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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Village Solidaire : une deuxième édition marquée par l’engagement citoyen

    [Guyane la 1ʳᵉ] Village Solidaire : une deuxième édition marquée par l’engagement citoyen

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    2024-05-21 08:58:13

    Le 18 mai, Saint-Laurent du Maroni a accueilli la deuxième édition du Village Solidaire. Organisé par le Lions Club, cet événement a réuni neuf associations pour sensibiliser le public à diverses causes sociales et sanitaires, avec des actions de dépistage et des ateliers éducatifs.


    Le Secours Catholique a organisé une « vesti boutique », qui a vendu des vêtements à des prix symboliques pour financer leurs actions.


    Le Village Solidaire a animé le marché central de Saint-Laurent-du-Maroni samedi dernier. Organisé par le Lions Club, cet événement a réuni neuf associations œuvrant dans le caritatif et la santé.

    Nous avons voulu créer un espace où les associations peuvent se faire connaître et interagir directement avec le public

    a expliqué Shirley Déralus, présidente du Lions Club. Parmi les participants, l’association Aids, Secours Catholique, le Campus des Métiers et des Qualifications, le Rotary Club et bien d’autres ont répondu présents.


    Démonstration des premiers gestes de secours dans le stand de la croix rouge


    Chaque association a proposé des activités spécifiques, comme le dépistage du diabète et de l’hypertension par le Lions Club, la formation aux premiers secours par la Croix-Rouge, et l’aide alimentaire par le samu social. Le Secours Catholique a organisé une « vesti boutique », qui vend des vêtements à des prix symboliques pour financer leurs actions.

    La journée a attiré une forte participation du public. Dès le début de la manifestation, le taux de fréquentation avait déjà dépassé celui de la première édition. Shirley Déralus a noté que de nombreuses personnes avaient déjà été dépistées pour le diabète en matinée, et elle espérait atteindre une centaine d’ici la fin de la journée.


    Caroline Mislin, médecin bénévole au Lions Club


    Le diabète est une maladie silencieuse, et beaucoup de gens ignorent qu’ils en sont atteints. Ce genre d’initiative est crucial pour leur santé

    a expliqué Caroline Mislin, médecin bénévole au Lions Club.

    En Guyane, la prévalence du diabète reste élevée, touchant près de 10 % de la population. Caroline Mislin, a insisté sur la nécessité de continuer les actions de dépistage pour sensibiliser et informer sur les risques. Les efforts de sensibilisation se poursuivront tout au long de l’année.

    Le Village Solidaire a démontré la force de la collaboration entre les différentes associations.


    Shirley Déralus, présidente du Lions Club


    C’est une première édition prometteuse, et nous envisageons déjà de réitérer l’événement l’année prochaine

    a déclaré Shirley Déralus. Les habitants de Saint-Laurent-du-Maroni peuvent s’attendre à de nombreuses initiatives solidaires dans les mois à venir.


    Les visiteurs affluent au stand du Lions Club pour profiter des dépistages gratuits du diabète et de l’hypertension, une initiative essentielle pour sensibiliser à ces maladies silencieuses.


    Avec l’engagement des associations présentes, le Village Solidaire a touché un large public et abordé diverses problématiques allant de la santé à l’assistance sociale. En attendant la prochaine édition, le succès de cette journée souligne l’importance de la solidarité et de l’action collective pour améliorer la vie quotidienne des citoyens.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Gala des Lindor 2024 : le triomphe de la musique urbaine devenue le premier genre musical en Guyane

    [Guyane la 1ʳᵉ] Gala des Lindor 2024 : le triomphe de la musique urbaine devenue le premier genre musical en Guyane

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    2024-05-20 11:28:04

    Le gala des Lindor aura lieu ce 25 mai dans la salle du Zéphyr. L’événement musical phare de l’année regroupe le gotha des artistes de Guyane. Dans un entretien, le président de l’association organisatrice Megamazonie, Jean-Pierre Karam évoque les nouvelles tendances musicales qui s’imposent dans le contexte guyanais, les musiques urbaines se sont fait une place de choix.

