous est pris pour ce soir à 20h25.

    Que faire de nos poubelles ? Une question primordiale pour la Guyane : la gestion des déchets et des ordures ménagères avec des installations hors normes et une population grandissante.
    Un sujet qui s’avère particulièrement épineux sur le haut Maroni où les décharges à ciel ouvert sont nombreuses et où les ordures se retrouvent souvent dans le fleuve.

    Une situation qui a entraîné une condamnation de la France en 2007 par la Cour de Justice de l’Union européenne pour « manquement d’État » face à l’existence de « décharges illégales ou incontrôlées ».
    Jocelyne Helgoualch et Terence Moy ont suivi une équipe de la Communauté de communes de l’ouest guyanais en charge de la gestion des déchets dans les communes du Maroni. Un défi pour la CCOG, une priorité sanitaire et écologique pour les populations du fleuve.
    Chaque année, la Communauté de communes de l’ouest guyanais traite plus d’1 tonne et demie d’ordures ménagères dans les communes du haut Maroni.


    Les déchets transformés en balles stockées en attendant leur évcuation


    Dans certains secteurs, respecter les normes imposées par l’Europe est envisagé par la CCOG à l’horizon 2030 voire 2040.



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  • Coups de feu à Saint-Laurent – Mo News

    Coups de feu à Saint-Laurent – Mo News

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    L’auteur des tirs de la cité Les Acasias a été placé en garde à vue. Une enquête est ouverte dans l’affaire des tirs près de l’école Mouty.

    Hier matin, vers 8h30, des tirs ont retenti près de la cité Les Acasias, à proximité du débarcadère de la Glacière à Saint-Laurent-du-Maroni.

    Alertées, les forces de l’ordre se sont rapidement rendues sur les lieux, bouclant le quartier. L’auteur des coups de feu a été identifié et interpellé, puis placé en garde à vue.

    Des coups de feu près de l’école Mouty

    Dans un communiqué, le SE-Unsa, représentant du personnel éducatif, a signalé que des coups de feu avaient également été tirés près de l’école Mouty, ce jeudi « en pleine journée, à quelques minutes de la sortie des élèves. »

    Bien que la gendarmerie affirme ne pas avoir été appelée au moment des faits, elle confirme avoir « été à la rencontre des enseignants ce matin pour recueillir des informations dans le cadre de l’enquête. »

    Face à ce climat de violence persistant dans la capitale de l’Ouest, le SE-Unsa Guyane réclame la mise en place urgente « d’un dispositif de sécurité renforcé autour des établissements scolaires. » L’organisation demande également « la présence permanente des forces de l’ordre aux heures de rentrée et de sortie des élèves, » exprimant ainsi de vives inquiétudes quant à la sécurité des jeunes.

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  • Un nouveau plan stratégique pour les CAF des Outre-mer – Mo News

    Un nouveau plan stratégique pour les CAF des Outre-mer – Mo News

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    À l’occasion de la Conférence Inter-Régionale des Caf, les six organismes des outre-mer et la Caisse national des allocations familiales( CNAF) se réunissent à Saint-Laurent du Maroni du 23 au 25 septembre.   

    Représentés par les présidents et vice-présidents des conseils d’administration et directeurs des caisses, les six organismes des outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion, Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon) et la CNAF se réunissent du 23 au 25 septembre 2024 dans la commune de Saint-Laurent du Maroni.

    Ces travaux permettront d’aborder le volet outre-mer du plan stratégique des Caf pour la période 2023-2027, en appui sur la fiche 5 de la Convention d’objectifs et de gestion de la branche famille de la Sécurité sociale (COG).

    Dotés de caractéristiques socioéconomiques singulières et nettement plus défavorables que celles de la Métropole, les territoires d’outre-mer bénéficient pour la première fois d’une fiche qui acte les engagements réciproques de la branche famille.

    À l’issue de cette conférence générale, toutes les Caf bénéficieront d’une véritable feuille de route déclinable sur chacun des territoires.


