Catégorie : Gyane1ere

  • [Guyane la 1ʳᵉ] Saint-Laurent du Maroni : décès tragique d’une fillette de 10 ans emportée par la marée de la rivière La Balaté.

    [Guyane la 1ʳᵉ] Saint-Laurent du Maroni : décès tragique d’une fillette de 10 ans emportée par la marée de la rivière La Balaté.

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    2024-04-08 10:55:07

    Samedi 6 avril, vers 15h30, un drame s’est produit à Saint-Laurent du Maroni où une jeune fille de 10 ans, a été tragiquement emportée par le courant d’une marée montante sur la rivière de La Balaté.

    Deux sœurs, âgées de 11 et 10 ans, se sont aventurées dans les eaux peu profondes de La Balaté, non loin de leur domicile. Leur baignade a viré au cauchemar lorsque la marée montante a soudainement fait monter le niveau de l’eau, les mettant en grande difficulté.

    Un pêcheur non loin des faits, témoin de la scène, est parvenu à sauver l’une des jeunes filles. Malheureusement, malgré ses efforts, la seconde a été emportée par les flots, déclenchant une opération de recherche coordonnée par les forces de la gendarmerie et les sapeurs-pompiers jusqu’à la tombée de la nuit.

    C’est finalement vers 23h, que le corps sans vie de la jeune fille a été retrouvé par son oncle à une dizaine de mètres du lieu de la baignade où elle jouait avec sa sœur.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Les Guyanais ont subi en moyenne 6 heures de coupure d’électricité en 2023

    [Guyane la 1ʳᵉ] Les Guyanais ont subi en moyenne 6 heures de coupure d’électricité en 2023

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    2024-04-06 18:14:10

    Ce vendredi 5 avril, EDF a présenté le bilan de son activité en 2023. Les coupures d’électricité sont à la hausse par rapport à 2022 et à une fréquence six fois supérieure à celle de l’Hexagone. L’entreprise espère améliorer le réseau cette année, mais les effets ne se feront pas ressentir tout de suite.

    C’est une augmentation en partie liée à la panne générale d’août 2023. L’année dernière, le temps moyen d’interruption d’électricité par habitant a augmenté par rapport à 2022 ; il est passé de 5h par an à 5 h 45.

    Dans l’Ouest, cette moyenne est vraisemblablement plus importante. L’entreprise EDF y a comptabilisé une centaine des pannes, soit une tous les trois jours. Dans l’Hexagone, Enedis, filiale d’EDF et gestionnaire du réseau électrique a estimé à 56 minutes le temps de coupures moyen par habitant sur un an.

    Plusieurs raisons expliquent ces nombreuses coupures. « 40% de ces pannes proviennent de la présence de végétaux près des lignes, donc de problèmes d’élagage. Les autres raisons sont des incidents techniques, qui peuvent être provoqués par les conditions climatiques – orages, pluies – et ensuite des agressions extérieures d’ouvrages, dont le branchement illégal dans les habitats informels ou les travaux sur les voiries », détaille Martin Voisin, directeur d’EDF Guyane.

    Concernant l’ouest de la Guyane, davantage touché par les pannes, un seul réseau de distribution d’énergie permet d’approvisionner ces communes, contre deux pour le littoral, ce qui ne permet pas d’avoir de relais en cas de coupure.

    À noter en revanche que les coupures d’électricité en Guyane ne sont pas liées au manque d’infrastructures, qui, grâce notamment au barrage Petit-Saut, parviennent à subvenir aux besoins de la population.

    En outre, la coupure générale d’électricité en août 2023, qui a privé 48 200 foyers de courant pendant plusieurs heures, a permis de tirer certaines leçons, assure le directeur d’EDF Guyane.

    Cette panne a été déclenchée au niveau de la ligne qui descend de Petit-Saut à Kourou. Nous avons fait beaucoup de travaux de maintenance, changé les pièces qui posaient problème. Je ne peux pas promettre qu’il n’y aura plus d’incident généralisé mais je pense que nous avons fait ce qu’il fallait.

    Martin Voisin, directeur d’EDF Guyane

    En 2024, l’entreprise espère réduire le temps moyen de coupures à 5h par an, soit un retour à la moyenne de 2022. « Pour que l’on baisse davantage, il faut que les infrastructures évoluent. Ce sont des ouvrages qui nécessitent d’importants travaux. D’ici deux trois ans nous pourrons voir leurs effets », affirme Martin Voisin.

    Ces travaux concernent notamment des opérations d’élagage, dont le budget a été doublé à 14 millions d’euros sur six ans. L’entreprise explique vouloir « poursuivre les travaux de maintenance sur les lignes 20 000 V » et « moderniser le réseau ». Cela nécessite davantage de personnel au sein de l’entreprise ; 32 nouveaux opérateurs doivent être recrutés cette année, faisant passer le nombre de salariés de 523 à 550.