    Ce n’est que le 22 mai lors du « Before Lindor » que seront dévoilés les noms des premiers lauréats récompensés pour leurs productions durant les années 2022-2023 et le 25 mai le public connaîtra en live sur la scène du Zéphyr la chanson de l’année, la révélation de l’année et la meilleure collaboration de l’année.
    Pour cette édition 2024, le jury choisi a travaillé sous la direction d’une artiste, la flûtiste Michaëlle Ngo Yamb Ngan. Une professionnelle de la musique également directrice du  Conservatoire de Musique de Danse et Théâtre de Guyane qui a déclaré à propos de l’association : […] Les acteurs visibles et invisibles de cette organisation s’érigent en Veilleurs culturels. Ils provoquent de la plus belle des manières une rencontre entre les publics et la production. Ils reconnaissent et récompensent, ils sont les témoins d’un patrimoine culturel, collectif, contemporain. Ils collectent et archivent. Ils s’obstinent et détectent les pépites qui atteignent, touchent le cœur des guyanais.[…]

    Jean-Pierre Karam, le président de Megamazonie, infatigable défendeur de la musique guyanaise se souvient : « Les Lindor ont deux vies. Cela démarre en 1992 avec une émission créée pour RFO. Nous avons réalisé trois éditions dont la dernière avec le fameux saxophoniste auteur-compositeur Gaston Lindor revenu en Guyane accompagné de son épouse. Nous reprenons le concept en 2007 avec l’association Megamazonie. En 2019, la crise sanitaire nous contraint à un arrêt de 3 ans. Nous sommes revenus en 2023 avec quelques difficultés. Heureusement nous sommes accompagnés par les collectivités notamment la CTG sans leur soutien, il serait impossible de continuer. »

    Selon Jean-Pierre Karam, la Guyane est un terreau exceptionnel qu’il faut valoriser à tout prix et dans ce domaine la tenue d’un gala comme celui des Lindor s’avère plus que jamais essentiel pour l’avenir :

     « Cette cérémonie traduit une vraie réalité de l’évolution musicale en Guyane dans toute la diversité d’un pays en mouvement permanent qui ne cesse de grandir avec ses difficultés mais avec aussi ses forces et sa grande créativité. La musique accompagne tout un chacun dans la vie au quotidien et les artistes n’ont de cesse d’écrire un peu plus, chaque jour, la bande sonore de la musique guyanaise. Cela nous a beaucoup aidés pendant la période du covid. De véritables talents émergent et indéniablement il y a un vrai travail qui est effectué et au regard de ce qu’il se fait dans d’autres territoires de l’Outre-mer français, notre pays est vraiment différent. Nous sommes des continentaux et je crois que cet aspect des choses n’est pas suffisamment pris en compte. Nous avons deux grandes frontières et un mouvement permanent de populations tout cela crée un brassage considérable et inévitablement cela engendre de nouveaux genres musicaux. Les artistes sont en quête permanente de nouveaux sons et de nouvelles mélodies. Je suis personnellement très impressionné par cette authenticité musicale guyanaise. Malheureusement, cette réalité n’est pas suffisamment prise en compte même si je comprends le contexte difficile. Tout le monde le sait maintenant que le premier genre musical en Guyane est  la musique urbaine qui se décompose en plusieurs rythmes. La jeunesse qui occupe le terrain, s’investit dans la musique urbaine est en train de bousculer tous les codes. Cela ne vient pas uniquement de Cayenne mais de l’ouest de la Guyane et c’est énorme.

    On peut parler de vague musicale. A force de rechercher des sons, des artistes, d’essayer de comprendre ce qui se passe, je dirai


    Jean-Pierre Karam, président de l’association Megamazonie organisatrice du gala les Lindors de la musique guynaise


    que plus qu’une vague c’est un véritable tsunami musical qui se profile avec des talents considérables. Les écoles de musique publiques ou privées travaillent très bien. Quand je vois ce qui se passent sur les scènes, il y a de quoi être ébloui par tant de talents quel que soit les types d’instruments. Mais il y a aussi les autodidactes qui touchent aux nouvelles technologies et occupent de plus en plus d’espace. Ils renversent la table. »



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Un jeune Guyanais à Roland-Garros : le rêve de Lan Béchard

    [Guyane la 1ʳᵉ] Un jeune Guyanais à Roland-Garros : le rêve de Lan Béchard

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    2024-05-18 09:58:03

    À 15 ans, Lan Béchard est un Saint-Laurentais du Club Maroni Raquettes, qui s’apprête à réaliser un de ses rêves : devenir ramasseur de balles à Roland-Garros, un des plus prestigieux tournois de tennis au monde.