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  • Guyane : À Saint-Laurent-du-Maroni, un échange de bâtiments officialisé entre la commune et l’Etat, dans le cadre du projet de renouvellement urbain

    Guyane : À Saint-Laurent-du-Maroni, un échange de bâtiments officialisé entre la commune et l’Etat, dans le cadre du projet de renouvellement urbain

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    Un échange gagnant-gagnant selon le préfet de Guyane, Antoine Poussier, qui a co-signé cet accord avec la maire de Saint-Laurent-du-Maroni, Sophie Charles. Au micro de Radio Péyi, il souligne les avantages de cet échange pour les deux parties : « C’est une étape importante pour Saint-Laurent dans le cadre de son projet de rénovation urbaine, et c’est une étape importante pour l’État, car nous récupérons le terrain où est installée la caserne de gendarmerie qui abrite l’escadron de gendarmerie et la nouvelle brigade fluviale créée cette année », a-t-il déclaré.

    Sur le plan financier, cet échange repose sur une évaluation des valeurs des deux propriétés. La différence de prix entre les deux terrains a été estimée à 400 000 euros, somme que la commune de Saint-Laurent-du-Maroni s’est engagée à verser à l’État pour compenser cet écart. Le préfet a insisté sur l’intérêt de ce montage financier inhabituel, mais « avantageux pour la commune bénéficiaire, qui évite de dépenser des montants trop importants en échangeant une autre parcelle avec l’État ».

    Un projet clé pour le développement urbain de Saint-Laurent-du-Maroni

    Pour Sophie Charles, cette opération s’inscrit dans une vision plus large de transformation de la ville. « Dans le cadre du programme de renouvellement urbain de 2019, nous avions défini des orientations autour du logement, du tourisme, des loisirs et de la culture », a expliqué la maire. Le bâtiment de l’ancien CHOG, situé en plein centre-ville, sera ainsi réhabilité pour accueillir des logements intermédiaires et des habitations destinées aux familles.

    Une partie du projet prévoit également l’aménagement d’une zone familiale à la place de l’ancien héliport. L’objectif est de relier cette zone aux trois places principales de la ville par des voies piétonnes et des aménagements favorisant la mobilité douce. « Ce projet est le résultat de longues années de travail, mobilisant plusieurs équipes et bureaux d’études, ainsi que l’implication des monuments historiques pour valider cet échange. Nous allons également pouvoir avancer avec l’appel à projets dans le cadre d’Action Cœur de Ville », a précisé Sophie Charles.

    Quant aux prochaines étapes, la maire de Saint-Laurent-du-Maroni a évoqué le lancement des divers programmes de travaux, qui s’inscrivent dans une perspective de cinq à dix ans. « Nous allons maintenant mettre en œuvre les études nécessaires et suivre le calendrier des travaux. Ce sont des programmes de long terme, mais indispensables pour le développement de notre ville », a-t-elle conclu. Cet échange entre la Ville et l’État marque donc une étape cruciale dans le processus de rénovation de Saint-Laurent-du-Maroni, avec des projets ambitieux qui contribueront à transformer le visage de la commune dans les années à venir. 

    Damien Chaillot

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  • Visite du camp de Saint Jean (RSMA) Camp de la Relégation Saint-Laurent-du-Maroni samedi 21 septembre 2024

    Visite du camp de Saint Jean (RSMA) Camp de la Relégation Saint-Laurent-du-Maroni samedi 21 septembre 2024

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    Visite du camp de Saint Jean (RSMA) Camp de la Relégation Saint-Laurent-du-Maroni, samedi 21 septembre 2024.