    Enfin, sur le plus long terme, l’entreprise prévoit de créer un deuxième réseau de distribution d’énergie sur le littoral ouest de la Guyane. Encore au stade d’étude, ce projet pourrait être lancé « au plus tôt d’ici 2028 pour voir le jour en 2032 ». En attendant, d’autres projets énergétiques sont en cours dans l’Ouest, comme la CEOG (Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais), un projet du fonds d’investissement Meridiam, de la Société anonyme de la raffinerie des Antilles et Hydrogène de France, souhaité par les élus de l’ouest mais contesté par la population Kalin’a qui vit à proximité de la centrale.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] La rage sur le territoire de Maripasoula : Le maire Serge Anelli, réclame davantage de transparence dans la gestion de la crise sanitaire

    [Guyane la 1ʳᵉ] La rage sur le territoire de Maripasoula : Le maire Serge Anelli, réclame davantage de transparence dans la gestion de la crise sanitaire

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    2024-04-06 14:10:43

    Alerté le 3 avril, seulement la veille, par le préfet sur les mesures d’urgence dues à la circulation de la rage à Eau Claire, le maire de Maripasoula, Serge Anelli, regrette les difficultés engendrées par cette notification tardive. Il insiste sur la nécessité d’une meilleure coordination renforcée entre l’Etat et la commune pour assurer la sécurité et la santé de ses administrés.


    Distance entre Maripasoula et Eau Claire



    Suite à l’annonce de la circulation de rage transmise par des chauves-souris dans le secteur d’Eau Claire à Maripasoula, un arrêté préfectoral a été émis. Il interdit l’accès à la zone et invite les résidents à évacuer au plus vite.
    Cette mesure drastique, soutenue par la surveillance des forces militaires et de gendarmerie, a été mise en place pour contrôler la propagation du virus. L’Agence Régionale de Santé prévoit également une campagne de prophylaxie post-exposition pour les personnes susceptibles d’avoir été en contact avec les animaux infectés.

    Face à cette crise sanitaire majeure le maire Serge Anelli a exprimé sa préoccupation : 

    Si on me prévient d’une guerre imminente sans m’avoir donné au préalable les signaux nécessaires pour m’y préparer, alors nous sommes confrontés à un sérieux problème.

    Une déclaration qui met en lumière la nécessité d’une communication efficace et immédiate en situation de crise, ainsi que la coordination entre les différentes autorités pour garantir la sécurité et le bien-être des citoyens.

    La situation géographique isolée d’Eau Claire qui se trouve à deux heures du bourg et est uniquement accessible par voie fluviale, ajoute une couche de complexité aux efforts d’évacuation et aux mesures de traitement.
    Le maire appelle à une intervention immédiate de l’État pour soutenir la commune dans la gestion de cette urgence et pour éviter la psychose parmi la population.

    Dans ce contexte difficile, Serge Anelli prévoit de communiquer directement avec les habitants pour les informer des développements officiels et des mesures de sécurité à suivre. Il espère que les actions entreprises permettront d’endiguer la circulation de la rage et de protéger les résidents de Maripasoula et des environs.

    Pour rappel en Guyane, trois personnes issues du site d’orpaillage d’Eau Claire ont succombé à l’hôpital de Cayenne entre le 17 février et le 1er mars 2024, suite à une rapide dégradation de leur état de santé. Les analyses ont confirmé la présence du virus de la rage chez l’un d’eux, tandis que les résultats pour les deux autres étaient encore attendus.

    L’opération d’évacuation sanitaire de la zone a été portée à la connaissance des médias dans la soirée du 4 avril. 

    • Quelques indications sur la rage

    La rage est une méningo-encéphalite mortelle des mammifères (chiens, chats, renards, ruminants… et aussi chauve-souris), transmise accidentellement à l’homme par morsure ou par contact avec la salive d’animaux infectés. Elle est due à un virus du genre Lyssavirus. La rage, une fois déclarée, est inexorablement mortelle quelles que soient les tentatives thérapeutiques. Cette maladie continue de tuer plusieurs dizaines de milliers de personnes par an dans le monde dont la majorité en Asie. Les derniers cas connus de rage en France remontent à 2016, un homme contaminé au Bengladesh et 2017, un enfant contaminé au Sri-Lanka. (Sources Institut Pasteur)



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Les travaux de nuit sur la Matourienne prévus jusqu’à fin mai

    [Guyane la 1ʳᵉ] Les travaux de nuit sur la Matourienne prévus jusqu’à fin mai

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    2024-04-05 11:02:55

    Depuis mercredi 3 avril, l’entreprise Eiffage réalise les travaux de réhabilitation de la RD24, entre le giratoire Adélaïde Tablon et Cogneau-Lamirande. La route est dorénavant fermée entre 20h et 5h pour accélérer le chantier. Des déviations ont été mises en place.