    Lan (au centre), entouré de ses coéquipiers de club, célèbre son titre de champion de Guyane de Beach Tennis U16, un moment de fierté et de camaraderie avant son départ pour Roland-Garros


    Sélectionné parmi 5 000 jeunes candidats, Lan a réussi à se démarquer grâce à ses compétences et à sa détermination. Après des entraînements intensifs et des évaluations en conditions réelles, il fait partie des rares élus à pouvoir participer à cet événement exceptionnel. Passionné de tennis depuis son plus jeune âge, Lan voit cette opportunité comme une étape clé pour atteindre son rêve de devenir joueur professionnel.

    Lan a suivi des formations spécifiques à Cayenne et a été évalué lors des finales des championnats de tennis de Guyane. Sur les six jeunes participants, seulement deux ont été choisis, dont Lan. La sélection repose sur des critères précis : concentration, précision dans les gestes, et capacité à rester vigilant tout au long des matchs. 


    Lan, concentré et déterminé, s’entraîne pour devenir ramasseur de balles à Roland-Garros, un rêve qui devient réalité pour ce jeune Guyanais passionné de tennis


    Pour Lan, cette expérience représente bien plus qu’une simple participation à un tournoi.

    Depuis que je suis tout petit, je pratique le tennis et j’adore ça. Je regarde les matchs, je voulais devenir joueur professionnel, je veux toujours

    confie-t-il. Être au contact des grands joueurs et s’inspirer d’eux est une opportunité qu’il compte bien saisir. De plus, Lan est également champion de Guyane de Beach Tennis en U16, ce qui témoigne de son talent et de sa passion pour ce sport.

    Ce voyage à Roland-Garros est aussi un cadeau pour Lan, qui fêtera ses 16 ans pendant le tournoi. C’est son deuxième cadeau de l’année, et il compte bien en profiter pleinement.


    Lan, tenant fièrement des balles de tennis. derrière lui son petit frère admiratif de son frère qui va enfin réaliser son rêve..


    Lan partira de Guyane le vendredi 17 mai, à 17h, accompagnée d’un autre jeune sélectionné. À leur arrivée à Paris, ils seront pris en charge par des encadrants de la Fédération française de tennis. L’expérience inclut une visite de Roland-Garros et des activités prévues par la fédération, bien qu’il ne connaisse pas encore tous les détails du programme.


    Lan en pleine concentration, prêt à représenter fièrement la Guyane en tant que ramasseur de balles lors du prestigieux tournoi de Roland-Garros


    Conscient des exigences scolaires, Lan a déjà prévu de suivre ses cours à distance. Ses camarades de classe l’aideront en lui envoyant les cours et les devoirs nécessaires pour ne pas prendre de retard pendant son séjour dans l’hexagone.

    Les parents de Lan, particulièrement son père et sa mère, sont extrêmement fiers de lui. Ancien joueur de tennis, son père rêvait également de devenir ramasseur de balles à Roland-Garros, rêve qu’il n’a pas pu réaliser. Lan se sent honoré de pouvoir vivre cette expérience et espère qu’elle l’aidera à progresser dans son parcours sportif.

    Bien que la Fédération ait interdit aux ramasseurs de demander des autographes ou de déranger les joueurs, Lan est ravi de pouvoir être en contact avec ses idoles du tennis.

    J’espère que je vais avoir un bon voyage, que j’aurai une bonne expérience. Vu que je vais à Roland-Garros, je pense forcément que ça va me plaire

    conclut-il avec enthousiasme.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Vidéo. Mana accueille trois jeunes bénévoles béninois pour un échange de compétences enrichissant

    [Guyane la 1ʳᵉ] Vidéo. Mana accueille trois jeunes bénévoles béninois pour un échange de compétences enrichissant

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    2024-05-17 07:14:14

    Arrivés mardi 14 mai, trois jeunes volontaires béninois ont été officiellement accueillis mercredi à la mairie de Mana, pour débuter leur mission de six mois par une immersion culturelle profonde dans leur nouvelle communauté. Ce programme de coopération internationale « Territoires Volontaires » favorise l’échange de compétences et l’enrichissement culturel.

    La journée du 15 mai a été marquée par une réception protocolaire organisée à la mairie de Mana pour trois jeunes béninois, fraîchement arrivés dans le cadre du projet « Territoires Volontaires ». Cette réception officielle a offert aux jeunes une plateforme précieuse pour rencontrer leurs tuteurs et s’immerger dans l’histoire locale.