    Visite du camp de Saint Jean (RSMA) Samedi 21 septembre, 07h00, 16h00 Camp de la Relégation Places limitées à 15 personnes (par créneau), prévoir des chaussures fermées, casquette, bouteille d’eau et protection solaire

    Dates et horaires de début et de fin (année – mois – jour – heure) :
    Début : 2024-09-21T12:00:00 – 2024-09-21T15:00:00
    Fin : 2024-09-21T21:00:00 – 2024-09-21T23:00:00

    Découvrez le Régiment du Service Militaire adapté (RSMA) au camp de Saint-Jean lors des Journées du Patrimoine !
    Plongez dans l’histoire de ce site emblé matique, où chaque année des jeunes guyanais âgés de 18 à 25 ans se forment dans des métiers d’avenir et trouvent leur voie vers l’emploi. Une occasion unique de découvrir un lieu riche de traditions et d’engagement au service de la jeunesse guyanaise.

    Camp de la Relégation Entrée du RSMA au village de Saint-Jean, Saint-Laurent du Maroni, Guyane Française Saint-Laurent-du-Maroni 97320 Guyane Guyane 0694 20 64 64 http://www.bagne-stjean.com [{“type”: “phone”, “value”: “0694424299”}, {“type”: “email”, “value”: “ciap.slm@saintlaurentdumaroni.fr”}] Surnommés « Pieds de Biche », les relégués n’avaient pas commis de faute grave mais avaient récidivé. Ces hommes étaient placés sous l’autorité de l’Administration Pénitentiaire mais n’étaient pas astreints aux travaux forcés. Si leur cas était jugé lourd, ils devaient travailler et étaient enfermés la nuit: c’était la relégation collective, basée à Saint-Jean. Les autres étaient libres avec l’autorisation de vivre dans la commune de leur choix. Il y eut près de 18 000 relégués. A 17 km de Saint-Laurent du Maroni, au village de Saint-Jean

    A l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2024, venez découvrir l’ancien camp pénitientiaire de Saint-Jean.

    RSMA

    Visite du camp de Saint Jean (RSMA) Camp de la Relégation Saint-Laurent-du-MaroniVisite du camp de Saint Jean (RSMA) Camp de la Relégation Saint-Laurent-du-Maroni

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  • Saint-Laurent-du-Maroni : report de la rentrée scolaire pour certaines classes – Mo News

    Saint-Laurent-du-Maroni : report de la rentrée scolaire pour certaines classes – Mo News

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    Neuf classes à Saint-Laurent ne pourront pas accueillir les élèves ce lundi pour la rentrée des classes.

     

    La municipalité de Saint-Laurent-du-Maroni a annoncé le report de la rentrée scolaire pour neuf classes maternelles en raison d’un retard dans la livraison du mobilier scolaire.

    Sont concernées : trois classes du groupe scolaire Élisee Giffard, et une classe dans les écoles Elie Stephenson, Henri Sabayo, Laure Polus, Suzette Labadie Cambot, Georges Habran Mery, et Armide Euzet.

    La rentrée est désormais prévue pour le 23 septembre au plus tard.

    La municipalité s’excuse pour ce contretemps.

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  • Tour cycliste de Guadeloupe, 5e étape : Gourbeyre / Les Abymes

    Tour cycliste de Guadeloupe, 5e étape : Gourbeyre / Les Abymes

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    Gourbeyre / Les Abymes pour la 5e étape de ce 73e Tour cycliste international de la Guadeloupe, déjà bien entamé.

    Ce mercredi l’étape passera par Trois-Rivières, Goyave, Morne-à-l’Eau, mais aussi Sainte-Anne, entre autres.

    158,9 kilomètres

    Un départ fictif sera donné à la mairie de Gourbeyre avant le départ lancé à 10 heures au giratoire Dos d’âne.

    L’arrivée est estimée à 13h41 à l’Office du tourisme des Abymes.

    Plusieurs points de montagnes ont été répertoriés sur cette étape. On les retrouve dès le départ avec un des plus gros à l’Ermitage (432m), puis en seconde partie de course avec trois passages à Masselas (113m) à Sainte-Anne.

    Tous les détails de la cinquième étape à voir ici :

     

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