    Mauvaise nouvelle pour les automobilistes. Dorénavant, la RD24 ou Matourienne ferme entre 20h et 5h du matin pour faciliter le travail des opérateurs entre le giratoire Adélaïde-Tablon et Cogneau-Lamirande. La CTG indique que ces travaux doivent durer jusqu’au 31 mai, sous réserve que la météo soit bonne. Les automobilistes devront emprunter des déviations, pour accéder à Cogneau-Lamirande.

    Sur le deuxième secteur entre Rémire et Cogneau-Lamirande, il n’y a pas moyen de passer donc il faudra faire le tour. A partir de Cogneau, il est possible de reprendre la Matourienne puisque l’autre tranche est terminée.

    Zadkiel Saint-Orice, élu délégué aux infrastructures routières à la CTG

    Nécessitant le déploiement d’engins, ces travaux s’effectuent de nuit pour déranger le moins possible les usagers, nombreux à y défiler en journée.

    Les travaux nous permettent de gagner du temps, entre un et deux mois de travaux en fonction de la météo. Pour les opérateurs, c’est aussi plus agréable que sous le soleil à 40°C en journée.

    Dimitry Barty, conducteur travaux principal chez Eiffage Intra Guyane

    La remise à neuf de la Matourienne est un projet né sous la mandature de Rodolphe Alexandre, ancien président de la CTG. Les travaux ont débuté en 2023, depuis le giratoire Califourchon jusqu’à Adélaïde-Tablon. Ils ont déjà permis la création d’une voie verte de 9.5km, la mise en place d’éclairage public sur certains tronçons et la plantation de végétaux. Une fois les travaux finis, ils permettront de remettre complètement à neuf la chaussée de la RD24.

    Les travaux de la Matourienne ont débuté mercredi soir, à 20h, une fois la route fermée au passage des automobilistes.



    ©EC

    Pour la CTG, le projet était nécessaire, malgré les voix qui s’élèvent en Guyane pour la création de routes sur d’autres communes, notamment le long du Maroni.  

    Ce n’est pas parce qu’ailleurs on a ce problème d’enclavement, qu’il faut laisser les autres voiries en mauvais état. C’est un projet qui a le mérite d’exister et qu’il faut finir. C’est tout de même une route qui dessert l’aéroport, où l’on a beaucoup de trafic, notamment de poids lourds. Il fallait s’en occuper.

    Zadkiel Saint-Orice, élu délégué aux infrastructures routières à la CTG

    L’élu chargé des infrastructures routières signale sur ce point que la réfection de la route entre Apatou et Saint-Laurent est également en cours.

    Ces travaux ont coûté près de 25 millions d’euros, dont 5 171 200 provenant des fonds européens pour la création de la voie verte. La durée de vie de la nouvelle route est estimée entre 10 et 20 ans.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Saint-Laurent-Du-Maroni : UNSA PM s’établit en Guyane pour dynamiser la police municipale

    [Guyane la 1ʳᵉ] Saint-Laurent-Du-Maroni : UNSA PM s’établit en Guyane pour dynamiser la police municipale

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    2024-04-05 09:22:40

    L’UNSA PM, nouveau syndicat des policiers municipaux en Guyane, vise la reconnaissance de leurs droits et l’amélioration du dialogue social. Créé en décembre, il cherche à informer les administrations des obligations réglementaires envers leurs agents.


    La délégation de l’UNSA PM emmené par son sécrétaire général Eric Lam Tou Kaï, devant le Centre de Supervision Urbain


    L’arrivée de l’UNSA Police Municipale (PM) en Guyane constitue une évolution notable pour les agents territoriaux. Lancé en décembre, ce syndicat s’engage à clarifier son rôle et ses ambitions auprès des administrations locales tout en défendant les intérêts de ses membres.

    Éric Lam Tou Kaï, Secrétaire Général de l’UNSA PM Guyane, déclare : 

    Notre mission consiste à sensibiliser chaque administration à leurs responsabilités réglementaires et à l’évolution de carrière de leurs agents. Cette initiative prend une dimension particulière, étant la première dans les DOM-TOM.