    Les trois Béninois posent devant la statue de la mère Anne-Marie Javouhey, fondatrice de la commune de Mana


    Une présentation détaillée de l’histoire de Mana, réalisée à travers une projection, a permis aux volontaires de comprendre le riche patrimoine et les traditions de la commune. Cette introduction a non seulement servi à informer mais aussi à connecter les jeunes à leur nouvel environnement. Après la réception, les jeunes ont visité les différents quartiers excentrés de la ville, notamment le secteur de Charvein et l’Acarouany, un site historique significatif de Mana. Là, ils ont eu l’opportunité unique d’échanger avec une sœur de Saint-Joseph de Cluny, fondée par la soeur Anne-Marie Javouhey. Ces interactions ont enrichi leur première journée par des échanges interculturels poignants et éducatifs. La journée s’est conclue par une visite au village de Javouhey, lieu emblématique de la commune, connu pour son histoire et sa communauté vibrant d’héritages culturels divers. Cette étape a permis aux volontaires de se plonger encore plus profondément dans les traditions locales et de comprendre l’importance de la coexistence culturelle à Mana.

    Valère Akodegbe, un étudiant en sciences juridiques de 20 ans, est venu pour accompagner des activités éducatives et environnementales à Mana.


    Valère Akodegbe, étudiant en sciences juridiques


    Je suis ici pour une mission de service civique à Mana qui va se dérouler durant 6 mois. Ma motivation est de connaître la culture de Mana et de partager la culture béninoise

    a-t-il expliqué. Valère travaillera sous la supervision de Béatrice David, directrice de la Maison Familiale Rurale de Mana.

    Romaric Hounkanlin, âgé de 25 ans et spécialiste en développement social, apportera ses compétences en informatique et urbanisme au service technique de Mana. 


    Romaric Hounkanlin, spécialiste en développement social


    Je vais participer aux associations menées par le service technique, en particulier dans l’urbanisme. J’espère apporter mes connaissances et en apprendre davantage sur les techniques locales

    Théodore Adossou, titulaire d’une licence en Sciences de la Vie et de la Terre, se concentrera sur les pratiques agricoles au sein du Groupement de Développement Agricole de Mana.


    Théodore Adossou, titulaire d’une licence en Sciences de la Vie et de la Terre


    Ce qui m’a motivé, c’est ma passion pour l’agriculture et l’opportunité de partager et d’apprendre des nouvelles techniques agricoles. C’est une opportunité unique pour moi de gagner des expériences et de mettre en pratique mes connaissances

    Le projet « Territoires Volontaires » vise à favoriser un échange enrichissant entre jeunes de différentes cultures. Les participants, âgés de 18 à 25 ans, sont sélectionnés via un processus rigoureux d’entretiens mené par France Volontaires pour s’assurer de leur préparation et de leur motivation. À Mana, les volontaires béninois sont accueillis dans des structures telles que le service technique, le GDA pour l’agriculture et la MFR pour la formation rurale, choisies en fonction de leurs compétences spécifiques. Ils reçoivent un soutien complet comprenant hébergement, indemnité de séjour, sécurité sociale et accompagnement pour leur adaptation.


    Ce programme ne se limite pas à un simple échange de compétences, mais vise à créer des liens durables et à enrichir les communautés d’accueil. À Mana, l’arrivée des jeunes béninois permet un apport de nouvelles perspectives et compétences dans des domaines variés, tout en offrant aux volontaires une immersion culturelle profonde. De plus, dès lundi prochain, trois jeunes de la ville de Mana partiront également au Bénin pour être accueillis dans le cadre de cet échange. Ce projet promet de renforcer les relations internationales et de promouvoir une compréhension mutuelle enrichissante entre les jeunes de différentes régions, et contribuer à des développements locaux significatifs et à l’enrichissement personnel des participants.


    Photo de groupe avec les élus, les tuteurs et les chefs de service posant avec les jeunes Béninois




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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Formation et emploi : France Travail Saint-Laurent-du-Maroni mise sur l’alternance

    [Guyane la 1ʳᵉ] Formation et emploi : France Travail Saint-Laurent-du-Maroni mise sur l’alternance

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    2024-05-16 08:47:33

    Ce 15 mai à Saint-Laurent-du-Maroni, France Travail a organisé une journée de l’alternance pour informer et mobiliser autour des opportunités de formation. Cet événement s’inscrit dans une initiative nationale qui vise à promouvoir l’alternance dans la région ouest.


    Échange personnalisé : un conseiller discute des options de carrière en alternance avec des participants intéressés


    Dans le cadre de la semaine nationale de l’alternance, France Travail Saint-Laurent-du-Maroni a pris une initiative proactive en organisant une journée spéciale dédiée à l’alternance sur la place du marché local. Lorry Ho Shui Ling, le directeur adjoint à France Travail, a expliqué que l’événement visait à informer et à attirer principalement les demandeurs d’emploi âgés de 16 à 30 ans intéressés par les contrats d’apprentissage et de professionnalisation.


    Lorry Ho Shui Ling, le directeur adjoint à France Travail a exprimé sa satisfaction de la réussite de cette journée


    Nous nous engageons à fournir des opportunités significatives pour nos jeunes, afin qu’ils puissent se former et s’intégrer dans le marché du travail local de manière durable

     a souligné Lorry Ho Shui Ling.

    Des institutions telles que la chambre des métiers, la chambre de commerce et d’industrie de la Guyane, Equinox formation, LV consultant, et plusieurs autres organismes de formation ont été conviés pour présenter leurs programmes. Ces organismes jouent un rôle crucial dans la fourniture d’informations précieuses sur les différentes formations disponibles.


    Rencontre entre demandeurs d’emploi et professionnels pour forger des parcours professionnels réussis


    L’événement a également servi de plateforme pour connecter ces jeunes et autres participants avec des formateurs et des entreprises, pour faciliter leur intégration dans le monde professionnel grâce à l’alternance.

    C’est une belle opportunité pour nous, les jeunes, de voir toutes les options disponibles et de pouvoir parler directement avec les employeurs,

     a déclaré Anaïs, une jeune participante. Pierre, un autre demandeur d’emploi, a ajouté : « Ces rencontres nous donnent espoir et nous montrent que des efforts sont faits pour notre avenir professionnel. »

    En plus de répondre aux besoins des demandeurs d’emploi, cette initiative vise à ajuster les offres de formation aux besoins des entreprises locales, et favoriser une synergie entre la formation professionnelle et les exigences du marché du travail. Le choix de tenir cet événement sur le lieu très fréquenté du marché de Saint-Laurent a été stratégique, pour permettre de maximiser la portée et l’impact de l’événement. Avec plus de 200 participants lors de cette journée et une trentaine de professionnels mobilisés pour accueillir le public, cet événement a marqué un effort significatif pour renforcer l’offre de formation en alternance dans l’ouest guyanais.


    Unis pour l’emploi : l’équipe de France Travail, prête à accueillir et orienter le public lors de la journée de l’alternance à Saint-Laurent-du-Maroni


    Les organisateurs prévoient de répéter cette opération, pour souligner l’importance de la proximité et de l’accessibilité pour surmonter les obstacles à la mobilité et à l’emploi dans la région. Un bilan de l’événement sera dressé ultérieurement, pour inclure les retours d’une enquête de satisfaction lancée pour mesurer l’impact de cette journée sur les participants.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Vidéo. Les Olympiades des écoles à Saint-Laurent-du-Maroni : Une ouverture spectaculaire sous le signe de l’unité et de l’olympisme

    [Guyane la 1ʳᵉ] Vidéo. Les Olympiades des écoles à Saint-Laurent-du-Maroni : Une ouverture spectaculaire sous le signe de l’unité et de l’olympisme

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    2024-05-15 11:52:14

    Le 14 mai 2024, Saint-Laurent-du-Maroni a vibré au rythme des Olympiades des écoles, une manifestation éclatante inaugurée par des discours motivants, un défilé haut en couleur et des prestations artistiques, rassemblant 650 élèves de la ville pour célébrer l’esprit des prochains Jeux Olympiques de Paris.

    Un moment fort pour la communauté éducative et sportive de Saint-Laurent-du-Maroni avec le début des Olympiades des écoles ce 14 mai. Cet événement, orchestré par l’association Ouest Sport Guyane et la Cité Éducative, avec le soutien de la municipalité, du rectorat et de l’État, a vu sa cérémonie d’ouverture se dérouler dans une ambiance festive au stade de la ville, qui a réuni élèves et enseignants de 26 écoles élémentaires de la région.