    À travers des visites dans différentes communes, telles que Cayenne et Saint-Laurent-Du-Maurent, l’UNSA PM aspire à créer des sections locales et à nommer des délégués pour augmenter sa présence et son influence. Un des principaux défis identifiés par Eric Lam Tou Kaï est d’améliorer la sécurité à Saint-Laurent, une ville comptant près de 70 000 habitants. « La collaboration avec la maire, Sophie Charles, s’est avérée fructueuse, et a montré une volonté commune d’augmenter le nombre de policiers municipaux et de renforcer leur formation. »


    L’UNSA PM à la découverte des outils de surveillance


    Actuellement, la ville dispose de 23 agents, alors qu’une analyse des besoins de sécurité indique la nécessité d’en avoir au moins 50. Les discussions ont également porté sur des défis spécifiques tels que la lutte contre les taxis clandestins et la vente illégale, nécessitant une meilleure coordination entre la police municipale et la gendarmerie nationale. « Nous avons une convention de coordination qui définit les missions communes, mais il est essentiel de la mettre à jour pour y inclure ces nouveaux défis. »

    L’UNSA PM préconise une approche qui va au-delà de la simple prévention et appelle à une politique plus stricte face à la montée de la délinquance, ce qui requiert une augmentation des effectifs et une formation appropriée des agents. « Pour couvrir adéquatement une zone telle que Saint-Laurent-Du-Maroni, il est nécessaire d’avoir au moins 50 policiers municipaux actifs, » souligne Eric Lam Tou Kaï.

    La visite du centre de supervision urbain s’est révélée essentielle, mettant en lumière l’importance des technologies modernes comme outils d’efficacité pour les opérations policières. « Cet équipement permet de diriger les équipes et de capturer les auteurs de crimes et délits, » ajoute Eric Lam Tou Kaï, reconnaissant l’effort de la mairie pour fournir les ressources nécessaires à l’amélioration de la sécurité publique.

    Cette étape importante vers la constitution d’une force de police municipale en Guyane, plus forte et mieux équipée, est prête à relever les défis de sécurité de la région.



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  • [Guyane la 1ʳᵉ] Clarisse Da Silva : une Saint-Laurentaise porte-parole de la jeunesse autochtone à l’ONU

    [Guyane la 1ʳᵉ] Clarisse Da Silva : une Saint-Laurentaise porte-parole de la jeunesse autochtone à l’ONU

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    2024-04-03 20:38:55

    La Jeunesse Autochtone de Guyane (JAG) participera au Forum des Nations Unies sur les questions autochtones à New York, du 15 au 26 avril 2024. Clarisse Taulewali Da Silva, originaire de Saint-Laurent-Du-Maroni, a bénéficié d’une bourse de l’ONU pour défendre les droits des peuples autochtones guyanais.


    Mécanisme d’expert sur les droits des peuples autochtones à Genève (juillet 2023)


    Clarisse Taulewali Da Silva, la dynamique présidente de la Jeunesse Autochtone de Guyane (JAG), est sur le point de marquer les esprits lors de la 23e session du Forum Permanent des Nations Unies sur les questions autochtones, prévu à New York du 15 au 26 avril 2024. Native du village Pakalawali, aussi connu sous le nom de Paddock à Saint-Laurent-Du Maroni, Clarisse a été choisie pour représenter non seulement sa communauté mais également l’ensemble des peuples autochtones de la Guyane française. Cette opportunité lui est offerte grâce à la bourse du Fonds de contributions volontaires des Nations Unies, qui reconnaît son engagement et sa détermination à faire entendre la voix des siens sur la scène internationale.


    Colloque sur les langues autochtones d’Amérique du Sud au Collège de France


    Le thème résonne particulièrement avec les objectifs de la JAG, qui depuis sa création en 2017, s’efforce de promouvoir et de protéger les intérêts des jeunes autochtones.

    Comme le thème du forum c’est les voix de la jeunesse autochtone, je pense que je me référerai directement à des sujets qui touchent les questions des jeunes autochtones en Guyane,

    déclare Clarisse Da Silva, qui souligne son engagement à mettre en avant les problématiques éducatives et l’accueil des jeunes autochtones sur le littoral.

    Le programme de cette session met en avant le droit à l’autodétermination, un principe clé de la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones. La France, malgré son soutien initial à cette déclaration en 2007, est souvent critiquée pour ses efforts jugés insuffisants dans l’application de ces principes, notamment en Guyane.


    Clarisse Da Silva au colloque sur les langues autochtones d’Amérique du Sud au Collège de France


    La participation de Clarisse Da Silva à l’UNFPII sera ponctuée de dialogues régionaux, où elle aura l’occasion d’échanger avec des partenaires autochtones d’autres continents, tels que l’Europe et l’Amérique du Sud. Ces échanges seront cruciaux pour la construction d’une compréhension mutuelle et d’une solidarité internationale entre les peuples autochtones.

    Cette initiative de la JAG, et notamment l’engagement de Clarisse, renforce la présence et l’influence des autochtones de Guyane sur la scène internationale. En 2023, Clarisse avait déjà marqué les esprits par son discours à l’Office des Nations Unies à Genève, après avoir suivi une formation aux droits humains spécifiquement conçue pour les peuples autochtones. Sa participation imminente à l’UNFPII promet d’être un jalon supplémentaire dans le combat pour la reconnaissance et le respect des droits des peuples autochtones de Guyane et du monde entier.



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