    La cérémonie a été inaugurée par un discours émouvant de Madame Josette Lo-A-Tjon, adjointe au maire, qui a mis en avant les valeurs de respect, d’amitié et de vivre ensemble, fondamentales pour cet événement. Elle a souligné l’importance de ces jeux non seulement comme compétition sportive mais aussi comme moyen de renforcer les liens communautaires et d’encourager la jeunesse.

    Ania Mahasingh, coordinatrice de la Cité Éducative, a partagé la vision derrière l’organisation des Olympiades.

    Le projet des Olympiades est né de l’idée de rapprocher l’esprit des Jeux Olympiques de Paris à notre ville, en créant un pont culturel et sportif entre Paris et Saint-Laurent-du-Maroni

    a-t-elle expliqué. Elle a également évoqué l’objectif d’inspirer et de découvrir de futurs talents sportifs dans la région.

    Le point culminant de la matinée a été le défilé vibrant des participants, où chaque classe représentait un pays différent, qui symbolise l’unité à travers la diversité. Ce moment a été suivi de prestations artistiques locales et de la « Danse des jeux », où les élèves ont performé en deux groupes symbolisant les couleurs olympiques et l’unité mondiale, qui illustrent les valeurs olympiques de solidarité et de compétition équitable.

    La cérémonie d’ouverture des Olympiades des écoles de Saint-Laurent-du-Maroni a non seulement mis en valeur le talent et l’enthousiasme des jeunes athlètes mais a également marqué le début de deux jours de compétitions sportives qui auront lieu le 16 et 17 mai.




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  • [Guyane la 1ʳᵉ] La sous-préfecture de Saint-Laurent-du-Maroni face à un trafic de rendez-vous.

    [Guyane la 1ʳᵉ] La sous-préfecture de Saint-Laurent-du-Maroni face à un trafic de rendez-vous.

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    2024-05-14 10:32:36

    Depuis un an, les habitants de Saint-Laurent-du-Maroni peinent à obtenir des rendez-vous à la Sous-préfecture. Entre files d’attente exténuantes et un marché noir géré par des intermédiaires indélicats, la situation s’aggrave, avec des rendez-vous revendus jusqu’à 480 euros


    À Saint-Laurent-du-Maroni, obtenir un rendez-vous administratif est devenu une véritable manne pour des personnes qui ont décidé d’en faire une source de revenus. La Sous-préfecture, bien que dotée d’un système de prise de rendez-vous en ligne, se transforme en source de frustrations pour des résidents désemparés, souvent incapables de trouver des créneaux disponibles. Ce désagrément a engendré un marché noir prospère, où des intermédiaires extérieurs à l’administration exploitent la détresse des usagers, pour vendre des rendez-vous à des prix exorbitants.


    Attendre devant les grilles de la sous-préfecture devient un véritable parcours du combattant pour les résidents


    Les témoignages de résidents mécontents désirant conserver leur anonymat se multiplient. Parmis eux, Iris Leter, à décider de briser la chaîne du silence, elle décrit une situation chaotique

    Les personnes sont incapables de payer des sommes allant de 200 à 480 euros pour un rendez-vous elles se retrouvent donc sans aucune solution.

     nous affirme t-elle.

    Le problème fait également écho sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes expriment leur exaspération et confirment une situation jugée intolérable. Selon Iris, « la Sous-préfecture est pleinement consciente de ces pratiques mais demeure passive ». Elle appelle à un retour à une gestion plus traditionnelle, avec une prise de rendez-vous directement à la Sous-préfecture. 


    Les résidents patientent à l’extérieur, exposés aux intempéries, en attendant d’être reçus.


    Actuellement, les résidents doivent patienter sous la pluie ou le soleil, sans aucun abri. Ces conditions déplorables reflètent, selon les administrés rencontrés anonymement devant le portail d’accueil de la Sous-préfecture, non seulement une défaillance dans la gestion des services publics mais aussi un manque de considération pour le bien-être des citoyens.

    Pour les résidents, la solution passe par une refonte complète du système de rendez-vous et une meilleure organisation des services pour garantir équité et efficacité. Iris Leter est claire : 

    Il est temps pour les autorités de prendre leurs responsabilités et de mettre fin à un système qui, en plus d’être pénalisant, exploite ceux qu’il est censé servir.

    Pour l’instant, la préfecture n’a pas encore répondu à nos demandes d’informations visant à clarifier les désagréments observés dans l’accueil par les résidents.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Les travaux lancés : l’ancienne maternité de Mana en route vers sa transformation culturelle

    [Guyane la 1ʳᵉ] Les travaux lancés : l’ancienne maternité de Mana en route vers sa transformation culturelle

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    2024-05-14 08:24:29

    La vénérable bâtisse de l’ancienne maternité de Mana, érigée entre 1828 et 1836 par Anne Marie Javouhey, va connaître une seconde vie. Prévue pour décembre 2024, sa transformation en service culturel vise à préserver son héritage tout en enrichissant la vie communautaire.


    Maquette de la nouvelle maternité de Mana qui sera transformée en service culturelle une fois les travaux terminés


    L’histoire de l’ancienne maternité de Mana est intimement liée aux premières années de lutte contre la mortalité infantile en Guyane, fonction qu’elle a remplie jusqu’à la fin des années 1970. Ce choix symbolique pour sa reconversion en espace culturel souligne l’importance de ce site pour la communauté mananaise et guyanaise. À ce propos, Madame Arlène Bourguignon 1ère adjointe exprime sa vision du projet : 


    Arlène Bourguignon 1ère adjointe au maire déléguée à la communication


    C’est le défi que nous voulons relever, une modernité qui honore le savoir ancestral.

    La restauration respectera l’architecture créole originelle, notamment à travers la reconstruction des charpentes et la conservation des matériaux traditionnels comme le bois de corbaril et de Wapa, ainsi que les briques. Les travaux, qui comprennent la démolition soigneuse et la récupération de matériaux, visent à maintenir l’authenticité du bâtiment tout en intégrant des éléments modernes pour un nouveau service culturel.


    Ancienne maternité de Mana en travaux


    Ce projet, d’un budget de 1,3 million d’euros, est financé par plusieurs entités dont l’État, la Fondation du Patrimoine, et les fonds locaux de la Commune de Mana. Il bénéficie également de partenariats avec des organismes culturels et historiques dans le cadre de la labelisation « Pays d’Art et d’Histoire ».

    L’impact attendu de cette initiative est multiple : maintenir la mémoire historique, renforcer l’identité locale et attirer les touristes. Le nouveau centre accueillera des activités dédiées à la culture et à l’interprétation du patrimoine architectural, pour contribuer au dynamisme culturel de Mana.

    Des études d’impact et des consultations publiques ont été menées pour s’assurer que ce projet de restauration respecte les valeurs historiques et répond aux attentes de la communauté. Avec une fin des travaux prévue pour fin 2024, Mana se prépare à tourner une nouvelle page de son histoire riche et diversifiée.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Attaque armée sur une pirogue entre Grand-Santi et Saint-Laurent-du-Maroni

    [Guyane la 1ʳᵉ] Attaque armée sur une pirogue entre Grand-Santi et Saint-Laurent-du-Maroni

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    2024-05-10 11:18:29

    Mercredi 8 mai, vers 13h00 près des îles Portal, une pirogue transportant 25 passagers entre Grand-Santi et Saint-Laurent-du-Maroni a été interceptée par 5 à 6 hommes armés. Ces derniers ont tiré en l’air pour forcer les passagers à leur remettre argent et bijoux. Aucun blessé n’est à déplorer.


    Selon des témoins, les assaillants, équipés d’armes lourdes, sont apparus soudainement avant de tirer en l’air


    L’incident s’est produit en plein jour, quand les passagers qui effectuaient la liaison fluviale entre Apatou et Saint-Laurent-du-Maroni vers l’île Portal. Selon des témoins, les assaillants, équipés d’armes lourdes, sont apparus soudainement avant de tirer en l’air, une manœuvre visiblement destinée à maîtriser et intimider les 25 personnes à bord sans provoquer de blessures physiques.

    Les victimes, sous la menace, ont été contraintes de remettre tout ce qu’elles possédaient de valeur, incluant argent liquide, bijoux et autres biens personnels. L’attaque a duré quelques minutes avant que les assaillants ne disparaissent aussi rapidement qu’ils étaient apparus, laissant derrière eux un groupe choqué mais physiquement indemne.

    Les autorités locales ont été alertées et une enquête a été rapidement lancée par la brigade de recherche de la gendarmerie de Saint-Laurent-du-Maroni pour identifier et tenter d’interpeller les responsables de ce braquage audacieux. Cette attaque soulève des questions sur la sécurité des liaisons fluviales dans la région, souvent empruntées pour les déplacements quotidiens et considérées comme vitales pour la connexion entre les différentes communautés riveraines.

    Cette attaque a touché plusieurs membres de la communauté éducative, a révélé le Recteur de l’académie de Guyane dans un communiqué. Des enseignants ainsi que des élèves accompagnés de leurs familles, originaires de Grand Santi, Monfina et Apagui, figuraient parmi les victimes. En réponse à cet acte violent, le Recteur a condamné fermement l’agression et annoncé des mesures immédiates pour renforcer la sécurité.

    Face à l’urgence de la situation, toutes les activités non-essentielles des établissements scolaires nécessitant des déplacements en pirogue sur le Maroni, telles que les sorties pédagogiques, sont suspendues jusqu’à nouvel ordre. Cette décision reste en vigueur en attendant une évaluation plus complète des risques sécuritaires dans cette zone.

    Dès le début de la semaine prochaine, des équipes du rectorat seront déployées à Grand Santi, Monfina et Apagui. Elles mettront en place une cellule d’écoute pour soutenir les enseignants et les élèves affectés par l’incident et discuter des prochaines étapes pour garantir leur sécurité.

    Le Recteur a également souligné l’importance cruciale de la sécurité pour le bon déroulement de l’enseignement et a assuré que des mesures seraient prises en collaboration étroite avec les forces de l’ordre pour éviter toute récidive. Il a exprimé son plein soutien aux victimes de cet acte traumatisant, réaffirmant l’engagement de l’académie à maintenir un environnement sûr pour l’éducation.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Cyclisme : Une délégation de 85 passionnés de vélo guyanais a relié Albina à Paramaribo

    [Guyane la 1ʳᵉ] Cyclisme : Une délégation de 85 passionnés de vélo guyanais a relié Albina à Paramaribo

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    2024-05-10 07:06:59

    45 cyclistes guyanais ont démarré une expédition de 140 km ce matin d’Albina à Paramaribo. Accompagnés de 40 autres membres, ce périple est orchestré par l’association Team97320, réunissant des amateurs dévoués de cyclisme.


    La grande traversée : 85 cyclistes Guyanais prêts pour relier Albina à Paramaribo


    Ce matin, depuis Albina, une petite ville frontalière avec Saint-Laurent du Maroni, 85 passionnés de vélo ont pris le départ pour une seconde édition mémorable de l’événement cycliste Guyane-Paramaribo. Organisée par l’association Team97320, cette randonnée de 140 kilomètres illustre une passion commune pour le vélo et le désir de renforcer la coopération régionale.


    Les neuf cyclistes féminines, souriantes et pleines d’entrain, se préparent à Albina pour entamer le parcours de 140 km jusqu’à Paramaribo


    Paul Ho-Kon-Tiat, un membre actif de l’association, partage l’esprit de l’événement : « Ce n’est pas une compétition mais un moment de convivialité, une occasion de faire du vélo avec des amis et de partager notre amour pour ce sport. » L’événement compte 40 coureurs, dont 9 femmes bénévoles, et plusieurs nouveaux venus dans le monde du vélo.


    Claude Cheung A Long, également membre de l’association, souligne l’aspect découverte de l’expédition : 

    Notre objectif est de découvrir Paramaribo d’une manière différente, en vélo plutôt que par la route traditionnelle. Après l’effort, nous profiterons d’un séjour de deux jours pour explorer et célébrer ensemble.

    Nicole, la doyenne des cyclistes à 64 ans, exprime son enthousiasme au départ :

    Malgré une petite peur de la pluie, nous avons été gâtés par le temps. L’ambiance est joyeuse et nous sommes toutes motivées pour atteindre Paramaribo sans encombre.

    Les 40 coureurs ont pris le départ à 8h et sont arrivés sains et saufs à Paramaribo à 15h, marquant la réussite de cette entreprise collective.

    Cet événement souligne non seulement l’esprit communautaire et familial de l’association mais aussi la volonté d’inclure des participants de tous âges et niveaux, dans l’esprit de favoriser la solidarité et l’amitié parmi les cyclistes.



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